L’origine du virus

Un autre élément a aussi été rapidement relégué sous la pile du dossier Covid : son origine, qui reste toujours à déterminer.
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Aucune certitude n’est possible à ce jour, comme le dit le virologue Étienne Decroly. L’histoire officielle du marché, du pangolin et de la chauve-souris, n’est pas la seule vérité possible. D’autres origines sont possibles, ne peuvent pas être écartées, y compris une potentielle origine humaine, au sujet de laquelle Alexandra Henrion-Caude, généticienne française, ancienne directrice de recherche à l’INSERM, et un chercheur du CNRS notamment, se posent sérieusement des questions. Et dans le cas d’une origine humaine, s’agit-il d’un «simple» accident ?
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On a quand même vite oublié Wuhan et son laboratoire P4… C’est sans doute une coïncidence bien sur, mais tout de même troublante, si le virus est bien parti de Wuhan, d’avoir un nouveau coronavirus qui apparaît juste à côté d’un laboratoire très sensible qui travaille justement sur des coronavirus et les manipule… Et puis ça court pas les rues ce genre de centre de recherches. Des enquêtes sérieuses sont-elles en cours ?
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Si on retrouvait trois personnes poignardées à côté d’un magasin de couteaux… n’irait-on pas faire un tour dans ce magasin, juste par curiosité ?
Ce laboratoire a bénéficié de l’expertise de spécialistes français. Bernard Cazeneuve, Premier Ministre à l’époque, a participé à son inauguration en 2017. Il était notamment accompagné de Yves Levy (coprésident du comité de pilotage et directeur de l’Inserm à l’époque), qui n’est autre que le mari d’Agnès Buzyn. N’aurait-on pas un lien privilégié avec le labo de Wuhan qui nous permettrait de pouvoir obtenir des informations ?
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Notons ici qu’Agnès Buzyn était ministre de la Santé jusqu’au 16 février 2020, qu’elle a rendu 11 vaccins obligatoires (au lieu de 3) en 2017/2018, qu’elle nous disait en février que le masque était inutile et que la France disposait de dizaines de millions de masques, qu’elle a validé l’interdiction de vente libre du Plaquenil (hydroxychloroquine) en janvier 2020 (une décision toutefois actée deux mois auparavant), qu’elle a souhaité s’exiler fin 2020, avant de rejoindre, le 4 janvier 2021, le cabinet du directeur général de l’OMS (Tedros Adhanom Ghebreyesus). Une belle nomination au sein d’un organisme massivement financé par des bienfaiteurs qui ne cachent pas leur ambition en matière de vaccination.
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Le Prix Nobel, Luc Montagnier, biologiste virologue, ou Joseph Tritto plaident pour une origine humaine. Est-il possible d’invalider leur théorie de manière certaine ?
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En 2013, on apprend déjà dans le Parisien qu’on arrive à bricoler des virus hybrides, bien qu’il ne s’agisse pas de coronavirus. Un reportage italien de 2015 (!) de la Rai révèle et s’inquiète de travaux de laboratoires, qui effectuent des recherches en greffant une protéine de coronavirus trouvé sur des chauve-souris sur un virus du SRAS chez la souris afin d’étudier sa possible transmission à l’homme, avec des résultats positifs. L’être humain sait réaliser ce type de chimères...
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En octobre 2015, une scientifique de l’Institut Pasteur de Corée aurait transporté clandestinement, à bord d’un vol Séoul-Paris, trois tubes d’échantillon de Mers Coronavirus, un virus potentiellement mortel. En 2014, l’Institut Pasteur avait égaré près de 2 500 tubes de SRAS, une maladie infectieuse... Quand on joue avec le feu...
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En 2016, Science & Vie évoque un virus, le plus dangereux du monde, les manipulations effectués par les humains sur les virus. Le Monde s’interroge. Un article paru sur France Soir s’intéresse aux manipulations de virus. L’OMS lance une enquête à Wuhan bien tardivement début 2021.
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Début février 2021, après 1 mois d’enquête à Wuhan, aucune certitude ne peut être établie. Est-ce vraiment étonnant quand on se rend sur place un an après le début officiel de la pandémie... En parallèle, en France, la certitude semble se dessiner que le SARS-CoV2 aurait circulé depuis novembre 2019, invalidant donc la thèse du marché de Wuhan comme point de départ. En avril 2021, dans une lettre adressée au directeur général de l’OMS, une trentaine de scientifiques de renom demandent une enquête indépendante sur une série de questions précises, à ce jour sans réponse. En mai 2021, une vingtaine de scientifiques publient, dans la revue « Science », une lettre appelant à considérer sérieusement l’hypothèse d’un accident de laboratoire comme source de la pandémie, alors que dans le même temps sont rendus publics trois travaux universitaires de 2014, 2017 et 2019, qui remettent en cause certaines informations «officielles» concernant les recherches effectuées sur les coronavirus à Wuhan.
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Où, quand et surtout comment a-t-il vraiment démarré à circuler ? Le mystère reste pour le moment presque entier…
Bien que certains hurlent au «complotisme» quand on émet l’hypothèse d’une origine humaine concernant la Covid-19, cette piste resterait pour le moment impossible à écarter... et cette fois ce n’est pas le documentaire Hold-Up qui le dit, c’est l’émission Envoyé Spécial (France2)...
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Et puis, si l’origine des premiers cas de Covid-19 reste un mystère, il faudra également s’intéresser à l’origine des nouvelles épidémies, causés par l’apparition de variants. Comment ces variants sont nés ? Où et comment se sont-ils répandus ? Par exemple, en juillet 2020, l’épidémie du printemps semble terminée et le virus «venu de Wuhan» ne reviendra semble-t-il jamais. Il n’y a plus de cas en France. Pourtant, une nouvelle épidémie aurait pris racine en Mayenne en juillet 2020 avant de s’étendre. Pourquoi à cet endroit ? Est-ce lié aux visons, que le Danemark a exterminé en nombre ? Une autre souche du virus semble revenir d’Afrique du nord durant l’été, avant de disparaître rapidement. Et puis le fameux «variant anglais», le premier officiellement reconnu par les médias et les autorités, peut-il être apparu à cause du remdésivir, un traitement possiblement mutagène ?
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Autour du 30 septembre 2020… que s’est-il passé ?

Dernier point, dans les analyses de données, la montée en flèche de l’épidémie autour du 30 septembre (puis par répercussion, celles des nouvelles hospitalisations autour du 05/10 et celles des entrées en réanimation autour du 12/10).
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A cette date, des médecins et du personnel hospitalier décrivent ne pas voir de signes inquiétants liés à la Covid. Le nombre de nouvelles hospitalisations est significatif, mais stationnaire (plateau), voire en baisse. Le taux d’incidence est en baisse, le R effectif (R0) est en baisse. Seul le taux de positivité est en hausse mais il semble plafonner (et la fiabilité/sensibilité des tests et le fait que de nombreux positifs soient asymptômatiques et/ou non contagieux semble ne pas en faire un indicateur très fiable).
Que s’est-il passé à ce moment là, pour que tout à coup, tout reparte à la hausse de manière incroyable et très brutale début octobre, brisant totalement la dynamique des courbes ? Comment expliquer cela ?
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En Angleterre, on assiste au même phénomène. La cassure de la courbe des cas est encore plus flagrante et monte d’un coup à partir des premiers jours d’octobre.
Certaines théories évoquent des conditions de température. On aurait observé des pics de contaminations dans plusieurs pays quand la température avoisine les 10°C. Le virus pourrait aimer le froid et à c’est aussi une température qui incite à se réfugier dans des espaces clos, plus propices aux contaminations. Cela pourrait-il être une explication, tout au moins partielle ? Pourrait-on trouver des clés concernant la Covid-19 en étudiant ce qui s’est passé autour de cette date ? Les chiffres auraient-ils été trafiqués ? La manière de comptabiliser les statistiques a-t-elle été modifiée ?
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Autre information, une semaine avant, le 26/09/20, on commence à fermer Marseille, alors que le nombre de tests positifs serait en descente à Marseille et que le Dr Parola dit que la situation dans les hôpitaux est tout à fait correcte. Pourquoi ?
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7/40 - ET SI ON PARLAIT TRAITEMENTS ?


Cette tribune est extraite du document "Une autre vision de la Covid" publié pour la première fois le 09 décembre 2020, puis mis à jour et complété jusqu'à ce jour.

