En novembre 2020, on comptabilise 1 300 000 morts de la Covid dans le monde (sous réserve d’un comptage fiable, comme on vient de le voir). C’est terrible, c’est indiscutable. Le chiffre est impressionnant. On a décidé que la Terre devait donc s’arrêter de tourner… et pourtant…
Chaque année dans le monde on dénombre 10 000 000 de décès liés au cancer.
Chaque année dans le monde on dénombre 8 200 000 de décès liés au tabagisme (dont 1 200 000 pour le tabagisme passif).
Chaque année dans le monde on dénombre 4 200 000 de décès liés à la pollution de l’air intérieur.
Chaque année dans le monde on dénombre 3 800 000 de décès liés à la pollution de l’air extérieur.
Chaque année dans le monde on dénombre 3 100 000 de décès liés à la malnutrition.
Chaque année dans le monde on dénombre 2 800 000 de décès liés à l’obésité.
Chaque année dans le monde on dénombre 2 780 000 de décès liés au travail (accidents et maladies), le travail est plus dangereux que la Covid !
Chaque année dans le monde on dénombre près de 2 000 000 de décès d’enfant morts-nés.
Etc.
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On a donc une maladie extrêmement contagieuse et terriblement mortelle, au point de détruire nos sociétés, qu’elle tue moins que des maladies non contagieuses...
Et ça, c’est chaque année, en permanence… et ça affole qui ? Quelle mesure incroyablement coercitive ou exceptionnellement liberticide a-t-on jamais prise pour lutter contre cela ? En quoi ces morts seraient plus acceptables et mériteraient moins d’attention et de compassion que celles provoquées par le virus du moment ?
Si on mettait autant de coeur à lutter contre d’autres maladies, on sauverait bien plus de vies qu’avec le confinement, comme le dit Mélanie Dechamps.
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On parle même de «première nécessité» pour la consommation de tabac ! Quelqu’un peut m’expliquer ?
En 2013 en France, les tumeurs ont causés 163 602 décès, les maladies de l’appareil circulatoire 142 175 décès, les maladies de l’appareil respiratoire 37 626 décès.
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Manger des aliments de mauvaise qualité augmenterait le risque de mortalité de 7%… à quand un confinement des mauvaises pratiques de l’agro-alimentaire ? On sait également que l’obésité est un important facteur de risque concernant la Covid-19. Pourquoi n’a-t-on pas lancé un grand plan d’envergure immédiatement pour lutter contre l’obésité ?
[Source(s) liée(s) : 168 + 971 + 1251]
Il est facile de faire peur dans les médias avec des chiffres au moment d’un pic épidémique : «aujourd’hui, 486 morts de la Covid». Au 25/11/2020, en moyenne depuis le début de l’année, on peut déplorer (et c’est évidemment terrible pour les familles touchées, et pour lesquelles j’ai une infinie compassion), en prenant un air grave, 143 décès quotidiens attribués à la Covid. Mais on pourrait faire la même chose chaque jour de chaque année pour annoncer 446 morts du cancer quotidiennement !
Tous ces morts sont-ils moins importants et plus supportables que ceux de la Covid ?
Pourrait-on un peu objectivement relativiser tout cela ?
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Au 31/12/2020, on compte environ 1 800 000 décès «prétendus» Covid dans le monde sur un total annuel de décès d’environ 57 000 000 toutes causes confondues. Moins de 3% des décès ont donc changé la face du monde, et plus de 97% ne comptent plus. Avec 7,8 milliards d’habitants, cela représente 1 décès étiqueté Covid pour 4000 habitants. Cela signifie qu’en une année complète, sur un village de 4 000 habitants, 29 décès généraux seront survenus sans que rien ne change, et un seul décès «Covid», souvent d’une personne très âgée, et dont on n’est même pas certain qu’il soit à 100% lié à la Covid, aura détruit l’économie, le tissu social et la santé psychologique des 3 999 autres habitants.
On n’oubliera pas, au 1er janvier 2021, de remettre les compteurs à zéro afin de pouvoir comparer honnêtement la mortalité «Covid» avec les autres causes de mortalité pour l’année à venir. L’année 2020 totalise 64 632 décès «étiquetés» Covid en France, 1 798 154 dans le monde. Si on utilise le cumul 2020 et 2021 pour annoncer le nombre de décès «Covid», il faudra le faire pour toutes les autres causes de décès. Si on peut se permettre de dire qu’au 09 février 2021 la barre des 80 000 morts de la Covid-19 a été franchie, (nombre brandi comme un trophée par certains médias, et en considérant que ces décès soient tous imputables à la Covid-19), sans mettre de borne temporelle, on peut tout aussi bien déclarer que le cancer a tué plus de 450 000 personnes, en omettant de préciser qu’il s’agit d’un cumul des années 2018, 2019 et 2020. De même, on n’a jamais cumulé la totalité des décès de la grippe depuis que la grippe a été identifiée.
[Source(s) liée(s) : 1070]
En Belgique, l’année 2021 semble démarrer avec une sous-mortalité globale, et pourtant les mesures mesures dogmatiques, moyenâgeuses, coercitives, menaçantes, punitives sont toujours les mêmes qu’au printemps 2020.
[Source(s) liée(s) : 1248]


