Le monde qui s'érige devant nous était, il y a encore un an, une folie complotiste. Les masques, le couvre-feu, la vaccination («fortement conseillée»...), le pass sanitaire. Toutes ces choses, certains d'entre nous les avaient écrites, les avaient verbalisées, les avaient "prédites". Au risque même de perdre de la famille, des amis, des collègues. 

Dans quelques mois, il nous faudra un document pour voyager, pour aller au théâtre, pour aller au restaurant, dans un magasin, chez le boulanger ou chez le coiffeur, au mépris d’un des principes inscrits dans le Droit : le consentement éclairé (http://www.droitbelge.be/news_detail.asp?id=341).

Est-ce réellement le monde dans lequel nous voulons vivre?
Je sais que je ne suis pas le seul à penser que ce n'est pas une façon de vivre.
Et donc, pourquoi ne pas les laisser faire? Pourquoi ne pas simplement se retirer de ce jeu et les laisser dans un système hygiéniste qui ne nous correspond pas ? Construisons un autre système, occupons des endroits dont personne ne veut et rendons-leur vie, à notre façon. Établissons nos règles, dans le respect de chacun. Façonnons des villages avec nos petits commerces de proximité, avec nos maisons autonomes, créons des liens et des relations avec ces autres humains qui pensent et rêvent comme nous, échangeons nos bonnes pratiques et partons en voyage chez eux, dans ces endroits où les êtres humains sont respectés et compris.

Oui, je sais, je suis un rêveur mais ce sont les rêveurs qui ont imaginé l’art, l'architecture, le cinéma, la cuisine, l'humour. Ce sont les rêveurs qui ont compris les mathématiques, l'héliocentrisme, la machine à vapeur. C'est grâce aux rêveurs si nous pouvons prendre l'avion, le bateau ou la voiture.

Donc, si nous rêvions d'un monde renouvelé à notre façon?

« Il n'y a pas de grande réalisation qui n'ait été d'abord utopie ». Citation anonyme

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Perceval

Ma motivation première : La Liberté. Celle de choix, de penser, de critiquer, de ne pas être d'accord, de choisir son traitement, de remettre en question les dirigeants, de vivre simplement.
Je suis un père de famille recomposée, rassemblée où je tente d'instaurer le débat d'idées, la recherche d'informations contradictoires, la curiosité. Je ne suis ni journaliste ni gourou ni prêcheur, je suis simplement un citoyen qui ne veut plus se contenter d'une vérité érigée en dogme non discutable par des personnes qui ne sont plus, à mon avis, en phase avec vous, avec moi, avec NOUS.

Camarades,

Cela fait maintenant depuis le 18 mars 2020 que le gouvernement a décidé d’enfermer sa population afin de lutter (comme ils disent) contre la propagation du coronavirus. Les personnes âgées, fragiles et arborant des antécédents médicaux constituent grandement les citoyens à risques de cette pandémie, il était donc bien évidemment légitime de les protéger.
Les protéger oui, mais est-ce vraiment ce qu’on a fait?
Il est étrange de penser que vouloir protéger c’est vouloir mettre en retrait, c’est vouloir mettre en isolement.
La stratégie utilisée depuis le début de cette crise est une stratégie morose et étouffante. Les médias nous parlent jour après jour de la montée des chiffres, des contaminations mais jamais ils ne parlent de la souffrance psychique que leur communication alarmiste implique.
Dépression, colère, sentiment de vide extrême pouvant conduire à des suicides et incompréhension totale sont les fondements de ce que ressentent nos anciens, mais aussi la nouvelle génération, qui se retrouve dans un monde rongé par toute sortes de combats à mener.
En tant que citoyen, je suis en colère, et cette colère ne cesse de grandir et pourrait même me conduire à la folie (mais passons…). Il est excessivement difficile pour moi de comprendre comment, au lieu de mettre le monde en quarantaine, nous n’avons tout simplement pas protégé les personnes à risques (port du masque en leur présence, désinfection des mains, distances…) au lieu de confiner une population entière qui aurait pris le risque d’attraper le covid certes, mais comme elle aurait pu attraper n’importe quel virus avant de reprendre sa vie.
Car dans notre cas, notre population mourra des mesures, certainement pas du covid-19. J’entends parler du manque de moyens dans les hôpitaux, d’où ces mesures drastiques. Est-ce la faute du peuple? Est-ce nous qui devons payer les erreurs de notre cher gouvernement? La réponse est non. Si pour le gouvernement cela s’appelle «protéger» les citoyens, que ses membres retournent à l’école et apprennent l’étymologie de ce mot…
Le peuple est tétanisé, oui je le remarque tous les jours quand je vois cet homme marcher tout seul avec son masque sur une route déserte, quand je vois cette femme rentrer dans un magasin avec des gants et n’osant même pas reprendre la monnaie du vendeur.
La propagande a fonctionné et c’est terriblement triste, la liberté part en vacances et j’ai de plus en plus de doutes quant à la joie de pouvoir la retrouver un jour. Beaucoup de sujets concernant cette pandémie sont passés sous silence, le couvre-feu notamment est dramatique pour la santé mentale de certaines personnes. Comment pouvez-vous expliquer à un homme censé vivre dans une démocratie qu’il ne peut pas sortir de chez lui après une certaine heure?! Non Monsieur Macron, nous ne sommes pas en guerre! Comment expliquer l’interdiction de la vente d’alcool après 20h couplée à un couvre-feu? C’est un non-sens total: même en achetant de l’alcool après 20h, pourquoi les gens iraient se rassembler dans la rue alors qu’un couvre-feu est d’application? Mais la réflexion de certains de nos politiques semble souffrir d’un coma éthylique.
La fatigue nous gagne et il est plus que temps de reprendre notre vie en main et de retrouver notre liberté. Le covid, ce n’est pas la mort. Le covid, c’est un virus inconnu qui au départ nous a pris au dépourvu et nous a fait trembler. Mais la peur est aussi un virus, et elle est en train de nous diviser et de nous décimer de plus en plus.
Pour finir, je dirais que le gouvernement ne sauve personne, il détruit de plus en plus de vies. On pourrait voir cette pandémie comme quelque chose de terriblement sectaire et égoïste. Sauver une minorité de personnes contre une majorité qui s’enterre seule. Au début, le discours était beau et bienveillant: «Sauvons les personnes à risques». Aujourd’hui ça ressemble plus à: «Faisons baisser les chiffres, peu importe que ça tue ou pas». Oui mais de l’autre côté des chiffres, Messieurs les ministres, les gens meurent.
«La liberté meurt, vive la liberté!»
Mathieu Clobert, «un chanteur qui n’a plus les mots»