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Entre l’épidémie de mars et celle d’octobre, ce qui est indiscutable, c’est l’évolution du nombre de lit en service de réanimation, qui est passé de 5 000 lits en mars à… 5 000 en octobre ! Si le nombre de lits de réanimation n’a au moins pas été réduit ces dernières années (5334 en 2013, 5432 en 2018, d’après les données de la DREES), il semble tout de même insuffisant… En moyenne 50 lits de réanimation par département seulement !
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Alors qu’on ne cessait de nous vendre une hypothétique deuxième vague depuis des mois, alors qu’on savait que des soins et des interventions étaient décalés et reportés, alors qu’on sait que la saisonnalité fait déjà connaître des tensions en temps normal à l’automne et à l’hiver… pourquoi rien n’a été fait pour augmenter cette capacité en 6 mois ?
Le gouvernement ne cesse pourtant de nous vendre ce virus comme étant apocalyptique, extrêmement contagieux, avec nous pour toujours… alors quelles mesures extraordinaires a-t-il mis en place pour contrer ce virus si mortel ?
Certes, on a fabriqué un certain nombre de respirateurs au printemps, c’est une bonne nouvelle… mais ce n’est pas suffisant… En temps de «guerre», puisque qu’il semble qu’on soit en guerre, des usines ont été réquisitionnées pour fabriquer des balles… Il n’est pas possible de croire qu’avec de la volonté et en se retroussant les manches il n’existe aucune solution pour doter les hôpitaux de moyens décents dans des délais imposés par l’urgence de la situation… Certes, il faut plusieurs années pour former du personnel de «réanimation», mais il faut également des années pour concevoir un vaccin, et on a vu qu’avec de la volonté et des moyens, beaucoup de prouesses sont possibles, tout est une question de stratégie et de priorités. Des solutions, même partielles, même imparfaites, existent. Encore faut-il y travailler, comme le proposent le médecin urgentiste Gérald Kierzek ou encore Philippe Juvin, chef des urgences de l’hôpital Pompidou à Paris.
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N’est-il pas aussi possible de faire venir, en période de pic épidémique, du personnel disponible en provenance de pays qui ne sont pas en phase épidémique ? C’est la guerre non ?
Et concernant l’amélioration de tout ceci à long terme ? Le Ségur de la santé de l’été 2020 prend plusieurs engagements forts. Espérons qu’ils seront bien appliqués, et suffisants.
En temps normal, nous explique Edouard Philippe, le taux d’occupation des lits de réanimation est de 85 à 90%, soit 4000 à 4500 occupés. Sont donc disponibles en temps normal (hors pic grippal ou autre) 500 à 1000 lits, soit en moyenne entre 5 et 10 par… département ! Et on s’étonne que ça déborde ? Ce n’est pas la Covid qui sature les services, ce sont les services qui n’ont aucune capacité pour absorber aucun surplus de malades ! Heureusement que la Covid n’est pas plus agressive...
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Et comme si ça ne suffisait pas pour faire assez peur, on s’arrange aussi avec les chiffres…
En effet, le taux d’occupation en réanimation serait une donnée imparfaite et surévaluée. Premièrement, le taux d’occupation des lits en réanimation est calculé en tenant compte de la capacité des hôpitaux en temps normal, soit environ 5 000 lits, et non en fonction du nombre de places réelles (autour du double au pic du printemps 2020). Deuxièmement, tous les patients, qu’ils soient en «réanimation», en «soins intensifs», ou en «surveillance continue» sont étiquetés «en réanimation». Or, le nombre total de ces lits, bien qu’ils ne pourraient pas tous prendre en charge des cas graves de Covid-19, est de 19 600 fin 2019, et non de 5 000. Enfin, troisième chose, on ne distingue toujours pas, et ce serait indispensable, la part réelle du Covid dans cette situation…
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A l’automne, le pic de patients «comptabilisé réa» n’a atteint 5 000 (et tant mieux pour tout le monde), alors que pour justifier un nouveau confinement, Emmanuel Macron avait déclaré que, quoi qu’on fasse, on serait à 9 000 personnes en «réa» mi-novembre… On propose même à nos pays frontaliers d’accueillir leurs malades ! Mais on continue à paralyser le pays… sans remettre en question la dégradation globale de l’accès aux soins hospitaliers.
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Rappelons également que lors du pic épidémique de mars 2020, certains hôpitaux publics étaient saturés alors que des cliniques privées n’étaient pas sollicitées ! Et moi qui croyait qu’on était «en guerre»… Les établissements du secteur privé disposeraient de 753 lits de réanimation, 567 lits de soins intensifs et 1136 lits de surveillance, à ajouter à ceux du public ! Ce qui augmente également le nombre de lits global au niveau statistique.
[Source(s) liée(s) : 35]
Début 2021, on apprend que le 3 janvier, Santé publique France comptabilisait 564 personnes hospitalisées avec un diagnostic Covid-19 dans le département des Alpes-Maritimes (dont 69 en réanimation), quand dans la réalité «seulement» 233 patients au total (dont 55 en service de réanimation) étaient ce jour-là hospitalisés dans l’un ou l’autre des établissements (privés ou publics). Après enquête, France 3 confirme que les chiffres annoncés par Santé Publique France, les ARS (Agences Régionales de Santé) et les hôpitaux disposant des données de terrain sont très différents. Et la différence est plus que notable. Est-ce la même chose dans tous les départements ? Depuis quand ? Comment expliquer de telles différences ? Quelle est alors la fiabilité des chiffres annoncés dans les médias et dont se servent les autorités pour justifier les mesures mises en place ? Reflètent-ils vraiment la réalité ? Quel serait l’intérêt de diffuser des chiffres qui semblent gonflés ?
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Dans le dossier «Parcours hospitalier des patients atteints de la Covid-19 lors de la première vague de l’épidémie» de la DREES, on apprend que pour les patients hospitalisés entre le 1er mars et le 15 juin 2020, sont comptabilisés patients «hospitalisés Covid» : ceux hospitalisés pour des formes graves de Covid, tout comme ceux admis à l’hôpital pour d’autres raisons (opération planifiée, crise d’appendicite, etc.) et qui s’avèrent positifs à un test Covid, et donc potentiellement non malades de la Covid mais simples «cas». Cela peut très vite faire exploser les statistiques. D’autant qu’un peu moins de la moitié (48%) des cas positifs ne présenterait pas de symptômes. Dès lors, la saturation hospitalière serait à relativiser sérieusement, du moins en ce qui concerne la part de responsabilité de la Covid. Ce principe de comptabilité des personnes «hospitalisées Covid» a-t-il par la suite évolué ou confond-il toujours les malades graves et les tests positifs, tout comme les tests PCR confondent cas et malades, tout comme les statistiques de décès mélangent les morts «du» et les morts «avec» ?
[Source(s) liée(s) : 1056]
Dans le point épidémiologique du 31 décembre 2020 de Santé Publique France, il est indiqué : «La surveillance des cas graves de COVID-19 repose sur un réseau sentinelle de 226 services de réanimation situés en France métropolitaine et dans les DROM. Cette surveillance a été réactivée le 05 octobre avec une nouvelle définition de cas, qui s’étend désormais aux patients admis en réanimation avec un diagnostic confirmé de grippe.». J’avoue ne pas bien saisir la portée de cette mention, mais je m’interroge. Cela pourrait-il signifier qu’on comptabilise désormais dans les statistiques de patients «Covid» en réanimation, des patients qui ont la grippe et qui n’ont pas la Covid ? Je ne pense pas que ce soit le cas mais quelqu’un peut-il me répondre ?...
[Source(s) liée(s) : 984]
Le Pr Peyromaure nous apprend le 12 mars 2021 que les critères d’admission en réanimation «Covid» seraient différents d’un établissement hospitalier à l’autre. Il laisse entendre que certains engorgeraient volontairement des services de réanimations ces derniers jours... Par les temps qui courent, on évite de dire ce genre de choses si ce n’est pas un minimum vrai... Les journalistes devraient donc se précipiter dans les services concernés afin d’y mener une enquête. Car la seule courbe qui monte vraiment actuellement est celle des réanimations (et uniquement dans quelques régions), les autres sont stables, voire en légère baisse. C’est également ce qu’explique Martin Blachier : on a récemment admis en «réa» un grand nombre de patients qui auraient pu être pris en charge dans d’autres services. Le site Baslesmasques livre également son analyse très intéressante et conclut : «En réalité, la situation des services de réanimation est beaucoup moins alarmante que ce qui est présenté». Et pourtant c’est en partie sur ces chiffres que sont annoncées de nouvelles mesures restrictives le 18 mars 2021, et pas des moindres : un confinement de 21 millions de français pour 4 semaines minimum. Un autre scandale, à base de mauvaises interprétations de chiffres est-il à ajouter à une liste qui s’allonge ?
[Source(s) liée(s) : 1163 + 1176]
Tout ceci aboutit à des courbes d’occupation hospitalière causée par la Covid qui ne semblent pas tout à fait justes et sans doute bien plus anxiogènes que la réalité, quand bien même certains services ont pu ponctuellement connaître une saturation «Covid». En résultent une peur dans la population et des mesures de restrictions jamais vues. Pourquoi cette opacité ?
Le médecin Gérald Kierzek nous explique le 11 mars 2021, que la fameuse barre des 4 000 personnes en réanimation, qui sert à justifier des mesures invraisemblables, était également franchie en 2019, en 2018 et en 2017 à la même date. Les réanimations étaient donc saturées de la même manière les années précédentes, sans Covid. Dans le même temps, sur le site du journal Le Monde, on constate que début mars 2021 la mortalité quotidienne en France toutes causes confondues n’est pas spécialement plus élevée qu’en 2020, qu’en 2019 ou qu’en 2018. La Cour des Comptes, quant à elle, pointe dans son rapport annuel des «imprécisions» concernant le recensement des malades et des lits d’hôpitaux Quand va-t-on arrêter toute cette folie ?
[Source(s) liée(s) : 1172]


Les hôpitaux. A quand des moyens ?