Mortalité générale, un mot sur la grippe

On sait que la grippe tue, c’est comme ça, nous sommes mortels, on l’accepte.
[Source(s) liée(s) : 14]
L’Organisation Mondiale de la Santé estime qu’elle entraîne à elle seule 1 milliard de cas, entre 3 et 5 millions de cas graves et 290.000 à 650.000 décès par an dans le monde. Les hospitalisations et les décès surviennent principalement dans les groupes à haut risque (personnes âgées, malades chroniques…).
[Source(s) liée(s) : 15]
Bien sur les morts du Covid sont des morts de trop, surtout lorsqu’il s’agit d’un proche. Mais en quoi les morts de la grippe seraient-ils plus acceptables que ceux de la Covid ? Un décès de la grippe, c’est aussi une vie qui s’arrête, une famille endeuillée, et parfois des images insoutenables dans les hôpitaux... Alors va-t-on désormais, pour se protéger de la grippe, chaque année, pendant plusieurs mois, rester tous enfermés, se greffer un masque sur le visage, éviter les contacts, ne plus voir ses proches, se méfier des autres, arrêter de vivre, vouloir à tout prix vacciner 7 milliards de personnes et d’enfants ?...
Si demain votre père ou votre grand-mère meurt de la grippe, ne serez-vous pas malheureux et triste ? Moi oui. Mais va-t-on demander à tout le monde de rester chez soi pour que le virus de la grippe n’arrive pas à jusqu’à eux ? Oui la Covid tue plus que la grippe, mais à partir de combien de morts la mort n’est plus acceptable au point de réduire en miettes une nation ? Où placer le curseur ?
Actuellement, si vous avez la grippe, vous n’invitez pas vos amis à diner, vous n’allez pas voir vos anciens, vous restez chez vous (éventuellement en arrêt de travail ou en télétravail si vous avez un emploi), vous prévenez les gens que vous avez vus le week-end dernier... et si vous êtes fragile de par votre état de santé globale ou votre âge, vous faites attention quand vous mettez le nez dehors. Vous vous lavez les mains parce que vous connaissez les règles de base d’une bonne hygiène. Et, si vous le souhaitez, vous vous faites vacciner... On sait ce qu’il y a à faire, on le fait, nous n’avons pas besoin d’une pris en main militaire étatique pour la grippe. Ne sommes-nous pas des adultes responsables doués de réflexion et d’intelligence ? Bref, les «gestes barrière» ce n’est pas un nouveau concept, c’est du bon sens et de l’hygiène… On se lave les mains régulièrement en toutes circonstances, et quand on est malade on reste à la maison, rien de bien nouveau. De l’hygiène, pas de l’hygiénisme extrémiste.
Je ne dis pas qu’il ne faut pas prendre quelques précautions et protéger les plus vulnérables, bien au contraire. Mais pourquoi toute cette folie pour la Covid ? Pourquoi ne veut-on pas accepter que des personnes puissent en mourir comme on l’accepte pour d’autres maladies ? On ne pourra pas empêcher la Covid de faire des morts. Et les autres morts ont-elles définitivement moins de valeur ?

Rendez-vous demain pour la suite…

Retrouvez l'épisode précédent ici :
2/40 - MORTALITÉ COVID-19 - COMPTABILITÉ, EHPAD ET GRIPPE


Cette tribune est extraite du document "Une autre vision de la Covid" publié pour la première fois le 09 décembre 2020, puis mis à jour et complété jusqu'à ce jour.

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Un décompte généreux

Rappelons qu’on peut mourir de la Covid, tout comme on peut mourir d’une pneumonie ou d’une grippe (même si c’est plus rare), mais que l’immense majorité des personnes qui croisent le virus ne développent pas de symptômes ou contractent la maladie et guérissent rapidement.
[Source(s) liée(s) : 14 + 16 + 27 + 87 + 231 + 1167]
Mais on peut en mourir, c’est une réalité. Au 25 novembre 2020, on compte 50 237 décès étiquetés «Covid». Oui mais voilà, cela ne signifie pas que la Covid a tué 50 237 personnes.
Tout d’abord, aurait-on pu limiter le nombre de formes graves de la maladie, et donc de décès, en investissant massivement dans la piste des traitements, notamment en phase précoce de la maladie ? Combien de décès auraient ainsi pu être évités ?
Mais surtout, aucune statistique n’a été créée pour différencier :
- les personnes décédées de la Covid uniquement ;
- les personnes atteintes d’autres pathologies et pour lesquelles la Covid a joué un facteur aggravant fatal, précipitant un décès parfois déjà inexorable ; [Source(s) liée(s) : 1180]
- les personnes qui sont décédées d’autre chose et testées positives à la Covid sans que celui-ci n’ait eu d’influence sur le décès (y compris des maladies aux symptômes proches...) ;
- les personnes étiquetées Covid alors qu’elles n’ont même jamais rencontré le virus !
La présence d’un test Covid positif chez un patient pourrait faire entrer son décès dans le grand décompte «Covid», quelle que soit la raison «réelle» du décès.
Olivier Véran déclare lui-même concernant l’épidémie du printemps 2020 : «probablement qu’un certain nombre de personnes qui sont décédées «porteur du Covid», ne sont pas décédées «du» Covid» !
Impossible de connaître les proportions de ces différentes situations. C’est pourtant primordial.
De très nombreux témoignages de professionnels de santé, infirmières, médecins, chercheurs etc. affirment que des morts de toutes sortes (cancers etc.) sont étiquetées «Covid», à leur initiative ou à la demande de leur hiérarchie, alors que les patients sont morts d’autre chose.
[Source(s) liée(s) : 390 + 448]
Témoignage personnel : Un ami de mon médecin traitant est décédé à domicile d’un arrêt cardiaque, sans lien avec la Covid, fin novembre 2020. Il a été étiqueté «Covid», mis en bière en moins d’une heure, la famille n’a même pas eu le temps d’arriver. Non seulement c’est faux, mais c’est inhumain. Ce même médecin a connaissance d’une autre personne de 85 ans, qui est décédée à l’hôpital après avoir contracté un staphylocoque doré, étiquetée elle aussi «Covid» alors que ce n’est pas la raison du décès.
Dans les hôpitaux, une fiche est créée pour chaque patient hospitalisé, diagnostiqué comme atteint de la Covid-19 grâce à un test PCR ou un scanner du thorax, qu’il s’agisse d’un patient admis à l’hôpital pour une suspicion de Covid-19 ou pour tout autre motif au départ.
Pour les décès à domicile, comme pour les autres, l’OMS suggère de compter tout « décès résultant d’une maladie cliniquement compatible, chez un cas probable ou confirmé de Covid-19 ». Une simple suspicion, sans preuve ni test, fait qu’un décès va se retrouver étiqueté Covid.
[Source(s) liée(s) : 370]
En Belgique, le nombre de décès «Covid» aurait été surestimé. Philippe Boxho, vice-président du Conseil national de l’Ordre des médecins belge, avoue en janvier 2021 : «on a vu et on sait qu’on a beaucoup plus de morts qu’en fait du Covid-19». Dans combien d’autres pays est-ce le cas ? Pour quelle raison ?
[Source(s) liée(s) : 1036]


