"Dans cette tribune, 250 universitaires, scientifiques, professionnels de santé et juristes alertent sur les conséquences économiques et psychosociales de la gestion politico-sanitaire de la crise du Covid. Ils estiment que la prochaine catastrophe ne sera pas virale mais économique et sociale, et qu’elle ne concernera pas les élites privilégiées mais d’autres catégories sociales beaucoup plus vulnérables."

"Selon les calculs de l’INSEE, la gestion de la pandémie aura fait perdre à la France une dizaine de points de Produit Intérieur Brut (PIB), un recul inédit depuis la Seconde Guerre mondiale. Pour comparaison, la crise de 2008 avait entrainé l’année suivante un recul de moins de 3% du PIB. Le taux de chômage devrait également dépasser les 10% à la fin de l’année où plus d’un million de chômeurs sont attendus selon le directeur de l’Observatoire Français des Conjonctures Economiques (OFCE)."

"Ce recul historique ne concerne pas toutes les professions ; tandis que certaines n’ont pas senti passer la crise, il touche au contraire massivement les secteurs du commerce et de l’artisanat, des services aux entreprises et aux ménages, ainsi que les artistes. Cibles privilégiées des mesures contraignantes du gouvernement, le secteur événementiel, l’hôtellerie et la restauration payent un lourd tribut, surtout les franges les plus précaires de leurs salariés : intérimaires et saisonniers."

Ce sont les entreprises et les salariés les plus vulnérables
qui sont les plus impactées par la gestion de la crise

"La France étant le pays le plus touristique du monde, ce secteur représentait en 2018 près de 3 millions d’emplois et environ 7,5% du PIB. Ceci a particulièrement affecté la capitale ainsi que les régions méditerranéennes dépendantes du tourisme estival."

"La santé ne se réduit pas à l’absence de maladie“

“Par ailleurs, la combinaison de la détresse économique et sociale objective et de la peur ressentie par les personnes les plus fragiles du fait d’une communication politique et médiatique particulièrement anxiogène a déjà et aura encore longtemps des conséquences sur la santé physique et mentale : augmentation des consommations de tabac, d’alcool et probablement d’autres drogues et médicaments psychotropes, anxiété, insomnie et autres troubles du sommeil, dépression, suicide, syndrome de glissement des personnes âgées, etc."

Nous réclamons que l’on en finisse
avec les décisions prises dans l’entre-soi.

"Chacun s’accorde à dire que le premier devoir du gouvernement comme de chaque citoyen est de protéger les personnes "à risque", mais il est temps de considérer que la vulnérabilité est tout autant psychosociale que physiologique. Il est temps de rappeler que l’OMS elle-même, dans le préambule de sa constitution, définit la santé comme "un état de complet bien-être physique, mental et social [qui] ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité". "

Lire l'article dans son intégralité ici :

https://www.marianne.net/agora/tribunes-libres/la-deuxieme-vague-nest-pas-virale-mais-economique-et-sociale-lappel-de-250-intellectuels?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&Echobox=1602162795&fbclid=IwAR3Hxy-Zx1weRBFIdEBjuVjfhdRPSVxmMEjKAMsB1UyX1_G1BO5n8ZhA0JA#xtor=CS2-4

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"Le constat est unanime et saisissant : d’ici la fin de l’année 2020, la France comptera un million de personnes en plus vivant sous le seuil de pauvreté dite « monétaire ». Qui sont ces nouvelles personnes touchées par la pauvreté en raison de la crise économique provoquée par la crise sanitaire ? "

"La pauvreté monétaire, c'est quand vous vivez sous le seuil de pauvreté, c'est-à-dire 60% du revenu médian. Par rapport à un français moyen, vous êtes quand même bien en dessous. Et concrètement, pour une personne seule, c'est quand vous gagnez à peu près moins de 1060 euros par mois. Ça fait pas mal de monde, presque 15% de la population française. Tout montre que (cette proportion) est appelée à augmenter dans les mois qui viennent."

"On n'a pas encore de chiffres statistiques publics de l'Insee sur l'augmentation de la pauvreté, mais beaucoup d'indices sur le terrain montrent qu'il y a beaucoup plus de pauvres qu'auparavant et surtout, que c'est appelé à augmenter. Les distributions alimentaires sont un signe assez incontestable. Elles ont augmenté de 25% depuis le début de la crise, avec un pic pendant le confinement parce qu'il y avait une totale désorganisation des systèmes habituels."

"Et puis, on voit l'augmentation du chômage, les destructions d'emplois. D'après les chiffres publics, on sera à peu près à 900 000 destructions d'emplois en 2021 par rapport au début de la crise."