Début novembre 2020, pour faire voter une date de fin d’état d’urgence sanitaire la plus lointaine possible, monsieur Véran sort de ses gonds à l’Assemblée Nationale. Il joue sur l’émotion et brandit, choqué semble-t-il, des cas de patients hospitalisés en situation critique, comme s’il n’était jamais entré dans un hôpital auparavant, comme si personne n’avait conscience de la gravité de certaines situations. M. Véran, il faut faire preuve de sang-froid dans une telle situation. Si la situation des hôpitaux semble tant vous préoccuper et vous met dans une telle rage, pourquoi n’avez rien rien fait pour eux depuis le mois de mars ? Des lits continuent à être supprimés en France… Un hôpital, c’est plein de mourants, de cancers notamment… Quand allez-vous donner un «tour de vis» aux laboratoires pharmaceutiques qui vendent des traitements à des prix inaccessibles et injustifiés ? Quand allez-vous «confiner» et vous mettre en «guerre» contre les marchands de pesticides que l’on ingère ou les industries qui polluent l’air qu’on respire ?
Combien de gens faut-il affamer pour désengorger les hôpitaux ? Des millions de personnes dans le monde et en France basculent dans la pauvreté et la précarité en raison des mesures prises pour lutter contre la Covid.
[Source(s) liée(s) : 321 + 208 + 222]
Continuons à supprimer encore quelques lits et bientôt on fera des confinements pour des grippes… confinés à vie ? La nouvelle normalité ?
Le 12/10/20, le site Plumedepresse écrit, au sujet de la région de Marseille : «Quel est ce cataclysme qui a conduit à la fermeture totale des cafés et des restaurants […] Parce qu’il y a, sur un bassin de population de 1 744 000 d’habitants, 48 personnes en réanimation (et moins de 200 hospitalisés) pour Covid. Ce monde n’est-il pas devenu complètement fou ?». Effectivement on peut se demander…
[Source(s) liée(s) : 237 + 244 + 178 + 183]
Le danger vient de la Covid, mais également de l’état de notre système hospitalier, Au lieu de se remettre en question, de chercher des solutions, le gouvernement nous fait porter la responsabilité de cet engorgement et utilise ce prétexte pour nous enfermer ! Au lieu d’adapter les hôpitaux aux besoins, on voudrait modifier les besoins en fonction de l’état des hôpitaux. La vie et la liberté de tout un peuple deviennent la variable d’ajustement pour masquer le manque de moyens des hôpitaux. C’est insensé !
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On ne gère pas la santé comme on gère des autoroutes (qu’on n’a d’ailleurs même pas su gérer). Si on avait débloqué en temps voulu ne serait-ce que le dixième des sommes d’argent qu’on verse actuellement en aides diverses et variées (on parle d’une enveloppe de 20 milliards d’euros rien que pour renforcer les dispositifs d’aides aux entreprises affectées par le confinement d’octobre 2020), nous n’en serions jamais arrivés là, ou pas dans de telles proportions.
En extrapolant (à peine), on ne peut pas dire à un entrepreneur qu’il va tout perdre et devoir licencier ses salariés, ou à une personne atteinte d’un cancer en phase terminale qu’elle n’a pas le droit de partager son dernier repas de Noël avec ses enfants, tout ça parce que le système hospitalier n’est pas apte à prendre en charge un surplus ponctuel de malades !

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Retrouvez l'épisode précédent ici :
5/40 - HÔPITAUX - LA RENTABILITÉ AU DÉTRIMENT DE LA SANTÉ ?


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Comme on l'a vu précédemment, il est difficile de faire confiance aux chiffres. Dès lors, pour évaluer l’impact de la Covid sur la mortalité, il peut être intéressant de comparer la mortalité toutes causes confondues en 2020 avec celle des années précédentes pour faire ressortir la surmortalité.
En créant des courbes à partir de ces données, disponible auprès de l’INSEE, on s’aperçoit qu’en dehors d’un véritable pic au printemps, on est très loin de la terrifiante hécatombe qu’on nous vendait en début d’année et qui continue à servir de justification à des mesures inouïes, jamais prises en temps de paix. La surmortalité n’est pas «effroyable» (sinon que dirait-on en cas de virus comme Ebola, dont le taux de létalité est de 50%, là où celui du Covid affiche une moyenne située entre 0,5% à 0,7%, voire 1% pour les plus pessimistes). Non, l’humanité ne s’est pas éteinte. Loin de là…
[Source(s) liée(s) : 122 + 383]
Au 31/10/20, la surmortalité globale de 2020 par rapport à 2019 est de 23 510 décès. A la même date 36 788 décès sont attribués à la Covid. Peut-on estimer que la Covid n’a engendré «que» 23 510 décès ? Bien sur que non, ce serait trop simpliste.
[Source(s) liée(s) : 538]
Mais on peut encore un fois s’interroger sur la fiabilité du nombre de décès qu’on attribue au Covid et en déduire une surestimation, sans pouvoir dire dans quelle proportion.
Il faudra tout d’abord intégrer les chiffres de fin d’année car le mois de novembre connaît un nombre de décès «Covid» important.
Au 31 décembre 2020, nous pourrons déterminer le chiffre de surmortalité pour l’année par rapports aux années précédentes. A pondérer tout de même, et là je laisserai le soin aux spécialistes d’effectuer un travail de précision mathématique… afin de prendre en compte, en plus ou en moins :
- la légère augmentation statistique attendue en 2020 «hors Covid», car le nombre de décès est en hausse continue chaque année depuis 2006 environ (en moyenne 6 000 morts de plus par an, liées au «papy-boom» ? à la pollution ?… en tous cas pas à la Covid !…), cette donnée est très importante ;
- les personnes dont le décès serait survenu en 2021 (vieillesse, pathologies graves...) et que la Covid à emportées «juste» un peu plus tôt que prévu ;
- un potentiel effet de «moisson» (une sorte de «rattrapage» d’une mortalité particulièrement clémente les deux années précédentes) ;
- la surmortalité invisible en 2020 et 2021 des personnes qui n’ont pu être soignées correctement du fait notamment du délabrement de notre système hospitalier notamment ;
- le fait que l’espérance de vie plafonne ;
- le fait que la population vieillit ;
- le taux d’accroissement de la population ;
- à l’inverse, les événements exceptionnels des années antérieures (canicule par exemple) ;
etc.
[Source(s) liée(s) : 1242]
J’ai comme l’impression qu’on sera très loin de l’apocalypse en France. Et effectivement, la surmortalité constatée entre 2019 et 2020 fait ressortir 54 692 décès supplémentaires en France métropolitaine. Si, à la louche, on retire 5 000 à 6 000 décès supplémentaires attendus du fait de l’évolution constatée sur les années précédentes, on est aux alentours de 49 000 décès. 64 632 morts ont été «enregistrées Covid»... A approfondir, de toute évidence...
[Source(s) liée(s) : 538]
D’après les données de mortalité de l’INSEE, on ne constate aucune surmortalité entre 2019 et 2020 chez les moins de 65 ans.
[Source(s) liée(s) : 1082]
Allons encore plus loin… le site Euromomo.eu établit les courbes de mortalité globale sur plusieurs années pour un certain nombre de pays. Et que peut-on constater ? Beaucoup, beaucoup de pays n’ont pas ou quasiment pas de surmortalité globale par rapport aux années précédentes, c’est incroyable !
[Source(s) liée(s) : 429]
Alexandra Henrion-Caude, généticienne et directrice de recherche à l’Inserm, nous dit même que si nous n’avions pas eu de moyen de détecter génétiquement cette Covid-19, nous n’aurions jamais rapporté la moindre épidémie dans certains pays, parce qu’ils n’ont connu aucune surmortalité.
[Source(s) liée(s) : 173]
En analysant statistiquement l’épidémie de grippe 2016/2017 et l’épidémie de Covid-19 du printemps 2020, un internaute pose l’hypothèse que la surmortalité constatée en 2020, et attribuée à la Covid-19 pourrait être en grande partie liée au fait qu’en France, la population vieillit, tout simplement. Et que plus de gens sont amenés à décéder, Covid ou pas, à plus forte raison en cas d’épidémie de grippe ou autre infection respiratoire. Cela pourrait-il également expliquer que certains pays n’ont pas ou quasiment pas connu de surmortalité en 2020 du fait d’une population moins vieillissante ?
[Source(s) liée(s) : 978]
Le démographe Hervé Le Bras a examiné les conséquences de l’épidémie sur les statistiques de mortalité et d’espérance de vie. Ses calculs nuancent la gravité de l’épidémie. Les risques de mortalité ont à peine varié jusqu’à 65 ans. Quant aux plus de 75 ans, leur risque de décéder est le même qu’une personne de 75,7 ans en l’absence de l’épidémie de Covid-19. L’épidémiologiste Laurent Toubiana (qui a notamment participé à la création du réseau de veille sanitaire en soins de premiers recours «Sentinelles») publie également que la pandémie n’aura eu qu’un impact faible sur la mortalité en France (notamment aucune surmortalité chez les personnes âgées de moins de 65 ans (qui représentent environ 80% de la population totale)). Encore une fois, il n’est pas question de nier que des morts soient imputables à la Covid-19, mais d’en relativiser la gravité, et de proportionner les mesures à appliquer pour lutter contre celle-ci. Le Pr Raoult en remet également une couche dans son bulletin du 09 février 2021. Le médecin urgentiste Gérald Kierzek estime sur LCI qu’on évalue mal l’épidémie et dénonce une politique du pire, basée sur des données bancales. Il livre une analyse humaine et pragmatique de la situation. Le 15 avril 2021, le Conseil Scientifique Indépendant démontre qu’on n’est pas plus mort en 2020 qu’en 2015 ou les années antérieures.
[Source(s) liée(s) : 1066 + 1233 + 1068 + 1242]
Oui ce coronavirus a fait des morts, oui chaque mort est atroce, mais qu’a-t-on fait de notre planète au nom de ces morts ? Est-ce normal qu’on soit en train de tout détruire, de tous devenir fous ? Ces morts auraient-ils accepté d’être responsables de ce massacre ? Objectivement… honnêtement… Après un an d’une maladie décrite comme terrifiante, combien connaissez-vous de personnes décédées de la Covid-19 ? Dont on est par ailleurs certains qu’elles soient décédées de la Covid ? En comparaison, combien connaissez-vous de personnes décédées de cancer durant les deux dernières années ? N’est-il pas temps de mettre les deux pieds sur le frein ?