Du côté des EHPAD...

Dans les EHPAD (établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes) en France… Olivier Véran déclare le 05/11/20 qu’en EHPAD, s’il y avait un seul «cas» Covid (donc même non malade) dans l’établissement, tous les décès présentant un doute étaient systématiquement étiquetés «Covid», même si ce n’était donc pas le cas ! Et c’est exactement la même chose en Belgique, Sciensano (l’Institut national de santé publique en Belgique) et Elio di Rupo (Président de la région Wallone) le confirment !
[Source(s) liée(s) : 344 + 1055]
Ca commence à faire beaucoup… Combien de pays ont de la même manière surgonflé la mortalité «Covid» aux hormones statistiques ?
Sans compter que le 29 mars 2020, le gouvernement français a autorisé par décret le recours à des médicaments de soins palliatifs. Parmi eux, le Rivotril, habituellement interdit en médecine de ville et dans les EHPAD, et voici ce qui se serait passé dans les EHPAD. Je me permettrai de simplement retranscrire un extrait d’un article de France Soir : «C’est en 2020 que l’on a séparé les anciens des EHPAD de leur famille, qu’on leur a dénié l’accès à l’hôpital. Pire encore, a été organisée la possibilité de leur injecter du Rivotril en cas de COVID-19 symptomatique. Il est important d’en comprendre la raison ; la cause profonde est la pénurie chronique du système de soin placé sous l’égide des lointains fonctionnaires tout-puissants des ARS, ne pouvant faire envisager hospitalisation, encore moins en service de réanimation. Il ne restait donc, dans l’esprit des dits décideurs (lesquels ?), qu’à cacher la poussière sous le tapis ; traiter l’asphyxie par une sédation profonde… Oui, il s’agit d’actes graves d’euthanasie active puisque ce produit est un dépresseur respiratoire et employé chez des malades n’arrivant plus à respirer ! N’avaient-ils pas le droit à de l’oxygène, d’autant que l’on peut oxygéner à l’aide de méthodes non invasives (optiflow) ? Dans quel pays sommes-nous ?».
Jean-Jacques Gaultier, député des Vosges, déclare lors de la commission d’enquête sur la Covid-19 : «Ces patients n’ont pas été évacués en réa, ils ont été évacués au cimetière», dénonçant notamment l’utilisation du Rivotril.
Le Pr Trouillas affirme quant à lui qu’on a non seulement refusé l’accès aux hôpitaux pour les personnes âgées vivant dans les EHPAD, mais qu’on a soigné des troubles respiratoires, avec un «poison respiratoire», le Rivotril. Il parle même d’homicide…
[Source(s) liée(s) : 485 + 492]
A voir... l’émission «Pièces à conviction» diffusée par France 3 le 18/11/2020 avec pour titre «Covid-19 : que se passe-t-il vraiment dans les Ehpad ?». Ha oui quand même...
[Source(s) liée(s) : 430]
Il faut dire que les EHPAD n’ont pas toujours bonne réputation comme en témoignait déjà Hella Kherief en 2019 dans son livre, ou encore l’auteur d’un article sur Mediapart, la rentabilité semblant parfois primer sur le bien-être. Sans compter le manque de moyens.
[Source(s) liée(s) : 980 + 241]
On aurait donc volontairement laissé les anciens dans les Ehpad ou à domicile, en raison d’une note ministérielle du 31 mars.
[Source(s) liée(s) : 926]
On aurait donc potentiellement permis d’utiliser un produit qui aurait achevé un certain nombre de patients au lieu de tenter de les sauver ? N’avait-on pas d’autre solution ? Je vais vomir, je reviens… Et en attendant, les statistiques de décès «étiquetés Covid» augmentent…
On peut également se demander pourquoi on a toujours autant de décès «Covid» à l’épidémie d’automne 2020 qu’à celle du printemps 2020, alors qu’on est censés avoir l’expérience de la première, que les visites sont limitées, encadrées, masquées (le masque protégeant logiquement de la transmission)... que des mesures ont été prises... que le personnel est masqué et se lave les mains... etc... Comment la Covid arrive-t-elle encore à faire autant de morts en EHPAD fin 2020 ? Est-elle réellement la cause des décès (si oui c’est un véritable scandale) ? Continue-t-on à attribuer l’étiquette «Covid» au moindre soupçon de cas dans l’établissement sans aucune vérification réelle, ni même tests systématiques ?
[Source(s) liée(s) : 1099]
Denis Agret est médecin à la Fondation Partage et Vie (ex fondation Caisses d’Épargne pour la solidarité), qui gère 83 EHPAD. Il constate que le nombre de décès en 2020 ne serait pas très supérieur à 2019. Entre la période 11/2018 > 10/2019 et 11/2019 > 10/2020, il n’y aurait «que» 129 décès supplémentaires sur l’ensemble des 83 EHPAD, soit 1,5 décès par établissement. Il y a bien des décès, mais il n’y en aurait pas forcément plus qu’en temps normal. Ces informations sont à creuser, et il serait plus qu’intéressant d’obtenir le même type de données pour tous les EHPAD de France.
[Source(s) liée(s) : 981]
N’oublions pas qu’on va en EHPAD pour y finir sa vie, après un séjour d’environ 3 ans et 4 mois en moyenne... Existe-t-il une réelle surmortalité importante dans les EHPAD en 2020 ? Ou a-t-on simplement collé des étiquettes «Covid» à une grande majorité de morts ? La surmortalité observée peut-elle être en partie liée aux conséquences physiques, psychiques et sociales des mesures «Covid» ? En partie liée aux traitements administrés pendant cette période ? Si les statistiques sont faussées, c’est très important et potentiellement délétère, car les décès en EHPAD représentent 1/3 des décès «Covid» et contribuent en grande partie à justifier la mise en place de mesures très graves pour la population générale.
[Source(s) liée(s) : 981]
Je glisse ici que Grégory Emery, le conseiller sécurité sanitaire d’Olivier Véran rejoindrait le géant européen gestionnaire privé d’EHPAD «Korian» en férier 2021. Ce groupe d’EHPAD semble avoir apprécié la formidable gestion sanitaire du ministère.
[Source(s) liée(s) : 1141]