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Mathieu Clobert

Amoureux des mots et de la libre pensée, je suis un libertaire endurci. Je ne cherche pas à semer le trouble ni la division, mais plutôt à ouvrir les yeux du peuple quant aux dérives du gouvernement qui se comporte de plus en plus comme un roi auto-proclamé. Je suis peiné de voir que certains citoyens tombent dans une certaine apathie et résilience et oublient ce que signifie le mot « liberté », cette même liberté qu’on nous enlève jour après jour au nom d’une soi-disant protection du citoyen. J’aimerais rappeler à tous que vivre est un risque et que sans ce risque, notre « vie » se transforme tout bonnement en une succession d’années fragiles et insipides nous conduisant inéluctablement vers notre tombe.

 

Voilà, quelques semaines après sa sortie, ce très bon documentaire subit une nouvelle censure.
Ce qui est choquant, grave et qui pose vraiment question sur la liberté d'expression.

Je vais faire un parallèle que nous vivons tous : Mister Microsoft. Il a le droit à toutes les tribunes imaginables, il est invité par les médias très régulièrement et, sous couvert de l'argent qu'il brasse, il peut nous distiller, sans problème de censure, son point de vue sur la santé. Il n'est pas médecin, il n'est pas scientifique mais il est écouté, il est applaudi.
Ici, il s'agit d'un documentaire qui relate des faits repris dans les journaux et dans lequel l'auteur n'affirme rien mais pose des questions, à lui, à nous, aux journalistes, aux politiques et il est censuré à nouveau et  "moqué" par ses pairs.
MAIS, comme ce n'est pas un complot, une bonne question à se poser, me semble-t-il, est celle-ci : pourquoi une nouvelle censure maintenant? Pourquoi intervient-elle après un week-end ensoleillé où les vidéos de parcs bondés, noirs de gens non masqués, pullulent sur les réseaux?
Pourquoi quelques jours avant un nouveau Conseil de sécurité?
Pourquoi, tout simplement?
Est-il encore possible en Belgique et ailleurs, d'avoir une pensée critique sur le système mis en place? Est-il possible de se questionner sur sa santé, sur sa façon de vouloir vivre? Est-il possible encore de ne simplement pas être en accord avec le pouvoir politique sans risquer une sanction négative? Est-il possible de vouloir être HUMAIN et non un ROBOT qui suit aveuglément la route tracée sans se poser de questions même si le précipice est au bout de la route? 
Ceci n'est pas du désespoir. Ceci n'est pas du pessimisme. Ceci n'est pas une constatation.
Je pense avoir le droit de choisir quoi regarder et quoi en comprendre. C'est un peu comme si je décidais de regarder le film Y, décrié par la critique, par les réseaux, par mon voisin et que son accès n'était plus autorisé, une partie de la population ayant décrété que ce film était mauvais. Autre exemple : je trouve l'humoriste X très drôle mais mon collègue et son conjoint ne l'aiment pas. Est-ce que je dois bannir ce collègue de mon existence pour autant? Même si ce comique ne parle que par métaphores scatophiles ou fait des sketches d'humour noir?
Cette crise a révélé une autre carence dans nos vies : LE BON SENS.
Avoir du bon sens, c'est se désinfecter une plaie sans demander à son voisin si on doit le faire. Le bon sens, c'est traverser sur un passage pour piéton et d'avoir regardé à gauche et à droite avant d'avancer. Le bon sens, c'est de se dire que la TV, les réseaux ou mon voisin n'ont pas la Science infuse et absolue. Le bon sens, c'est être curieux, c'est croiser les infos, c'est se renseigner, c'est apprendre à penser par soi-même. Le bon sens, c'est simple et pourtant peu l'utilisent. Le bon sens, c'est se demander pourquoi, se demander comment, se demander tout le temps.
Non, ceci n'est pas un complot. Non, ceci n'est pas une propagande pour ne plus réfléchir. Non, ceci n'est pas l’envie d'une pensée unique. Non, ceci n'est pas une illusion de démocratie. Et non, ceci n'est pas de la censure.
« L'homme puissant qui joint l'audace à l'éloquence devient un citoyen dangereux quand il manque de bon sens ». Euripide