Les grandes épidémies. La mortalité dans l’Histoire.

Contrairement à ce que certains politiques ou journaux peuvent dire, ce type de pandémie ne survient pas qu’une fois par siècle…
[Source(s) liée(s) : 53]
Il y a un siècle justement, la grippe espagnole décimait entre 40 et 50 millions de personnes, sur une planète nettement moins peuplée qu’actuellement, sur laquelle les populations circulaient beaucoup, beaucoup moins d’un pays à l’autre. On estime le nombre de morts du sida autour de 30 millions à ce jour. La grippe asiatique aurait tué 1,1 million de personnes dans les années 50 et la grippe de Hong-Kong69 1 million à la fin des années 60 quand la population mondiale était 2 fois inférieure à celle d’aujourd’hui, avec des déplacements internationaux des populations moins importants que ceux de notre époque et une diffusion du virus donc nettement moins facilitée. Et sans aucune des mesures ahurissantes prises dans le cadre de la Covid-19.
[Source(s) liée(s) : 69]
Dans le cas du sida, a-t-on empêché tout à coup, en quelques jours, la terre entière de se fréquenter pour éviter tout risque de rapport sexuel potentiellement contagieux ? Ou laisse-t-on à chacun le choix de prendre des risques ou de se protéger ? OK, on n’attrape pas le sida comme la Covid, mais à méditer...

Rendez-vous demain pour la suite…

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3/40 - MORTALITÉ GÉNÉRALE (FRANCE / MONDE) - UN MOT SUR LA GRIPPE


Cette tribune est extraite du document "Une autre vision de la Covid" publié pour la première fois le 09 décembre 2020, puis mis à jour et complété jusqu'à ce jour.

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Les médecins de ville écartés et des pistes inexplorées. Pourquoi ?