Et la grippe ?

Et la grippe ? Elle aurait, sinon disparu, au moins réduit beaucoup (moins de consultations ou de passages en réanimation que les années précédentes). Etait-elle particulièrement mois virulente cette année ? A-t-on attribué l’étiquette «Covid» à des décès liés à la grippe ? En fait sans doute pas tout à fait… Plusieurs articles et études font état d’un phénomène appelé «interférence virale», une sorte de compétition entre virus. En gros, la Covid et la grippe utiliseraient la même porte d’entrée pour nous contaminer et ne pourraient pas co-exister. L’un protègerait de l’autre en quelque sorte. La Covid prendrait à sa charge une partie de la mortalité habituelle de la grippe saisonnière.
[Source(s) liée(s) : 316]
Cela pourrait par ailleurs avoir pour conséquence notamment de rendre plus vulnérables au coronavirus, les personnes vaccinées contre la grippe, les plus âgées. A approfondir...
[Source(s) liée(s) : 22 + 290 + 396]
Il s’avère également qu’on ne comptabilise pas les décès de la grippe directement, mais d’après des estimations statistiques basées sur la surmortalité, perturbées en 2020 et 2021 par les épidémies de Covid. Cela pourrait en partie expliquer qu’on ne comptabilise pas ou peu de grippes. Une partie de la surmortalité habituellement attribuée à la grippe a-t-elle été en 2020 attribuée à la Covid ?
[Source(s) liée(s) : 977]
On constate donc en accumulant toutes ces données que les décès attribués au Covid sont surestimés. Mais dans quelle mesure ? 10 % ? La moitié ? Personne ne le sait… Encore une fois, la mortalité globale pourra peut-être nous apporter quelques indices.
En faussant les statistiques des décès, que ce soit volontaire ou pas, on contribue à gonfler également potentiellement la létalité de la Covid. On attribue à tort l’étiquette «Covid» à des morts, mais à l’inverse, on n’attribue pas à tort d’étiquette Covid à des vivants. Faut-il revoir le taux de létalité à la baisse ?
Oui ce virus tue, c’est indéniable. On arrive ici à une estimation d’un nombre de décès situé entre 12 000 (estimation très basse basée sur une moyenne mondiale) et 55 155 au 06/12/20 (donnée réelle officielle, mais semble-t-il surestimée, comme on vient de le voir).
Témoignage personnel : J’ai moi-même vu ma maman se décomposer vivante sous mes yeux à cause d’un cancer, et je ne sais que trop l’horreur et la douleur de perdre un proche. Mais la mort fait partie de la vie et ne doit pas altérer notre jugement global. Il faut raison garder. Où est le cataclysme qu’on nous vend et qui paralyse la planète ? Pourquoi fait-on cela ?
Où est ce virus phénoménal qui devait emporter toute une partie de l’humanité ? Cette pandémie est définitivement bien moins mortelle que prévu, et on s’entête à massacrer un pays, une planète. C’est pour ces chiffres que nous avons détruit notre économie ? Que nous avons piétiné nos libertés les plus essentielles ? Que nous avons détruit le lien social ? Que nous laissons moisir nos anciens dans les EHPAD depuis des mois ? Que nous avons détruit notre vraie santé ?
[Source(s) liée(s) : 45]
Rappelons la définition de la santé par l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) : «La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité». Il est à peu près certain que les mesures prises pour lutter contre la Covid ont détruit la «santé» de bien plus d’individus que la Covid elle-même.

Rendez-vous demain pour la suite…

Retrouvez l'épisode précédent ici :
1/40 - MORTALITÉ COVID-19 - LE NOMBRE ET LE PROFIL DES DÉCÈS


Cette tribune est extraite du document "Une autre vision de la Covid" publié pour la première fois le 09 décembre 2020, puis mis à jour et complété jusqu'à ce jour.

