"Alors que le sujet est épineux dans une Allemagne où la mouvance anti-vaccins est fortement mobilisée, le chancelier allemand promettait depuis des mois la mise en place de l'obligation vaccinale"
“60 ans après le Printemps silencieux, les pesticides ravagent toujours notre environnement“
“ 60 ans après le Printemps silencieux, les pesticides ravagent toujours notre environnement[1] “
Rachel Carson a donné un avertissement important au monde en 1962 avec la publication de son célèbre livre « Silent Spring ». Cela a conduit à l'interdiction très nécessaire du DDT et d'autres produits chimiques hautement toxiques. Mais le système n'a pas changé. Une récente étude [2] menée à la demande du Pan Action Network - Europe montre l'échec de la Directive européenne à vouloir réglementer l'usage et l'interdiction des pesticides Une fois de plus l'Europe plie au lobby de l'industrie phytosanitaire qui ses ramifications avec l'industrie pharmaceutique et militaire.
La prolongation du Covid Safe Ticket en Wallonie était bel et bien illégale
Dans sa décision du 18 avril 2023, la Cour d'appel de Liège, saisie en référé, a fait intégralement droit à l’argumentation de l’ASBL Notre Bon Droit, représentée par Me Lackner et Me Despontin, contre la prolongation du CST en Wallonie à partir du 14 janvier 2022. Elle confirme donc la décision de mars 2022 prononcée par le tribunal de première instance de Namur.
Il reste à attendre les décisions des deux actions au fond (Wallonie et Bruxelles) avant de pouvoir envisager des actions collectives en responsabilité.
Nous reproduisons ci-dessous des extraits de l’article du Soir sur la décision de la Cour d'appel de Liège.
L’obligation du masque n’a rien fait. Va-t-on en tirer la leçon?
Fin janvier, la Cochrane Library publiait “Interventions physiques pour interrompre ou réduire la propagation des virus respiratoires"[1], une analyse invalidant complètement l’obligation du masque. Bret Stephens, journaliste et chroniqueur au New York Times, se demande si tout le monde reconnaîtra ses erreurs et si ceux qui ont été traités avec mépris auront droit aux excuses qu’ils méritent.
Le parquet européen ouvre une enquête sur l’achat des vaccins anti-Covid par l’UE
Le parquet européen vient d’annoncer une enquête sur l’acquisition pour plusieurs milliards d’euros des vaccins anti-Covid par la Commission européenne. L’opacité entourant l’achat de ces vaccins n’a toujours pas été dévoilée, malgré les demandes répétées de certains parlementaires européens.
Pour rappel, certains parlementaires incluant Madame Rivasi, avaient demandé de pouvoir consulter l’entièreté des contrats d’achat, tout comme le prix des vaccins, ainsi que les sms échangés entre Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne et Monsieur Bourla, directeur général de Pfizer, juste avant l’achat de ces vaccins.
Mais les demandes de ces parlementaires n’ont jamais abouti.. [1].
Le parlement européen semble avoir été écarté du processus d’achat de ces vaccins malgré le fait qu’il s’agisse de sommes colossales et de l’argent du contribuable européen, comme nous vous l’indiquions déjà dans notre article “Petits arrangements entre amis”[2]
L’annonce de cette enquête survient au plus fort de la polémique qui agite le parlement européen (et les citoyens) à propos de la réponse de la représentante de Pfizer concernant l’absence d’essais cliniques sur la transmission des vaccins anti-Covid Pfizer-Biontech. [3].
Extrait de l'article du journal Lavenir :
« Le bureau du procureur général européen (ou EPPO en anglais, European Public Prosecutor’s Office) confirme avoir une enquête en cours sur l’acquisition des vaccins anti-Covid dans l’UE", a-t-il indiqué dans un communiqué diffusé sur les réseaux sociaux. Cette confirmation exceptionnelle intervient en raison d’un intérêt extrêmement élevé du public (sur cette question). Aucun autre détail ne sera rendu public à ce stade", ajoute l’EPPO. »
« Au plus fort de la pandémie, la Commission européenne avait négocié et conclu des contrats pour un achat groupé de centaines de millions de doses de vaccin avec des sociétés pharmaceutiques au nom des 27 États membres de l’UE. »
[…]
« Cette confirmation exceptionnelle intervient en raison d’un intérêt extrêmement élevé du public (sur cette question). Aucun autre détail ne sera rendu public à ce stade. »
« Des ONG et des eurodéputés ont critiqué le fait que les aspects clés des contrats restent confidentiels. »
« Un échange de SMS entre la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen et le patron de Pfizer Albert Bourla, révélé par le New York Times, a suscité une polémique et même conduit la médiatrice de l’UE à intervenir. »
« Face au refus opposé par les services de la Commission à un journaliste qui demandait à en connaître la teneur, la médiatrice, Emily O’Reilly, a estimé cet été que le public devait pouvoir avoir accès aux textos échangés par les institutions de l’UE dans les mêmes conditions que pour les autres documents de travail européens »
[…]
Les opinions exprimées dans cet article n’engagent que la responsabilité de l’auteur et ne représentent pas nécessairement celle de BAM!
Le chapô et l'introduction sont de la rédaction de BAM!
[1] https://bam.news/tv-2/michele-rivasi-commission-speciale-covid
[2] https://bam.news/politique/europe/petits-deals-entre-amis
[3] https://www.nouvelles-du-monde.com
Lire l’article dans intégralité ici :
https://www.lavenir.net
Source photo :
Image recadrée à partir de l'image originale de nmann77 sur AdobeStock
Une plainte pénale en Belgique contre Ursula von der Leyen dans l’affaire des SMS avec Pfizer
“Le Vif” de ce 13 avril révèle une information qui fait l’effet d’une bombe.
C'est en effet une première dans la fameuse saga des achats de vaccins Covid-19[1]: Un citoyen porte plainte au pénal contre Ursula von der Leyen pour « usurpation de fonctions et de titre », de « destruction de documents publics » et de « prise illégale d’intérêts et corruption ».
La recommandation des vaccins anti-covid mise à mal dans plusieurs pays
Le pourcentage des myocardites en augmentation, ainsi qu' une étude en Floride poussent certains pays à faire marche arrière en ce qui concerne la vaccination anti-covid, principalement pour les 18-39 ans.