Car finalement, le meilleur moyen de ne pas surcharger les hôpitaux qui sont en permanence au bord de la rupture, c’est de prendre en charge les malades en amont pour qu’ils n’arrivent pas jusqu’à l’hôpital, et surtout pas jusqu’en réanimation. Et c’est un des aspects qui n’a pas été assez mis en avant… et qui fait l’objet de potentiels scandales en puissance dont nous allons reparler un peu plus loin.
[Source(s) liée(s) : 301]
Pour soigner, il faut disposer de tests (fiables), tester dès les premiers symptômes (et l’entourage proche), avoir les résultats très rapidement, pour tenter de traiter précocement, et laisser les médecins prescrire en toute responsabilité le traitement qui leur semble adapté à un instant T en fonction du profil du patient. Il faut faire confiance aux médecins, et notamment aux médecins de ville. Oliver Borraz, sociologue, fait remarquer que l’approche reste centrée sur l’hôpital et néglige tous les autres acteurs du système de soins (cliniques privées, médecine de ville, réseaux de soins…).
[Source(s) liée(s) : 324]
Le collectif “Laissons les prescrire” (www.stopcovid19.today) propose cette voie, a suivi de près le dossier de l’hydroxychloroquine (HCQ). Il demande une enquête complète et approfondie sur l’HCQ, produit une étude rétrospective sur celle-ci, établit 10 «indiscutables» sur la Covid-19. Même s’il n’existe aucun remède miracle, même si certains cas ne peuvent espérer une guérison, la Covid peut se soigner. Les médecins traitants peuvent en partie s’en occuper, sans pour autant devoir attendre le vaccin comme un messie, sans submerger les services de réanimation. Prendre en charge en amont, pour éviter l’hospitalisation. Simplement. La base…
[Source(s) liée(s) : 530]
Les traitements semblent être les grands oubliés, la dernière roue du carrosse, notamment des discours politiques, et surtout de l’espace médiatique grand public («mainstream») qui préfère parler de vaccin et d’hôpitaux à grands coups d’images «choc». La question n’est pas seulement «Faut-il ou non se faire vacciner ?» mais aussi (et surtout ?) «Comment pourrait-on soigner ?». Quand bien même un vaccin efficace et sans risque serait trouvé, combien de personnes seront décédées en attendant ? Une dynamique incroyable et une collaboration internationale n’auraient-elles pas du être mises en place autour des traitements ? Et puis même si on trouve un vaccin efficace, il y a peu de chances qu’il permette d’éradiquer totalement ce virus (s’il ne disparaît pas de lui-même), d’autant que c’est un virus qui mute. Il est donc temps d’envisager sérieusement d’autres pistes.
Pourquoi n’a-t-on pas fait plus confiance aux médecins de ville ? Pourquoi les a-t-on même écartés dès le début ? Même les arrêts de travail peuvent désormais (janvier 2021) être faits en ligne sans consultation ni diagnostic. Pourquoi n’a-t-on pas assez mis le paquet sur la recherche de traitements, nouveaux éventuellement et surtout anciens ? Pourquoi les médecins qui proposent des alternatives ou des protocoles de traitement à divers stades de la maladie sont-ils, au mieux ignorés, au pire sanctionnés ou victimes d’attaque diverses ? En janvier 2021, plusieurs hommes politiques réclament une information hebdomadaire sur les traitements. Thierry Lagrange, médecin généraliste à La Rochelle, témoigne de cette mise à l’écart des médecins généralistes.
[Source(s) liée(s) : 1005 + 1075]
Alors il y a bien sur l’hydroxychloroquine, sur laquelle nous reviendrons plus longuement plus loin dans ce document, qui semble avoir des effets positifs, si elle est correctement utilisée, en phase précoce de la maladie, afin de limiter les complications et les formes graves, ainsi que les hospitalisations. On peut également parler de l’azithromycine (seule ou associée à l’hydroxychloroquine et au zinc), dont l’utilisation, bien que non médiatisée, semble avoir été plus importante en 2020 qu’en 2019. Le médecin Jean-Jacques Erbstein en parlait déjà au printemps 2020. Le microbiologiste Claude Escarguel, pour qui «le traitement en phase précoce marche» lui confère également une efficacité.
[Source(s) liée(s) : 301 + 1006 + 495]
Le 10 décembre 2020, le Dr Pierre Kory témoigne devant le Sénat américain. Avec ses équipes, ils auraient identifié l’ivermectine, utilisée par plusieurs pays, comme étant un médicament qui serait efficace, voire très efficace contre la Covid-19 ! Ce que semble confirmer le site c19study.com. Plusieurs études sont en cours, certaines sont très encourageantes. Encore un médicament qui ne coûte rien et qui pourrait peut-être participer à la lutte contre la Covid-19. Début 2021, en France, l’ANSM (Agence nationale de la sûreté du médicament) doit se prononcer sur un RTU (règlement temporaire d’utilisation) de l’ivermectine comme traitement pour la Covid.
[Source(s) liée(s) : 904 + 1048 + 1103 + 536]
Le laboratoire Merck, qui a stoppé les recherches concernant un vaccin, se concentre désormais sur les traitements potentiels et travaille sur deux molécules, dont les premiers résultats semblent prometteurs : MK-7110 et le molnupiravir (MK-4482). Ce laboratoire est également un producteur d’ivermectine, sous le nom Stromectol. Il faudra surveiller qu’il ne favorise pas la mise en avant d’une nouvelle molécule vendue chère, au détriment de cette ivermectine moins rentabe, si toutes s’avéraient efficaces.
[Source(s) liée(s) : 1048]
On notera quelques tentatives, a priori douteuses, de discréditer l’ivermectine. Merck pas très clair, une étude discutable bourrée de conflits d’intérêts, une publication du Dr Kory (pourtant validée et «peer-rewiewed») carrément censurée, les conclusions d’une méta-analyse possiblement manipulées... par qui, pourquoi ? Encore un scandale en puissance ? Pourquoi la France et l’OMS annoncent plus d’un mois pour rendre un avis sur cette molécule sans danger et bon marché ? Le temps de «trouver» des éléments en sa défaveur quand tant semblent prometteurs ? Une enquête très sérieuse est à mener.
[Source(s) liée(s) : 1164 + 1151]
La vitamine D semble jouer un rôle important dans la protection contre le virus. Elle pourrait être un outil de prévention supplémentaire, permettant de renforcer l’immunité des individus, au même titre qu’une bonne alimentation, la pratique d’activités physiques, la limitation du stress, un bon sommeil etc. La lutte contre l’obésité semble importante également, celle-ci semblant être un facteur de risque très important.
[Source(s) liée(s) : 1007 + 1235 + 23]
Mais ce n’est pas tout. En janvier 2021, une vaste étude lancée en mars 2020 par l’Institut de cardiologie de Montréal annonce une « percée majeure » dans le traitement de la COVID-19. Ses résultats montrent que la colchicine, un anti-inflammatoire, est efficace pour traiter la maladie et prévenir des complications. La colchicine permettrait de traiter des patients avant leur admission à l’hôpital, permettant de limiter les formes graves de la maladie, et l’engorgement des hôpitaux (un des principaux critères utilisés pour justifier les confinements). Encore une fois, il s’agit de confier aux médecins le soin de prescrire un traitement précoce à leurs patients.
[Source(s) liée(s) : 1008]
A Madagascar, on prône des remèdes à base d’Artimisia, une piste à explorer ?
[Source(s) liée(s) : 1009]
Pendant qu’au Mexique on accorde de l’importance à des traitements simples et peu coûteux, et qu’on y défend la liberté d’expression, en Allemagne, on préfère privilégier l’essai d’un nouveau traitement potentiel utilisant des anticorps monoclonaux, bien plus rentable pour l’industrie, puisqu’il coûte 2000 euros la dose. En France, fin février 2021, le gouvernement autorise et va proposer l’utilisation de ce coûteux traitement (bamlanivimab, du laboratoire américain Eli Lilly), alors que les preuves de ses effets cliniques seraient très limitées et les essais toujours en cours. Un gouvernement qui semble bien tatillon, pour certaines pistes de traitements, dont il entraverait même parfois les possibilités de recherche, mais moins hésitant concernant des traitements rentables pour certains labos, comme dans le cas présent ou pour le remdesivir... De plus, ce traitement ne peut être administré qu’à l’hôpital, pas au niveau de la médecine de ville, encore une fois. Sans compter que certains (coordination Santé Libre) le décrivent comme mutagène possible pour la Covid-19 (c’est-à-dire pouvant générer des variants). Pourrait-il y avoir un lien avec le fait que parmi les grands directeurs du laboratoire Eli Lilly, on trouve une certaine Béatrice Cazeneuve, dont le mari, le fils et la fille (famille !) sont (très) proches de l’Elysée et/ou d’Emmanuel Macron ? Joker : le gendre est Aurélien Rousseau, le patron de l’agence régionale de santé (ARS) d’Ile-de-France. Il flotte comme une odeur étrange... encore un scandale potentiel ? Une enquête sérieuse à mener de toute évidence. En tous cas, des commandes seraient déjà passées... Aux Etats-Unis, en avril 2021, la Food and Drug Administration (FDA) a finalement révoqué l’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) du bamlanivimab.
[Source(s) liée(s) : 1010 + 1150 + 1255 + 1256]
En France, plusieurs collectifs de médecins, de soignants et de scientifiques, dont une députée et un sénateur, se sont fédérés, rassemblant plusieurs milliers de médecins, et ont lancé un appel le 09 janvier 2021, autour d’un projet commun nommé «Coordination Santé Libre». Ils annoncent plusieurs axes de travail : création d’un conseil scientifique indépendant, information sur les traitements possibles notamment en phase précoce, remise en avant de l’importance du rôle du médecin traitant, analyse des données réelles pour établir des statistiques plus fiables sur les décès attribués à la Covid, réflexion sur les vaccins, réinformation globale, étude sur ce qui s’est réellement passé et se passe dans les EHPAD, questionnement sur le fonctionnement de l’Ordre des médecins (qui ne traite pas tous les médecins de la même manière et reste étrangement silencieux sur certains sujets), interrogations concernant les syndicats de médecins... On pourra saluer une initiative qui dénote du discours global. A suivre sans aucun doute !
[Source(s) liée(s) : 1011]
Après une seconde conférence de presse de cette «Coordination Santé Libre», plusieurs journaux font paraître de manière simultanée un article presque similaire pour tenter de discréditer cette initiative, jouant de caricatures et d’assimilations à diverses mouvances, sans jamais s’intéresser au fond de l’action ni même s’être déplacés semble-t-il pour assister à la conférence de presse. Ils s’en prennent notamment à des pistes de traitement précoce proposées par le collectif, pistes qui s’adressent aux médecins bien sur, et non aux malades (depuis quand les malades créent eux-mêmes leurs protocoles thérapeutiques ?). Ces attaques seront rapidement condamnées par le collectif qui promet de porter plainte contre tout propos diffamatoire... L’Ordre des médecins, si soucieux semble-t-il des règles de déontologie ces derniers temps, se saisira-t-il de ce dossier ? A suivre assurément...
[Source(s) liée(s) : 1011]
En France, encore un nouvel espoir et une nouvelle piste de traitement... avec le Xav-19 du laboratoire pharmaceutique Xenothera, un médicament à base d’anticorps, qui s’apprête à être testé par 40 hôpitaux.
[Source(s) liée(s) : 1039]
En France toujours, à Lille, l’Institut Pasteur a mis au point un traitement qui permettrait d’éviter de développer une forme grave de la maladie. Celui-ci pourrait être testé sur l’homme dès février 2021. Le principe actif de ce médicament potentiel : le Clofoctol, que l’on retrouve dans un suppositoire appelé Octofene, indiqué dans le traitement des infections respiratoires bénignes. Coup de théâtre... Non seulement le gouvernement français n’investit pas d’urgence et massivement dans la recherche sur des traitements face à un virus et ses variants qu’il nous vend toujours comme une terrible menace mais pire, un comité du ministère de la Santé a décidé début février de refuser la demande d’accélération des essais cliniques pour cette molécule prometteuse, entravant les recherches. Ce comité demande étrangement à l’Institut Pasteur des garanties dont le gouvernement ne semble pas s’être trop soucié concernant les vaccins. La recherche sur les traitements est-elle volontairement empêchée ? Pourquoi ? Encore un scandale à ajouter à une liste qui s’allonge ?
[Source(s) liée(s) : 1057 + 262 + 1101]
En février 2021, une étude semble confirmer que le tocilizumab, un anti-inflammatoire, serait efficace pour traiter les cas graves de coronavirus. Ces résultats obtenus au Royaume-Uni montrent un impact positif sur la mortalité, la durée de séjour à l’hôpital et le besoin de respiration artificielle.
[Source(s) liée(s) : 1077]
En février 2021 également, le Pr Perronne et deux confrères font paraître dans le New England Journal of Medecine, revue de référence, un article concernant le dosage d’hydroxychloroquine utilisé dans l’essai Recovery au printemps 2020 et qui avait mené à l’arrêt de nombreux essais concernant cette molécule. Le dosage utilisé aurait pu fausser les conclusions. Il intervient également à Marseille pour défendre l’hydroxychloroquine et revenir sur ce dossier complexe1127.
[Source(s) liée(s) : 1076 + 1127]
En février 2021 toujours, le docteur Henry Joseph annonce que l’herbe à pik, issue de la pharmacopée traditionnelle guadeloupéenne, aurait la capacité de contrarier la reproduction des virus à ARN dans l’organisme.
[Source(s) liée(s) : 1090]
Même le Pr Eric Caumes, avoue dans un entretien du 13 février 2021 : «Je pense qu’on a complètement négligé le traitement. Cela a été une erreur stratégique de tout miser sur le vaccin. Il aurait fallu aussi s’intéresser aux traitements».
[Source(s) liée(s) : 1091]