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Depuis plus d’un an, j’écoute et je suis des directives qui pourtant ont prôné tout et leur contraire

J’enfoncerai ici quelques portes ouvertes mais je pense qu’il est important de se souvenir que le port du masque est passé de superflu à essentiel, nous avons dû rester enfermés chez nous, nous avons pu ressortir, voir nos amis par groupe de 10, 4, 2…
Aujourd’hui encore je peux prendre le métro rempli de nombreuses personnes qui sont loin de faire partie de ma bulle mais je ne peux pas me faire un repas en tête à tête dans un restaurant. Pour une jeune femme célibataire de 30 ans qui habite seule, ça limite les perspectives.
Il m’est recommandé de travailler chez moi, mais les compagnies aériennes et ferroviaires restent ouvertes à condition bien sûr que les voyageurs aient «une bonne raison».
Les lieux de cultes restent ouverts mais les lieux de cultures sont interdits…
Autant d’incohérences qui guident mes actions quotidiennes, et s’ajoutent à elles un magma de questionnement:
Le Covid vient-il du pangolin? Si c’est le cas, comment a-t-il été transmis à l’homme? Est-ce qu’un test de laboratoire a mal tourné? Quelle place et quel pouvoir détiennent réellement Bill Gates et ses acolytes milliardaires dans cette crise? Qu’en est-il de la liberté de la presse? Suis-je face à une crise sanitaire, économique, politique?
Il y’a aussi des informations que je n’ai pas eu le temps de bien comprendre. Pouvons-nous revenir sur les coupures de budget qui seraient une des causes de la saturation des hôpitaux? Serait-il possible de rouvrir le débat sur la fiabilité des test PCR? Sur la chloroquine? Les différents vaccins?
Qui sont les experts, les virologues, les scientifiques qui s’adressent à nous à la télé, sur youtube, insta, facebook?
J’ai des témoignages d’amis et de personnes de ma famille qui font partie du corps médical et qui ne comprennent pas les mesures mises en place. Pourquoi les médecins de famille n’ont pas participé aux Conseils? Je sais que la médecine de première ligne en Belgique est une des meilleurs au monde, alors pourquoi ne leur a t’on pas donné la parole? Dans le passé, lors des épidémies de grippe, c’est pourtant les médecins vigies qui permettaient d’obtenir des résultats fiables. Je regarde des chiffres, des graphiques, des courbes… J’entends dire que les gens meurent du Covid ou meurent avec le Covid sans qu’ils soient différenciés.
Nos représentants prônent la sécurité sanitaire mais si cette dernière était réellement notre cheval de bataille, cela fait longtemps que nous aurions pris des décisions pour rendre la vente d’alcool, de tabac ou de nourriture génétiquement modifiée illégale car, comme nous le savons, ces produits sont, comme le covid 19, cause de mortalité. Pourtant, ils sont encore en vente libre et seule notre liberté a été entravée. Dois-je donc comprendre que mourir du cancer, d’une cirrhose, de dépression ou du diabète est socialement acceptable et ne mérite pas d’être combattu, alors que la seule possibilité d’être contaminé par un virus donne tout pouvoir et crédit à des mesures exceptionnelles?
Alors pour essayer d’y voir clair, la tête pleine de toutes ces questions, je me tourne vers les faits:

  • Le fait que nos ainés soient abandonnés et destinés à l’unique attente de la mort pendant que le reste du monde est privé de sortie pour ladite protection de ces mêmes personnes âgées;
  • Le fait que nous laissons de nombreuses personnes être catégorisées «non essentielles» et «non prioritaires», ce qui encourage une discrimination massive et une dévalorisation;
  • Le fait que l’on garde nos lieux de culture et de rassemblement fermés;
  • Le fait que les dernières tentatives citoyennes pour remettre en question les mesures en vigueur ont été arrêtées par des hommes armés;
  • Le fait que chaque semaine depuis bientôt un an des mesures de plus en plus liberticides prennent place dans nos villes et nos foyers;
  • Le fait que, avec des discours affirmant une crise sanitaire et sous des menaces économiques, le gouvernement a propagé la culpabilité et la peur. La peur de la maladie, la peur de la mort, la peur de l’autre, la peur de sortir et de se rassembler.

Si je m’exprime aujourd’hui ce n’est pas pour dire que j’en ai marre. Je n’attends pas qu’on me donne une solution car je pense que nous n’avons pas tous le même problème. Certains font le choix de lutter et de se protéger contre la maladie et la mort, tandis que moi, j’ai envie de me battre pour la santé et célébrer la vie. Mon combat est tourné vers une valeur sans laquelle la vie n’aurait à mes yeux aucun sens, une valeur pour qui tant d’autres sont déjà tombés avant moi et que par respect pour ces hommes et ces femmes qui me servent de modèles je me dois de continuer à préserver la liberté, et dont je revendique haut et fort mon droit à la défendre.
J’écris parce que j’ai besoin qu’on sache que je n’accepterai plus de me soumettre à des croyances que je ne partage pas. Mon éducation me permet de les respecter intellectuellement mais les messages ne m’ont pas convaincue. Je n’attendrai pas sagement, enfermée chez moi, un vaccin.
L’Histoire m’a prouvé que le «There’s no alternative» ne remplit pas ses promesses!