"Au-delà de ça, ce qui est sans doute plus spectaculaire, ce sont les jeunes, ceux qui n'avaient rien parce qu’ils étaient étudiants, chez leurs parents et ils auraient dû, en temps normal, entrer sur le marché du travail, entrer sur le marché du logement et là, cette année, ça va être compliqué."

"Les jeunes qui étaient en études et qui accèdent à un premier emploi auront beaucoup plus de mal. Donc ça, ça ne se voit pas parce qu’ils n'étaient pas dans une situation confortable auparavant. C'est juste qu'ils restent dans la difficulté sociale."

"Les « nouveaux pauvres » aujourd'hui du covid sont souvent des personnes qui étaient déjà sur le fil auparavant. On sait bien que les familles monoparentales sont sur représentées parmi la pauvreté : 40% des familles monoparentales sont sous le seuil de pauvreté. Donc pour ces familles, le moindre évènement les fragilise encore plus."

Lire l'article dans son intégralité ici :

https://www.franceculture.fr/emissions/la-question-du-jour/crise-economique-qui-sont-les-nouveaux-pauvres

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https://pixabay.com/fr/photos/sans-abri-l-homme-personne-clochard-55492/

"L’AIMSIB a réclamé au Dr Pascal Sacré, médecin réanimateur, de nous apporter l’état des connaissances en matière de thérapeutique de la Covid-19 en ce mois d’Octobre 2020"

"Une des pathologies graves les plus fréquemment rencontrées en réanimation touche la fonction respiratoire, à savoir l’oxygénation du sang (O2) et l’élimination du gaz carbonique (CO2), produit du métabolisme, au travers d’une atteinte de l’organe de la respiration, les poumons. Il s’agit de l’ARDS pour Acute Respiratory Distress Syndrome."

"L’oxygène est vital. Certains organes en sont absolument dépendants et une privation d’oxygène de quelques minutes peut avoir de graves conséquences, notamment pour le cerveau ou pour le cœur. Une baisse d’oxygène dans le sang s’appelle  hypoxémie, c’est LE problème de l’ARDS (ou SDRA)."

"C’est le problème vital initial du COVID-19 : L’hypoxémie sévère."

À retenir :

"La pneumonie COVID-19 sévère se manifeste par un ARDS (SDRA) avec hypoxémie sévère. Une autre pneumonie virale bien connue pouvant donner un ARDS(SDRA) est la grippe. L’ARDS (SDRA) a été caractérisé en 1967. En 50 ans, sa mortalité reste élevée, 40 à 50%, soit 1 patient sur 2. La prise en charge est standardisée, essentiellement symptomatique et cible l’hypoxémie (manque d’oxygène dans le sang)."

"Les traitements utilisés ont été classiques, principalement ceux utilisés dans tout ARDS (SDRA) :
– Oxygénothérapie par enrichissement de l’air inspiré en oxygène, jusqu’à 100% (oxygène pur)
– Ventilation à pression positive
– Utilisation du décubitus ventral intermittent (sur le ventre)
– Antibiothérapie selon indications, le plus précocement possible
– Anticoagulation à doses thérapeutiques (curatives)
Corticoïdes: redécouverte de l’eau chaude"

"COVID-19 pour un réanimateur : les traitements polémiques"

"Place de l’Hydroxychloroquine et de l’Azithromycine
-Phase précoce (premier jour du début des symptômes)
-Préhospitalier (ambulatoire, médecins généralistes)"

"Contrôle par les médecins de première ligne, généralistes en ambulatoire, ou urgentistes."

"Place du Zinc, vitamines D et C :
– Préhospitalier
– Hospitalier
– Soins intensifs (réanimations)"

Dr Pascal Sacré
Octobre 2020

Lire l'article dans son intégralité ici :

“En tant qu’épidémiologistes des maladies infectieuses et scientifiques spécialisés en santé publique, nous sommes inquiets des impacts physiques et mentaux causés par les politiques actuelles contre le COVID-19 et nous recommandons une approche alternative que nous appelons Protection focalisée (Focused Protection). “

“L’immunité grandissant dans la population, le risque d’infection baisse pour tout le monde, y compris les plus vulnérables. Nous savons que toutes les populations vont finir par atteindre l’immunité collective, c’est-à-dire le point où le nombre de nouvelles infections est stable, et que ce processus peut s’accompagner (sans pour autant dépendre) de l’existence d’un vaccin. Par conséquent, notre objectif devrait être de minimiser la mortalité et le mal fait à la société jusqu’à ce qu’on atteigne l’immunité collective.“

“Cette déclaration a été rédigée et signée le 4 octobre 2020 à Barrington, aux Etats-Unis, par :“

Lire l'article dans son intégralité ici :

https://gbdeclaration.org/la-declaration-de-great-barrington/

Source photo :

https://www.pexels.com/pt-br/foto/adulto-conselhos-orientacoes-assistencia-4101164/

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