On prend une grande respiration, ce n’est pas terminé…

Au Japon, le 09 février 2021, le président de l’Association médicale de Tokyo, Haruo Ozaki, recommande l’utilisation d’urgence de médicaments, notamment l’ivermectine et la dexaméthasone, pour prévenir l’aggravation. Des traitements que les médecins de famille pourraient prescrire. Au Brésil, un fabricant brésilien d’ivermectine défend l’utilisation du médicament contre la Covid-19. Le 15 février, c’est l’OMS qui étudie l’ivermectine, et rendra ses conclusions dans 4 à 6 semaines. Espérons qu’elles soient honnêtes et objectives... Le 25 février 2021, le deuxième plus grand quotidien anglais, le Dailymail, titre : «Un médicament utilisé pour traiter les poux et la gale pourrait réduire les décès de Covid jusqu’à 75%, selon la recherche». Cette étude basée sur 30 essais, en faveur d’une molécule peu onéreuse, risque de ne pas plaire à tout le monde... Un des co-auteurs de l’étude affirme : «Les données sont accablantes - nous sommes dans une pandémie, et c’est un moyen incroyablement efficace de la combattre». Le Dr Pierre Kory en parlait déjà début décembre... La Tchéquie, la Slovaquie, l’Afrique du Sud tentent l’ivermectine et la Bulgarie semble détenir des preuves supplémentaires de l’efficacité de cette molécule après 1 an d’études. Olivier Véran quant à lui préfère quasiment insulter ceux qui osent parlent de traitement à l’Assemblée Nationale, pendant que Jean Castex se gausse... Ce dernier n’a pas peut-être toujours pas d’élément en main au sujet des traitements, il va falloir le renseigner...
[Source(s) liée(s) : 1100 + 1140 + 904 + 1240 + 1069 + 438]
En France, l’ivermectine ne semble donc pas intéresser le gouvernement. Il s’agit pourtant d’un médicament qui paraît très prometteur. Au vu des données constatées, dès qu’un traitement potentiel est décelé, nos représentants politiques ne devraient-ils pas très rapidement constituer une équipe dédiée, étudier les résultats, éplucher la littérature, lancer des essais... ? Des gens meurent ou pas ? Je pensais qu’on était en guerre, qu’on était prêt à détruire notre pays au nom de la lutte contre un virus. Alors ? Il aura fallu deux requêtes et une audience au Conseil d’Etat le 25 janvier 2021 pour que l’ANSM (agence nationale de sécurité du médicament) daigne s’intéresser à cette molécule. Et encore, elle traine des pieds... Pourquoi tant de résistance et de lenteur ? Méandres administratifs ? Incompétence ? Autre chose à nous vendre ? Pourquoi ?
[Source(s) liée(s) : 1151 + 1150]
L’ivermectine est au coeur d’un bras de fer sur lequel il faudra faire toute la lumière. Alors que les témoignages s’accumulent en faveur de cette molécule... Fin mars 2021, tout comme l’Agence européenne des médicaments ou l’OMS qui viennent de recommander de ne pas utiliser l’ivermectine sauf dans le cadre d’essais cliniques, la France décide de refuser d’autoriser pour le moment l’ivermectine pour traiter la Covid, «faute de données suffisantes». Elle semble beaucoup moins regardante concernant le bamlanivimab ou les vaccins. Si l’ANSM estime que de plus larges études cliniques sont nécessaires, pourtant ne les lance-t-elle pas de toute urgence ? L’objectif de la France n’est-elle pas d’éviter des morts à tout prix ? L’Association BonSens ne compte pas en rester là, demande le retrait de la méta-analyse du Dr Andrew Hill et participe à une action en justice pour obtenir une autorisation d’utilisation d’urgence de l’ivermectine dans le traitement des patients atteints de Covid-19 en France. La députée Martine Wonner quant à elle met en demeure Jérôme Salomon, le Directeur général de la Santé, au sujet du bénéfice de certains médicaments dans le cadre de traitements précoces chez les sujets malades de la Covid-19, comme celui de l’Ivermectine.
[Source(s) liée(s) : 1204]
En France... un nouveau spray nasal serait capable d’éliminer 99 % du Covid-19, et disponible dans les pharmacies dès mars 2021. Ici il ne s’agit pas d’un traitement curatif, mais d’un geste préventif, permettant d’empêcher ou de limiter la propagation du virus chez un individu. La commercialisation de ce spray est finalement suspendue sur décision de l’Agence du médicament (ANSM), faute d’avoir reçu les données démontrant sa performance et sa sécurité, bien que le fabricant «assure l’inactivation du virus Sars-Cov-2 à plus de 99 %». Il semble qu’on soit plus pointilleux sur les sprays que sur les vaccins...
[Source(s) liée(s) : 1104 + 1134]
Pendant ce temps, Israël, la Nouvelle-Zélande, et possiblement les britanniques et les canadiens, mettent sur le marché un spray nasal du même type. Pourquoi pas chez nous ?
[Source(s) liée(s) : 1134]
En mars 2021, le laboratoire Angany dans l’Eure (27) annonce des avancées importantes dans le développement d’un traitement à base d’anticorps monoclonaux produit par des plantes, qui réduirait drastiquement le risque d’hospitalisation et de décès.
[Source(s) liée(s) : 1207]
Certains purificateurs d’air pourraient éliminer une grande partie du virus autour d’eux et pourraient participer activement à en limiter la propagation. Mais là encore, le gouvernement ne semble pas se précipiter pour étudier cette piste.
[Source(s) liée(s) : 1175]
Pourquoi les pistes potentielles sont-elles écartées ? Pourquoi des blocages plutôt que des investigations rapides ? Pourquoi l’Etat a-t-il confisqué la médecine aux médecins ? Pourquoi semble-t-il avoir décidé qu’il n’y aurait pas de traitement de la Covid en dehors des centres hospitaliers, bloquant de nombreuses expérimentations ? Toutes les pistes que l’on vient de lister sont-elles toutes absolument irrecevables ?
Sans oublier la surveillance de la saturation du sang en oxygène à la maison, très facile à faire avec un oxymètre (20 euros), pour les personnes qui ont des symptômes et qu’on assigne à résidence en attendant que leur cas s’aggrave, ou l’oxygénothérapie à domicile pour certains patients...
Sans oublier également les auto-tests, répandus dans de nombreux pays, mais que la France et Olivier Véran semblent vouloir ne pas mettre en place, ou en tous cas de manière tardive (à partir du 12 avril 2021), comme l’évoquent Martin Blachier ou Géraldine Woessner, journaliste au Point. Encore un blocage bien difficile à comprendre.
[Source(s) liée(s) : 1206]
La valse des pistes continue... Le 17 avril 2021, le Dr Nicolas Hoertel, psychiatre et enseignant-chercheur à l’APHP, déclare que des molécules bien connues, et utilisées par certains anti-dépresseurs, pourraient réduire la mortalité et le risque d’intubation de 40% (et même jusqu’à 70%), et pourraient être utilisées à titre préventif ou curatif très facilement. Ces résultats feraient parler d’eux en Allemagne et jusqu’aux Etats-Unis. En avez-vous entendu parler en France ? Là encore, pourquoi le gouvernement n’engage pas des recherches et des essais de toute urgence ? J’imagine qu’ils sont trop occupés à mettre en place leur abject pass sanitaire. Il semble plus important de limiter les libertés que de tenter de soigner ou de doter les hôpitaux de moyens décents.
[Source(s) liée(s) : 1239]
En avril 2021, l’Institut Pasteur démontre que les anticorps sont capables de neutraliser et même de tuer une cellule infectée par le coronavirus.
[Source(s) liée(s) : 1252]
Martin Zizi, ancien Directeur épidémiologiste du Département de la Défense belge, déplore qu’on ait supprimé les médecins de première ligne, ceux qui connaissent bien leurs patients, ceux qui soignent. Il parle également de l’amantadine, un antiviral, qui pourrait avoir des effets sur le coronavirus.
[Source(s) liée(s) : 1270]
Cela fait tout de même beaucoup de données qui semblent invalider le fait qu’on ne pourrait rien faire côté «traitements» et prévention. Aucun produit miracle, aucune baguette magique, mais plusieurs moyens de limiter les dégâts semble-t-il. Evidemment, s’il s’avérait que des traitements sont possibles, cela remettrait en cause certaines mesures et les très lourdes conséquences qu’elles ont engendrées à tous niveaux. Cela remettrait en cause l’impératif vaccinal et les atrocités de passeport sanitaire associé qu’on tente de nous vendre. Cela remettrait en cause la mortalité de la Covid-19, puisque de nombreuses personnes auraient pu être sauvées. Cela récompenserait certains médecins et en condamnerait d’autres. On comprendra alors (mais on ne pourra jamais excuser) que ceux qui prennent, orientent, légitiment ou cautionnent les décisions, peinent à reconnaître l’existence de ces traitements potentiels. Les responsabilités seraient lourdes, très lourdes. Est-on à l’aube d’un nouveau Nuremberg ? Le docteur Peter McCullough a déjà son idée. Il estime que «les historiens jugeront très sévèrement» les autorités sanitaires, et tente d’expliquer pourquoi les traitements ont été mis de côté. Très intéressant.
[Source(s) liée(s) : 1171]
Est-il impossible pour certaines personnes de revenir en arrière sur des décisions initiales, qui consistaient à ne pas tenir comptes de traitements potentiels, en raison d’un «effet de cliquet» décrit par Alain Bonnafous (professeur honoraire de sciences économiques et chercheur) ?
[Source(s) liée(s) : 1081]
Est-ce parce qu’on aurait légitimé l’usage de vaccins expérimentaux en utilisant l’argument qu’aucun traitement n’existerait (les AMM conditionnelles n’étant délivrées qu’en cas de «besoins médicaux non satisfaits»), qu’on refuserait aujourd’hui d’en reconnaître l’existence ? Et si c’est le cas, pourquoi alors préférer un vaccin expérimental et peu sécurisé (développement accéléré, phases de tests inachevées...) à des molécules ancestrales et peu coûteuses ? Est-ce parce que les «Big Pharma» influencent les décisionnaires et les influenceurs pour écarter des solutions peu rentables pour elles, comme le pense Xavier Bazin ? Du coup des théories complotistes en profitent pour venir frapper aux portes de mon cerveau... non, non et non, je les refuse, encore pour le moment...
[Source(s) liée(s) : 1224 + 475 + 1250]
Dans tous les cas, certains médecins généralistes digèrent mal le fait de ne pas avoir été associés à la lutte contre le coronavirus et reprochent en février 2021 au ministre de la Santé, Olivier Véran, son arrogance et son manque de considération pour la médecine générale et pour l’exercice libéral. Quatre médecins belges estiment, lors d’une interview donnée à Kairos, que la réalité de terrain est bien loin de celle que nous présentent depuis un an les médias dominants. Pour eux, il faut soigner et ne pas simplement laisser les gens chez eux avec du doliprane. Ils dénoncent le fait que les responsables politiques sont hermétiques à toute solution et entravent la liberté de prescription, sans doute pour la première fois de l’Histoire. Très bel échange humain sur divers thèmes. Julie, infirmière et historienne mastérante en sciences de la Santé publique, tient le même discours lors d’une interview accordée à BAM.
[Source(s) liée(s) : 1129 + 1241]
«L’Histoire se souviendra d’une époque où les gens étaient fous, où au lieu de soigner ils ont obligé des populations à rester à la maison. C’est un des phénomènes les plus étranges qui se soit passé dans l’Histoire moderne», comme le dit Didier Raoult. J’ajouterai... Pourquoi s’est-on acharné à discréditer toute piste de traitement ? Pourquoi n’a-t-on pas déployé des moyens gigantesques pour trouver ou au moins rechercher des traitements ? Pourquoi l’a-t-on fait pour des vaccins ? Pourquoi a-t-on préféré injecter un vaccin inconnu plutôt qu’approfondir les recherches sur des molécules qu’on connait ? Pourquoi a-t-on voulu à tout prix vacciner tout le monde, en menaçant même les non-vaccinés d’être privés de vie sociale (projets abjects de passeports sanitaires) ? Pourquoi a-t-on préféré empêcher les gens de vivre et les enfermer, plutôt que tout faire pour les soigner ? Personne n’a dit qu’il existait un remède miracle, contrairement à ce qu’aiment écrire certains «journalistes», mais il est grand temps de limiter la casse en utilisant toutes les pistes de traitements possibles.
[Source(s) liée(s) : 1016]