S’il est légitime d’avoir peur de la mort, est ce qu’il l’est moins de considérer que cette dernière (tout comme son antagoniste, la naissance) sont deux évènements inévitables qui ensemble forment la complétude de la vie et que, suivant cette logique, avoir peur de la mort pourrait être synonyme d’avoir peur de la vie elle-même? J’assumerai alors et prendrai mes responsabilités quant aux conséquences qu’impliqueront ma décision d’être prête à mourir si cela signifie de pouvoir vivre libre.
Je ne me place pas en juge, je ne condamne pas ceux qui désirent continuer à vivre en plaçant la peur comme pièce centrale du puzzle. Je refuserai cependant d’agréer aux discours qui s’accordent à lui accoler des mots comme empathie, générosité et civisme, sous-entendant que ceux qui ne se soumettent pas à cette peur sont des égoïstes, des individualistes et des inconscients.
Je ne me place pas en juge, je ne recherche pas de coupable car je ne veux pas créer de victimes.
Ce texte est une invitation à reprendre nos responsabilités individuelles concernant le mode de vie que nous désirons mener. Je tends la main à toutes personne désireuse de ne pas vivre dans un monde ou seul le travail économiquement rentable est mis à l’honneur et dans lequel toute forme de divertissement est catégorisée de superflu. Car enfin quel serait le sens de la vie dans un monde dénué de beauté et de plaisir? J’aspire à ce qu’on évolue ensemble et je sais aujourd’hui comme une évidence que je ne passerai pas ma vie à attendre une mort certaine terrée dans la peur de sa cause.
Seule je ne suis qu’une idée fantasque; ensemble, nous pourrions être le changement que nous voulons voir dans le monde. 

Photo: BAM! Lou

Categories: Lou 

Salut !

Moi c’est Lou, j’ai 30 ans.
Née dans une famille d’artiste, j’ai fréquenté pendant 8 ans le milieu théâtral bruxellois. Entre voyageuse exilée et citoyenne militante, je suis aujourd’hui en pleine reconversion professionnelle, je me forme aux médecines holistiques à travers l’approche naturopathique.
Je suis passionnée par les sciences, la philosophie, la musique, puis je suis sensible à toutes formes d’art.
J’aime me poser des questions, déconstruire mes croyances, en bâtir de nouvelles. J’aime me confronter au réel, aller à la rencontre des autres, j’y vais avec toute ma curiosité et ma bienveillance dans l’espoir de créer un peu de chaleur, de donner la place et la parole à la vérité au pluriel et tenter de trouver une humanité dans un monde que je trouve souvent cruel et passablement vulgaire.

Je suis resté silencieux un long moment, comme une nécessité absolue. J’avais besoin de «m’éloigner» de cette pensée unique qui nous est injectée par doses infimes, si infimes que rares sont ceux qui refusent la deuxième, la troisième, la dixième dose. Les centres de vaccination sont télévisuels, radiophoniques, visuels, etc. On placarde nos villes de messages d’espoir pour un lendemain meilleur, on distille des mesures à suivre pendant nos achats, entre la viande sous plastique et les fruits coupés en quatre sans pépin et emballés individuellement.

J’entends des responsables politiques devenir vigiles de boîtes de nuit: le fameux «Tu rentres pas si tu as des baskets aux pieds» est devenu «Pas de quarantaine si tu es vacciné».

J’entends déjà l’opprobre grandissant de la bienpensante communauté masquée et hygiéniste qui nous entoure: «Il faut nous protéger mais surtout protéger les autres…», «Vous êtes des égoïstes, des égocentriques.» ou encore «Ben, si tu te fais pas vacciner, assume et sors plus de chez toi».

Que disaient ces mêmes personnes, il y a un an lorsque, personnellement, j’écrivais que nous aurions un passeport de santé pour voyager? Ah oui: «Complotisme»! Que disaient-elles lorsque j’écrivais que la vaccination serait faussement un libre choix? «Complotisme»! Que me hurlaient-elles au visage quand j’énonçais des restrictions sur nos libertés? «Complotisme»…

Que pensez-vous qu’elles vont me dire aujourd’hui si j’écris que (et je le pense tout aussi profondément et sincèrement) nous allons voir apparaître les premières discriminations à l’embauche pour non-vaccination? Que dira-t-on de moi si j’énonce que, bientôt, si rien n’est fait, les non-vaccinés n’auront plus droit d’aller chez le coiffeur, chez le boucher, chez H&M, chez Primark, à l’hôpital? Pensez-vous improbable qu’à terme, les non-vaccinés n’aient plus autant de droits que les autres?

La pensée unique… Voilà ce qu’elle produit, selon moi: des personnes qui ne pensent plus par elles-mêmes, à qui il faut dire quoi faire, quand le faire, comment le faire mais surtout pas pourquoi ni pour quoi. Je le fais parce que c’est comme ça. Je regarde tel programme parce que c’est comme ça. Je lis tel journal parce que c’est comme ça. Je fais telles études parce que c’est ce que l’on me dit de faire. Je pense donc nous sommes tous identiques.

Hé, arrête-toi un peu hein, ça fait des siècles que l’on construit des ponts de la même façon et toi, tu crois qu’on va changer ça??? Ouais, dis-toi simplement qu’avant le pont, on traversait un cours d’eau en barque et, qu’avant ça à la nage et qu’avant ça encore, on faisait demi-tour. C’est parce qu’un gars s’est dit un jour: «Tiens, si je faisais un truc solide, rigide qui relierait les deux côtés?» qu’aujourd’hui, on construit les ponts de la même façon!!! Si on va dans l’espace, c’est parce que des personnes ont pensé différemment, si on roule en voiture aussi, si il y a de l’électricité aussi, si tu peux me lire sur ton PC encore et toujours aussi. Toutes les inventions passées, présentes et futures ont été, sont et seront élaborées par des personnes qui pensent différemment.

