" Dans un article publié sur le site du New York Times samedi 29 août, des experts américains s’étonnent que les tests RT-PCR tels qu’ils sont pratiqués puissent servir de test de contagiosité dans le cas d’une infection par le Sars-CoV-2. Selon le quotidien américain, le seuil considéré aboutit à des diagnostics positifs chez des patients qui ne représenteraient aucun risque de transmettre le virus."
Psychologie des mesures totalitaires
"Rappelons que, à supposer que le premier principe soit vrai (un virus très dangereux menace la survie de l’espèce), ce dont l’on peut partiellement ou totalement douter, il ne saurait justifier en aucun cas que la fin justifie les moyens, car comme l’avait magistralement analysé Hegel, un être humain n’est pas un moyen : il est une fin."
"Les psychopathes et paranoïaques qui dirigent le monde (et ne sont pas nos gouvernants mais la petite poignée qui tire les ficelles chez ces milliardaires qui, avec leurs milliards, pourraient par exemple éradiquer la faim dans le monde et ne le font pas) nous persécutent depuis longtemps « pour notre bien », parce qu’ils nous vivent, nous les peuples, comme une menace pour eux.
Ah bon, les dirigeants comploteraient contre les peuples ?
Mais c’est vieux comme la nuit des temps ! "
"Ce choc a été créé par l’annonce sans aucun ménagement d’un fléau terrible s’abattant sur la planète, avec l’interdiction d’analyser ne serait-ce qu’un peu à froid ce qui se passe, l’interdiction de tout dialogue, et la transmission de messages de terreur, messages de comptabilité mortifère, martelée à chaque instant par les médias canaux des politiques, aux populations, sans aucun filtre, ni débat contradictoire, ni nuance ou mesure."
"Ce martelage jour et nuit des chiffres et des thèmes de mort ressemble à des méthodes clairement sectaires.
Je rappelle que « secte » signifie « couper », et c’est bien ce qui s’est passé : nous avons été « coupés » de nos proches, de notre travail pour la plupart, de la possibilité de voyager, de la possibilité de nous rassembler, de la possibilité de nous exprimer, de notre vie sociale et professionnelle, et de notre vie d’avant."
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Crise de la Covid-19: la tyrannie du risque zéro
"A y regarder d’un peu plus loin, la fin de vie d’Howard Hughes risque bien d’être la pente douce vers laquelle nous mènerait une stratégie hygiéniste qui voudrait faire disparaître de nos vies virus, bactéries et champignons. Le risque zéro peut-il, doit-il être un objectif de santé publique ?"
"Nous sommes d’avis que les coûts sociaux de cette entreprise sont infiniment supérieurs aux bénéfices sanitaires que nous pourrions en escompter. Nous sommes d’avis que le risque zéro est une chimère destructrice, et qu’il faut nous résoudre à accepter que le virus continue à circuler dans la société, de façon minime et calculée."
"La question du risque ne peut se résumer au seul point de vue des virus. Vivre en société implique l’acceptation tacite d’un certain nombre de risques. Nous abstraire des virus et des bactéries, impliquerait de nous abstraire également de la société, comme Howard Hughes."
"Or nous prenons tous les jours des risques, souvent à notre insu.“
"Vivre en ville, c’est accepter le risque lié à la pollution atmosphérique, qui cause environ 10.000 décès prématurés chaque année en Belgique, selon l’Agence européenne de l’environnement."
"Pourtant, la situation actuelle nous fait courir un autre risque : celui d’un effondrement sociétal à plus long terme, faute de fondement ou de sens. Sans perspective politique ni consensus social qui guident les choix, cette société du risque zéro est concomitante de cette aseptisation biologique ou sociale qui se déploie dans la gestion de la Covid-19. Ne plus risquer, c’est une illusion du consensus."
"Car en Belgique, les politiques préfèrent manifestement contrôler, culpabiliser et pénaliser plutôt que de vraiment informer, éduquer et faire confiance. Cette situation est très clairement le produit de la rupture du lien de confiance entre les représentants des citoyens et les citoyens eux-mêmes."
"Dans une société matérialiste où l’objectif ultime se révèle de plus en plus pour certains la lutte effrénée contre la mort, on en arrive vite à se couper de tous les autres pour sauver nos petits pénates existentiels. Car pour sauver les corps physiques en les barricadant, nos gouvernants fragilisent le corps social."
"Bref, une des conséquences de ces pertes de repères profondément « incorporés » pourrait être que la distanciation physique entraîne d’une certaine manière une distanciation et une fragilisation sociales, que les échanges numériques et les réseaux sociaux ne parviendront jamais à compenser."
"Ce qu’on attend des dirigeants en démocratie, ce n’est pas de céder à l’hystérie du risque zéro, qui s’apparente à l’univers carcéral mortifère d’Howard Hughes, mais de nous proposer à large discussion démocratique quel risque est acceptable, et sous quelles modalités ?"
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VACCINS OGM : C’EST NON !
“Aujourd’hui, le Parlement européen a adopté une proposition de règlement européen sur les vaccins OGM contre le Covid-19. Ce texte va permettre aux producteurs de vaccins et de médicaments contenant des virus OGM de se passer d’étude environnementale et sanitaire en amont des essais cliniques chez les humains.“