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6/40 - HÔPITAUX - DES CHIFFRES (IN)DISCUTABLES


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Les hôpitaux sont devenus le centre de toute l’attention, l’un des principaux indicateurs, presque plus encore que le risque réel du virus. Il ne serait pas primordial de trouver des traitements pour soigner la Covid, mais plutôt de ne pas engorger les services de réanimation. Images choc, tri des malades, report d’opération… à pieds joints dans l’émotion. Tant que les services de réanimation risquent d’être sous tension, les citoyens doivent rester enfermés, à contempler leur monde s’effondrer.
Oui un afflux de malades soudain crée de sérieux problèmes dans l’hôpital, mais les chiffres annoncés sont-ils fiables à 100 % ? Pour quelle raison les services arrivent-ils si rapidement à saturation ? Comme on l’a vu, on est loin d’un scénario hollywoodien dans lequel 10% de la population se retrouverait aux urgences… et pourtant l’hôpital et son personnel sont durement éprouvés.
Il est indéniable que certains services de réa ont connu des moments très difficiles, mettant à l’épreuve des équipes parfois déjà en souffrance en temps normal. Mais la principale raison de cette saturation, qui légitime un arsenal de mesures inimaginables il y a encore quelques mois, ne serait-elle pas la destruction de l’hôpital lui même ?
[Source(s) liée(s) : 224 + 252 + 286 + 318 + 368 + 373 + 517]
On parle finalement plus de capacité hospitalière que des malades eux-mêmes, quel est le véritable problème ?
Depuis de nombreuses années, le personnel hospitalier dénonce le manque de moyens, de personnel, les restrictions budgétaires, les pénuries, les fermetures de lits, de services et d’établissements. Chaque hiver, en temps normal, la pénurie de lits est une réalité depuis de nombreuses années et des patients dorment sur des brancards. Dénonçant un « véritable scandale sanitaire », le syndicat SAMU-Urgences de France (SUdF) avait estimé, en juin 2018, que près de 100 000 personnes avaient ainsi passé la nuit sur un brancard faute de lit pendant les six premiers mois de l’année. Fin 2019, ils étaient encore une fois dans la rue pour dénoncer une situation insupportable lors d’importantes manifestations. En janvier 2020, 1 200 médecins de l’hôpital public annoncent leur démission de leurs fonctions administratives : pour eux il manque plusieurs centaines de millions d’euros…
[Source(s) liée(s) : 54 + 13 + 17 + 22]
Près de 100 000 lits d’hôpitaux ont été fermés entre 1993 et 2018, dont 69 000 lits entre 2003 et 2017 ! Certes, la médecine ambulatoire est encouragée et se développe, de même que l’HAD (hospitalisation à domicile). Les temps changent, les techniques évoluent. Mais devait-on vraiment supprimer tous ces lits, et potentiellement le matériel et le personnel associé ?
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La santé, ne pas mourir, semble être devenu soudainement la priorité du gouvernement. Si celui-ci est sincère, pourquoi avoir détruit l’hôpital depuis des années ?
Tant qu’il n’y a pas de feu, on peut supprimer des pompiers dans les casernes… mais gare au jour où la forêt s’embrase…
Et ça continue… en octobre, afin de faire des économies, on parle de supprimer des lits et des médecins au CHU de Toulouse. En novembre 2020, l’hôpital d’Orléans est la cible d’une potentielle réduction du nombre de lits ! Et bien d’autres… Quand va-t-on cesser de considérer la santé comme quelque chose qui doit être rentable ?
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Les hôpitaux. Une logique de rentabilité au détriment de la santé ?