Je suis conscient que me protéger, c’est protéger les autres et je pense avoir suffisamment de réflexion pour me dire que si je suis malade, je reste chez moi, j’annule une soirée éventuelle, j’évite d’embrasser le front de mes enfants, je me mouche dans un mouchoir et je me lave les mains plus régulièrement. C’est aussi un sens que nous avons oublié/perdu avec le temps: LE BON SENS. C’est, pour moi, lié à notre manque d’utilisation de notre pensée, de notre réflexion. Nous avons oublié que nous sommes dotés d’intelligence et qu’elle se «muscle» par la lecture, la curiosité, le croisement d’informations divergentes, la recherche, …

Soyons clairs, se faire une opinion sur la vaccination est impossible. Les médias relaient aveuglément les paroles politiciennes, qui elles-mêmes relaient les paroles du Comité Scientifique, qui lui-même, pour une partie en tout cas, relaie les paroles lobbyistes de Bruxelles. Et d’un autre côté, il y a des médecins qui nous relaient d’autres informations, souvent contradictoires avec les premières, plus «rassurantes» aussi. Que faire, me direz-vous? Simplement, faire appel à son bon sens. La communauté scientifique n’étant pas en accord sur ce point, nous devrions avoir une VRAIE possibilité de choix et attendre. C’est un avis qui ne se base sur rien de scientifique mais sur de la logique humaine, MA logique, qui n’engage que moi. Et je ne peux que vous inviter à avoir votre propre logique, votre mode de pensée et votre choix unique et responsable.

La vérité est un flambeau qui luit dans un brouillard sans le dissiper” - C.Adrien Helvétius

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Les opinions exprimées dans cet article n’engagent que la responsabilité de l’auteur et ne représentent pas nécessairement celle de BAM!

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Perceval

Ma motivation première : La Liberté. Celle de choix, de penser, de critiquer, de ne pas être d'accord, de choisir son traitement, de remettre en question les dirigeants, de vivre simplement.
Je suis un père de famille recomposée, rassemblée où je tente d'instaurer le débat d'idées, la recherche d'informations contradictoires, la curiosité. Je ne suis ni journaliste ni gourou ni prêcheur, je suis simplement un citoyen qui ne veut plus se contenter d'une vérité érigée en dogme non discutable par des personnes qui ne sont plus, à mon avis, en phase avec vous, avec moi, avec NOUS.

La Covid est une réalité. Mais quel est le risque réel ? Les mesures prises sont-elles justifiées ? Beaucoup d'informations ne circulent pas. Pour tenter une autre histoire de la Covid, j’ai compilé plus de 2000 ressources afin de déterminer des certitudes, émettre des hypothèses, poser des questions.... Cette démarche s'est soldée par la production d'une publication de 80 pages. 

BAM vous en propose la lecture sous forme d'épisodes thématiques quotidiens (du mercredi au dimanche).

À l'instar des BB (black bloc) en France, groupes anonymes de véritables casseurs relativement bien identifiés par tous les services de police, un petit groupe de bras cassés que la presse officielle s'empresse de nommer "casseurs" pour satisfaire l'opinion publique, auraient à eux seuls justifié l'opération policière disproportionnée de ce samedi 1er mai.

600 policiers 4 autopompes appuyées par la police montée, un drone et un hélicoptère, des brigades canines, n'ont pas suffi à neutraliser une petite bande inexpérimentée, neutralisation qui aurait pu éviter une répression policière aussi impressionnante qu'inutile et injustifiée eu égard au risque sanitaire invoqué qui demeure extrêmement insignifiant, selon toutes les études scientifiques connues à ce jour. 

L'utilisation active ou passive de ces groupes constitués d'individus organisés ou non, sans appartenance formelle ni hiérarchie, tout de noir vêtus, cagoulés et masqués pour l'anonymat et constitués principalement d'activistes issus des mouvances de l'extrême gauche libertaires ou anarchistes autonomes, est connue depuis belle lurette.
Des témoignages édifiants circulent, preuves à l'appui, que certains policiers (entre autres des supérieurs hiérarchiques) ont été prévenus sur le terrain à plusieurs reprises de la présence de ces individus en très petit nombre (quelques dizaines sur quelques milliers) et qu'il leur a été demandé plusieurs fois de les mettre hors d'état de nuire. 

Or, il semble que rien n'ait été entrepris pour les arrêter.

Les autorités bruxelloises auraient-elles été incapables d'empêcher cette petite bande de nuire malgré le déploiement d'un dispositif coûteux et disproportionné ou auraient-elles tout simplement laissé faire afin de justifier l'usage légal de la force?

Incurie, incompétence, laxisme délibéré ou/et opportuniste politique?

© Michel Rosenzweig

Source photo :
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A l’occasion de la conférence de presse de ce vendredi 23 avril, comme lors des conférences de presse précédentes, Monsieur De Croo s’est efforcé de nous vendre sa politique vaccinale pour de la «liberté». C’est indigne.

    Une liberté conditionnelle n’est pas une vraie liberté.

    Une liberté surveillée n’est pas une vraie liberté.

    «Faites-vous vacciner» a-t-il martelé. Et il a justifié cette injonction en indiquant que se faire vacciner revenait à agir «pour sa propre liberté» et aussi «pour la liberté des autres». Message implicite : si vous décidez de refuser la vaccination, vous privez les autres de leur liberté. Un odieux chantage. Présenter les choses de cette façon relève à la fois de la manipulation et du mensonge.

    Manipulation, parce que c’est mettre une grosse pression affective sur les personnes que de leur suggérer que leur choix (supposé libre) va impacter négativement les autres. C’est une façon de supprimer, de facto, la liberté de choix. C’est engendrer un conflit de loyauté. C’est introduire un facteur clivant, avec une situation de double lien. Si je choisis de me faire vacciner quand même, alors que je ne le souhaite pas, je me nie moi-même. Mais si mon choix est de ne pas me faire vacciner et que je reste fidèle à moi-même, à mon choix, alors, selon ce que présente M. De Croo, je fais du tort aux autres. Comment sortir de cette impasse destructrice?

