"Rappelons que, à supposer que le premier principe soit vrai (un virus très dangereux menace la survie de l’espèce), ce dont l’on peut partiellement ou totalement douter, il ne saurait justifier en aucun cas que la fin justifie les moyens, car comme l’avait magistralement analysé Hegel, un être humain n’est pas un moyen : il est une fin."
"Les psychopathes et paranoïaques qui dirigent le monde (et ne sont pas nos gouvernants mais la petite poignée qui tire les ficelles chez ces milliardaires qui, avec leurs milliards, pourraient par exemple éradiquer la faim dans le monde et ne le font pas) nous persécutent depuis longtemps « pour notre bien », parce qu’ils nous vivent, nous les peuples, comme une menace pour eux.
Ah bon, les dirigeants comploteraient contre les peuples ?
Mais c’est vieux comme la nuit des temps ! "
"Ce choc a été créé par l’annonce sans aucun ménagement d’un fléau terrible s’abattant sur la planète, avec l’interdiction d’analyser ne serait-ce qu’un peu à froid ce qui se passe, l’interdiction de tout dialogue, et la transmission de messages de terreur, messages de comptabilité mortifère, martelée à chaque instant par les médias canaux des politiques, aux populations, sans aucun filtre, ni débat contradictoire, ni nuance ou mesure."
"Ce martelage jour et nuit des chiffres et des thèmes de mort ressemble à des méthodes clairement sectaires.
Je rappelle que « secte » signifie « couper », et c’est bien ce qui s’est passé : nous avons été « coupés » de nos proches, de notre travail pour la plupart, de la possibilité de voyager, de la possibilité de nous rassembler, de la possibilité de nous exprimer, de notre vie sociale et professionnelle, et de notre vie d’avant."
Lire l'article dans son intégralité ici :
Source photo :
https://pixabay.com/vectors/beat-bent-bible-comic-characters-2029384/
