La jeunesse belge, sacrifiée par le gouvernement dans la gestion de la crise du covid, est sous le choc depuis la seconde intervention violente de la police au Bois de la Cambre lors de l'événement informel la Boum 2 le samedi 1er mai 2021.

Au lendemain du jugement de la Cour d'appel de Bruxelles qui a confirmé les termes de l’ordonnance en référé du 31 mars condamnant l'Etat belge à mettre ses mesures liberticides en conformité avec la loi, la répression violente continue contre les jeunes pacifiquement réunis au Bois de la Cambre.

Pour nous aider à reconstituer le film des événements de cette journée du 1er mai, BAM! a invité VIRGINIE VAN LIERDE, co-fondatrice de Trace Ton Cercle, un mouvement citoyen qui vise à recréer du lien, créé il y a trois mois d'une colère de parents qui se réalisent que les jeunes Belges sont en train de sombrer.

Notre invitée fait le tour des problèmes que rencontrent les jeunes dans la Belgique d'aujourd'hui : décrochage scolaire, rupture familiale, violences familiales et mal-être généralisé. Des images de la Maison des Jeunes des Récollets (Verviers) donnent la parole aux jeunes et aux éducateurs.

Notre chroniqueur MARC-HENRI WOUTERS, nous donne son analyse personnelle de la répression policière démesurée au Bois de la Cambre.

Notre chroniqueuse VALÉRIE LEMAÎTRE s'insurge contre la publication fin avril, sur les réseaux sociaux et dans la presse, des portraits de quatre jeunes ayant participé à la Boum 1 au Bois de La Cambre le 1er avril 2021, sur ordre du Parquet - un traitement auquel ont généralement droit les grands criminels. 

Notre chroniqueur PIERRE CHAUDOIR habille pour l'hiver le Bourgmestre de la Ville de Bruxelles Philippe Close, commanditaire de la charge des policiers contre les jeunes pacifiques.

Notre chroniqueuse LOU KACEN leur dédie sa chronique.

Animateur : HUGHES BELIN, journaliste freelance.

30 minutes de paroles libres sur l’actualité de la vie covidienne des Belges.

Ce reportage sur les évènements de la Boum 2, émaillé d’interviews, vient compléter les nombreux lives de BAM!

La violence et la répression policière furent de même ampleur que la Boum 1, sans nul doute. Choquantes, terribles, injustes.

La différence est peut-être que nous nous y attendions.

Cette violence (selon des témoignages vidéo que nous avons reçus) s’est aussi perpétrée en dehors du bois, dans les rues adjacentes.

Il faut cependant rappeler que tous les policiers ne sont pas en faveur de cette violence mais se soumettent « aux ordres » de leur hiérarchie. Cependant, les actes d’une violence inouïe commis par certains d’entre eux décrédibilisent leur fonction, sensée être la protection du citoyen.

La présence des parents (et de plusieurs générations), qui ont tenté de faire barrage à la répression des forces de l’ordre (sans succès), a augmenté l’émotion et l’indignation bien réèlle de cette édition.

Et même si une trentaine de casseurs venus pour en découdre ont été le prétexte des autorités pour intervenir, la grande majorité des participants étaient pacifiques et revendiquaient simplement leur droit à se rassembler pour faire la fête. 

Faut-il rappeler que ces mesures sanitaires sont illégales (verdict rendu par le Tribunal de 1^ère Instance de Bruxelles il y a un mois) et que cette privation de liberté (interminable) imposée par le gouvernement est un mode de fonctionnement indigne d’un État de droit ?

Dans les interviews, des jeunes et une enseignante nous livrent leur désarroi et leur révolte face à la dépression de grande ampleur qui s’est emparée de cette jeunesse : décrochage scolaire, solitude, isolement, envie de suicide et passage à l’acte. La sensation qu’on leur vole leur jeunesse…

Les urgences psychiatriques sont saturées, les appels dramatiques des professionnels de la jeunesse ne semblent pourtant pas avoir d’impact sur les gouvernants.

Cette jeunesse qu’on étouffe, qu’on culpabilise, vidée de sa « substance d’insouciance », privée de lien, de sport, de liberté et à qui on propose un avenir sombre, où l’éducation et les contacts ne vivent plus que par le numérique, où la vie sociale se résume aux distances, aux masques et au gel hydro-alcoolique, est hautement symbolique des temps que nous vivons.

Sacrifier nos enfants sur l’autel de l’hygiénisme est une folie que nous payerons cher si nous ne désobéissons pas face à ce fonctionnement sociétal inhumain qu’on nous impose.

Ignorer cette jeunesse en détresse et maltraitée, cette atteinte à la vie et à l’intégrité de nos enfants, qui est bien réelle, là sous nos yeux, nous renvoie simplement au fait qu’il est plus que temps de réagir si on ne veut pas de cette société liberticide, inepte et cruelle.

Après il sera trop tard.

Interview: Valérie Lemaître

Images, montage et son: Pierre Coheur

Photo : Yves Fonck

Défenseur du confinement et du masque dans les espaces clos, Marc Wathelet, biologiste moléculaire au parcours international, n’en est pas moins un ardent défenseur des traitements, en particulier de l’Ivermectine, et ne mâche ses mots sur la gestion de la crise Covid.<:P> Les traitements, les mesures, les dangers du vaccin, l’immunité naturelle, les experts, la censure, … rien ni personne n’est épargné par son éclairage personnel et argumenté. Chez BAM! nous apprécions ce personnage atypique et d’une sincérité irréprochable qui est injustement boudé par les médias. Un must see ! SOUTENEZ UNE INFORMATION INDÉPENDANTE https://www.gofundme.com/f/BAM-Crowdfunding

Docteur Martin Zizi, biophysicien, professeur de physiologie, ancien Directeur épidémiologiste du Département de la Défense.

Infirmière et historienne mastérante en sciences de la Santé publique, Julie s’exprime sur la situation dans les hôpitaux, et nous offre aussi son éclairage sur la crise que nous traversons.

Après avoir applaudi le personnel soignant, écoutons également ce qu’il a à nous dire.

Nos chroniqueurs commentent le débat Yves Coppieters versus Caroline Vandermeeren.

Vous découvrirez quelques informations clés, énoncées par Caroline Vandermeeren, qui remettent en question la politique vaccinale de nos gouvernements et son coût exorbitant :

- La Covid, comme tous les autres coronavirus, mute sans arrêt.
Les vaccins seront donc toujours en retard, par rapport aux mutations du virus.

- Au contraire, l’immunité naturelle fonctionne mieux contre les variants, car elle est moins ciblée.

- L’exemple de la Suède, qui n’a jamais modifié sa politique sanitaire (sauf rares exceptions), prouve qu’il y a un caractère saisonnier dans la propagation du virus, quelques soient les mesures prises.

Il sera aussi question du certificat vert, passeport vaccinal que la Commission européenne veut mettre en place… et du bonheur de partager avec tant d’hommes et de femmes notre lutte pour la liberté qui est l’essence même de l’humain, et qui est gravement mise en danger par les mesures dictatoriales imposées au nom du covid.