    En réalité, la question ici n’est même pas de considérer si le vaccin est une bonne chose ou une mauvaise. La question n’est pas de savoir si on est pour ou contre. Chacun en décidera pour lui-même en conscience. La question est qu’il faut qu’il y ait le choix. Un vrai choix, relevant d’un consentement libre et éclairé, un choix qui relève vraiment de la conscience de chacun, sans aucune sorte de suggestion ni de sujétion. Cela suppose de pouvoir être informé valablement, de façon rigoureuse et objective, et cela, hélas, ce n’est plus possible actuellement via les médias officiels, au vu de la désinformation qui y règne. Les sites que le gouvernement a mis en place pour «informer» la population, type «jemevaccine.be», font de la «sensibilisation orientée» pour forcer l’acquiescement. Une solidarité non choisie n’est qu’une pseudo-solidarité. Un consentement forcé, sous pression, n’a rien d’un réel consentement. Si la politique sanitaire de M. De Croo ne permet pas de réel choix en matière vaccinale, elle bafoue nos droits fondamentaux et inaliénables, à commencer par notre droit à la santé.

    Mensonge, parce que cette politique de la vaccination massive nous conduit à une dépendance. Dépendance par rapport à l’industrie pharmaceutique, à son bon vouloir, à sa capacité à nous fournir des vaccins, aux prix qu’elle fixe, aux conditions contractuelles qu’elle exige et qu’elle exigera dans le futur. Dépendance sanitaire aussi, induite par une politique exclusivement centrée sur le virus, qui nous met à la merci de ses incessantes mutations. L’épidémie de «triple mutant» B.1.617 qui sévit actuellement en Inde n’a plus grand chose à voir avec l’épidémie du mois de mars de la même année. Le virus initial s’est transformé. Si nous persistons dans une telle vision de notre santé, nous aurons sans cesse besoin à l’avenir de nouveaux vaccins, au rythme où se développeront les nouveaux variants, nous aurons besoin a minima de rappels des vaccins, de doses supplémentaires, etc. Ces dépendances sont le contraire de la liberté. Une autre vision de la santé est nécessaire, tout comme est nécessaire une autre vision de la gestion épidémique.

    Ajoutons à cela que cette soi-disant «liberté retrouvée» que nous annonce Monsieur De Croo, va être assortie d’une surveillance et d’un contrôle permanent, sous la forme d’un passeport vaccinal. Ce dispositif a été validé au niveau européen et est à l’étude en Belgique dans le cadre du projet de loi «Pandémie». Là aussi, tout le contraire d’une authentique liberté. On peut voir ce qui a été mis en place, par exemple, en Chine ou en Israël. Le projet de loi «Pandémie», qui prévoit de scanner les plaques d’immatriculation pour un meilleur contrôle de la circulation aux frontières, qui envisage le port d’un bracelet électronique pour les personnes en quarantaine, qui prévoit la mise en place de QR codes rouge/vert pour l’entrée des restaurants et des salles de spectacle, risque bien de signer l’arrêt de mort de nos libertés.

    La soi-disant liberté que nous fait miroiter M. De Croo n’est donc qu’une liberté surveillée et une liberté conditionnelle.

    Comment se fait-il, comment est-il seulement possible, que M. De Croo, qui devrait être le premier gardien de notre démocratie, la piétine chaque jour davantage? Comment se fait-il qu’au lieu de la protéger et de la défendre, il ne cherche qu’à l’écraser? Comment est-il possible qu’il en soit venu, sous couleur de veiller sur notre santé, à travailler à ce point contre nous, les citoyens de ce pays?

    La liberté conditionnelle, c’est ce qu’on octroie à des prisonniers qui n’ont pas terminé de purger leur peine. Cela permet de faire un peu de place dans les prisons. Les prisonniers en liberté conditionnelle ne sont pas libérés. Ils restent des prisonniers. Pas libres de leurs allées et venues, surveillés. Exactement ce que nous sommes. Nous sommes des prisonniers.

    Voulons-nous le rester? Voulons-nous vraiment fouler aux pieds nos libertés au nom de la lutte contre un virus? Qu’attendons-nous pour dire non? Qu’attendons-nous pour reprendre le pouvoir qui, en démocratie, nous appartient légitimement? Ne laissons pas notre démocratie partir en lambeaux, ne la laissons pas se noyer. N’autorisons personne à l’enfoncer à coup de contre-vérités ou d’affirmations fallacieuses.
Balkis

Source photo :
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Balkis

Enseignante en Lettres anciennes, je cherche à transmettre à mes élèves des connaissances et une sagesse venues de loin ; j’essaie de leur ouvrir des portes, de les éclairer, de leur montrer comment élargir le champ de leur conscience. J’aimerais les voir devenir des femmes et des hommes honnêtes, résolus, tolérants, aimants, lucides.

Je pratique la mosaïque, que je vis comme l’art de rassembler ce qui est épars, pour créer l’unité.

L’assise zen habite mon quotidien et l’irrigue. Le zen, c’est l’art d’observer le rien en se laissant traverser par les siècles, en les écoutant respirer.

Je me sens intensément vivante, créatrice, et je chemine, en recherche constante de Beau, de Vrai, de Juste.

Contre toutes les formes d’obscurantisme, contre tout ce qui voile la lumière, je me sens militante et engagée.

J’aime les oiseaux, leurs chants, leur légèreté, leur liberté. J’essaie de me rappeler chaque jour qu’ils vivent dans le Souffle, un univers sans murs, sans portes, sans cloisons, qui est aussi le nôtre.

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