Le gouvernement considère que le taux d’occupation des lits devrait être de 95% en médecine et chirurgie et de 85% en obstétrique7. Il semble qu’en dessous de ces valeurs, les lits soient voués à être supprimés pour des raisons économiques. Que se passe-t-il donc en cas de pic épidémique ou d’événement ponctuel imprévu demandant un accueil hospitalier plus important que d’habitude ?
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Remontons quelques années en arrière… en 2005 et 2006, une grande réforme de l’hôpital est instaurée, destinée à encadrer strictement les budgets de hôpitaux. De 2006 à 2012, tous les hôpitaux passent progressivement aux nouvelles règles de la tarification à l’activité («T2A»), fondées sur les recettes des actes pratiqués. Auparavant, ils recevaient un budget global couvrant l’ensemble des dépenses des établissements. L’établissement ne reçoit plus un budget destiné à répondre à des besoins, mais est rémunéré d’après sa «production». Comme une entreprise, sa production doit être suffisante et «rentable».
Dans le public, les craintes sont alors réelles de voir des établissements privilégier des activités rentables, au détriment d’autres, tout aussi utiles. Et cette tarification à l’acte est combattue et rejetée par les hospitaliers.
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Cette réforme a été promue par le Directeur de l’Hospitalisation et de l’Offre de Soins au ministère de la santé en place à l’époque : M. Jean Castex !
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Et nous voilà avec un homme qui a pour mission de gérer une situation partiellement liée à un manque de moyen dans les hôpitaux, qui découle en partie d’une réforme à laquelle il a contribué…
Hé non, Jean Castex n’est pas un illustre inconnu. Mais heureusement, aujourd’hui il a une solution, puisqu’il déclare fin octobre 2020 que «le meilleur moyen de soulager l’hôpital, c’est finalement de ne pas tomber malade». Bah oui ma p’tite dame, vous exagérez avec votre cancer… Et puis finalement, pour arrêter la famine, il suffit peut-être d’arrêter de manger...
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C’est peut-être pour cela que fin novembre 2020, les représentants des personnels hospitaliers n’étaient pas les bienvenus lors de la visite du Premier Ministre au CHRU de Brest, et qu’ils ont été soigneusement tenus à l’écart des officiels, d’après le syndicat SUD, qui a déposé plainte pour entrave à la liberté de circulation.
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On notera au passage que l’actuelle ministre de la Culture, Roselyne Bachelot, était ministre de la Santé et des Sports de 2007 à 2010, et que Olivier Véran, actuel ministre de la Santé, était en charge du pilotage du comité de réforme du mode de financement des établissements de santé, quand Marisol Touraine était ministre de la Santé en 2016. L’état de nos hôpitaux découle donc en partie également de leurs actions.
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Le 22 novembre 2020, le Dr Patrick Pelloux, président de l’association des médecins urgentistes de France, déclare que : « La casse de l’hôpital public a continué pendant qu’on nous demandait d’être unis contre le virus ! ». Le 01/12/2020, un an après sa création, le Collectif inter-hôpitaux dénonce les promesses non tenues du gouvernement. Les projets de fermetures de lits «sont toujours à l’ordre du jour». Fin décembre 2020, sur le terrain, les syndicats estiment que rien n’a changé, pour l’instant. Près d’un an après l’apparition de la Covid-19 en France, toujours pas de nouveaux lits de réanimation ? Fin janvier 2021, le collectif Inter Urgences continue à dénoncer le manque de moyens de notre système de santé et constate qu’entre les paroles et les actes le décalage est immense. Mi-mars 2021, Stéphane Velut, chef du service de neurochirurgie du CHU de Tours, alarme quant à l’état de l’hôpital dont la privatisation rampante menace le travail des personnels de santé et les soins apportés aux patients.
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Face au manque de moyens, certains personnels et responsables hospitaliers se permettent de réclamer des confinements, de demander à leurs concitoyens d’arrêter de vivre, oubliant qu’ils feraient mieux de s’adresser à nos responsables politiques pour obtenir des conditions de travail décentes. Auraient-ils imaginé et trouvé tolérable de mettre sous verrous 67 millions de personnes quand leurs services débordaient les années précédentes en raison de la grippe et autres pathologies saisonnières ? Pensent-ils vraiment qu’un nouveau confinement évitera de nouvelles saturations ultérieures ? A-t-on perdu la raison au point de penser qu’on peut confiner un pays comme on prend un Dafalgan ?
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Rendez-vous mercredi pour la suite…

Retrouvez l'épisode précédent ici :
4/40 - MORTALITÉ GÉNÉRALE TOUTES CAUSES, SURMORTALITÉ


Cette tribune est extraite du document "Une autre vision de la Covid" publié pour la première fois le 09 décembre 2020, puis mis à jour et complété jusqu'à ce jour.

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Aujourd'hui j'ai envie de vous dire quelques vers

Parce que la poésie ça rend le réel moins vulgaire
Et qu’en ces temps de violence et de conflit
L’art est essentiel à nos vies.

La vérité je me sens victime, d’un état qui commet des crimes
Car ça s’est jamais arrêté, les guerres, elles ont continué
Un peu partout des flash infos, ça faisait les gros titres des journaux.

Je peux pas dire que ça m’concernait pas parce qu’ça arrivait loin de chez moi
On sait très bien que nos modes de vie, comme tout dans ce monde, avait un prix!
L’horreur était plus près qu’on croit, au bout de la rue, chez lui, chez moi
Nos potes ont commencé à se pendre bien avant que l’COVID s’répande.

Entre nous, on va plus se mentir, nos proches étaient en train de partir
Suicide, cancer ou AVC partout dans le monde la mort planait…
Alors pourquoi on fait tout ce crique, de faire croire qu’on craint le pronostique
On connait notre finalité c’pas pour ça qu’faut laisser tomber.

La boum 2 j’y ai pas été, plus trop envie de me faire gazer
Le premier avril j’ai compris qu’il n’y avait plus de démocratie!
Je dois avouer qu’je comprends pas, qu’on tolère ce qui se passe dans ce bois!
Les gens restent chez eux docilement et suivent des live anonymement.
Le totalitarisme s’installe et tu voudrais que je reste calme?
Qu’je sois politiquement correcte, quand à des attaques j’suis sujette?
Comment tu te sens assis chez toi, sachant que ton petit frère est dans le bois?
A combien de marches en 5 ans, t’as pris la peine de donner du temps?
T’es venu marcher pour le climat? Pour plus de justice? Plus de droit?
Je veux savoir ce qui va te faire bouger, qu’un moment tu te sentes concerné?
D’ailleurs je veux te poser la question, c’est quoi la tienne, ton opinion?
Toi qui a passé tes nuits en cave, et qui au grand jour faisais le sage?
Toi qui a souvent fait des diners, et qui au grand jour est masqué?
Si d’main j’annonce un festival, est ce que tu feras partie de la salve?
Ou est-ce que t’auras peur de danser par risque d’être contaminé?

Aujourd’hui on met tous des gants, on a tellement peur des jugements
Mais faut appeler un chat un chat, aujourd’hui l’Etat crée des lois
Ils actent dans l’illégalité, on ne nous demande plus de voter.

Ce qui nous tuera c’est pas le COVID mais toutes les maladies chroniques
Ulcère, dépression, diabète, la liste est longue vaut mieux qu’j’m’arrête!
Sur ce point je me permets de rappeler qu’l’allopathie n’est pas la clé
Son rôle est une médecine d’urgence, à long terme elle crée des carences.
Embourbés dans nos dépendances, on a bétonné nos croyances
On a décidé de faire confiance à des gens qui prônaient une science.
Ce n’est qu’une interprétation, et en fait y’en a des millions
Il existe 1001 techniques, pour entretenir nos mécaniques.
Médecine chinoise, douce, holistique, à toi de choisir ta pratique
Si tu veux retrouver la santé, faut commencer par t’éduquer.
Apprendre comment nos êtres fonctionnent, sera le début d’une nouvelle donne
On deviendrait tous indépendants, on se passerait de médicaments
Alors virus et bactéries pourront redevenir nos amis.

Aujourd’hui je veux m’battre pour la vie, l’ensemble dont la mort fait partie
La célébrer, la libérer, ça sert à quoi de vivre enfermé?
Je te demande pas de penser pareil, seulement de respecter mon éveil
Prends tes responsabilités, et assume que t’es embourbé
Que tu sais pas, que tu sais plus, c’est pas grave parfois d’être perdu!
Je pense que l’échec existe pas, c’est un concept de vieux bourgeois
Et que quand tu y réfléchis, y’a que des leçons qu’offre la vie
Tu ressortiras jamais intact, quel que soit le jeu, quel que soit le pacte
Si toi-même tu fixes tes limites, plus besoin de règles dogmatiques
On pourra tous évoluer, réinventer la société.
Le futur, à nous de le construire, pas obligés de créer l’empire.

Je viendrai ouverte à ta rencontre pour t’écouter, voir ce que tu montres
Je te promets d’essayer de comprendre même si les discussions s’étendent
Je serai patiente et sans jugement, tu peux te lâcher, y aller franchement.
Que tu sois chrétien ou agnostique, rajoute donc ta voix au chapitre
Multiplions la vérité pour qu’elle redevienne une alliée.
C’sont tes idées qui m’intéressent, je suis pas là pour te mettre une laisse
Et je te promets de les accepter même si je compte pas y adhérer.
Tes incohérences me séduisent tant qu’elles ne sont pas normatives
Mais derrière ton masque, bien caché, m’impose pas ta normalité.
Je vais te dire franchement je le porterai pas tant que partout en rue ça fumera.

J’espère qu’dans ces quelques écrits, vous capterez l’amour de la vie.
Pour clôturer je vais pas rimer, c’est en prose que je vais terminer
L’autre étant mon inspiration, je vous propose deux citations:

La première est de Gustave Klimt, artiste/peintre, et il nous dit:
«Tout portrait est un autoportrait»

La seconde est de Marie Curie, scientifique, et nous dit:
«Rien n’est à craindre, tout est à comprendre»

Photo : Sam McClean

Categories: Lou 

Salut !

Moi c’est Lou, j’ai 30 ans.
Née dans une famille d’artiste, j’ai fréquenté pendant 8 ans le milieu théâtral bruxellois. Entre voyageuse exilée et citoyenne militante, je suis aujourd’hui en pleine reconversion professionnelle, je me forme aux médecines holistiques à travers l’approche naturopathique.
Je suis passionnée par les sciences, la philosophie, la musique, puis je suis sensible à toutes formes d’art.
J’aime me poser des questions, déconstruire mes croyances, en bâtir de nouvelles. J’aime me confronter au réel, aller à la rencontre des autres, j’y vais avec toute ma curiosité et ma bienveillance dans l’espoir de créer un peu de chaleur, de donner la place et la parole à la vérité au pluriel et tenter de trouver une humanité dans un monde que je trouve souvent cruel et passablement vulgaire.

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