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Perceval

Ma motivation première : La Liberté. Celle de choix, de penser, de critiquer, de ne pas être d'accord, de choisir son traitement, de remettre en question les dirigeants, de vivre simplement.
Je suis un père de famille recomposée, rassemblée où je tente d'instaurer le débat d'idées, la recherche d'informations contradictoires, la curiosité. Je ne suis ni journaliste ni gourou ni prêcheur, je suis simplement un citoyen qui ne veut plus se contenter d'une vérité érigée en dogme non discutable par des personnes qui ne sont plus, à mon avis, en phase avec vous, avec moi, avec NOUS.

Finalement, la crise du Covid m'a fait gagner beaucoup de temps et un peu d'argent : je ne regarde plus la télévision, je ne crois plus aux nouvelles données par les journaux, je n'achète plus de magazines appartenant aux grands groupes de presse...  

Et surtout, je ne mets plus mon radio-réveil sur la RTBF le matin, par dégoût du mélange écœurant des informations terrorisantes gonflées artificiellement pour faire de l'audience, et du positivisme forcé des émissions divertissantes qui suivent, où l’on devine, dans l'oreillette des animateurs exagérément enthousiastes, les mots du rédacteur en chef : “les gars, maintenant qu'on a bien terrorisé toute la population, il faut aussi qu'elle soit heureuse de son sort, qu'elle se divertisse dans sa bulle” ... Et en même temps, on lui rappelle que le sacrifice de la vie sociale n'est pas vain, qu'il participe à une grande cause...

Dans la même perspective réjouissante, entre une chanson joyeuse, une pub poussant au conformisme consumériste, et un chroniqueur comique, on traite tout opposant de complotiste et on suggère à chacun d'être le flic de tous... 

Terroriser, divertir, glorifier et dénoncer les traîtres : les bases de toute manipulation fasciste.

Ne supportant plus l'infantilisation moraliste de nos chaînes nationales, je me suis rabattu sur France Inter... Cependant ici aussi, je me suis rendu compte que le financement public impose parfois une parole unique.

Un des joyeux animateurs de cette chaîne, que je croyais naïvement libre, s'appelle Guillaume Meurice. Un humoriste de salon, à la prose caustique et cinglante.

Je l'aimais beaucoup, Guillaume, il me faisait rire... Mais là, ce n'est pas seulement que je ne l'aime plus, c'est qu’il me fait vomir ! 

Son ironie douce, ses piques acérées que je trouvais brillantes, sont devenues pathétiques... Ses chroniques en micro-trottoir où il pousse les gens dans leur bêtise ou dans leurs idées préconçues, suivies des rires à gorge déployée de ses confrères en studio, me sont devenues insupportables.

Car depuis la crise du Covid, le Guillaume est devenu agent masqué de la Stasi  d'Olivier Véran : il prend totalement parti pour le pouvoir, pour le gouvernement, pour les "experts" scientifiques et pour toutes les mesures, sans jamais les remettre en question. Le masque, le confinement, le couvre-feu, tout semble aller de soi. C'est à peine abordé auprès de ces chers échantillons de la population française qu'il aime tourner en ridicule. 

En une fois donc, le Guillaume s'est transformé en personnage bien-pensant fort respectueux d'une certaine science au service du dogme hygiéniste, vérité absolue qu'il a peur d'interroger. Comme si la science était neutre, comme si elle échappait à la financiarisation de la société, à l'idéologie ... Comme si la destruction massive des liens sociaux, de la culture et de l'économie, toutes ces conséquences désastreuses de la Pravda scientiste, se justifiait par la "dangerosité" du terrible virus. 

Sa nouvelle technique à Guillaume, c'est d'éviter le problème. Il fait comme si de rien n'était : les gens à la rue, le désespoir moral, les suicides, la crise psychologique générale, ça ne le concerne pas... Il continue à se moquer des petites affaires politiciennes. Et si parfois soudainement la crise du Covid suscite son intérêt, c'est pour se moquer des quelques uns qui résistent : c'est qu'ils ont des idées pas comme il faut, qu'ils voient des complots partout et qu'ils n'acceptent pas la voie unique de la vérité scientifique véhiculée par la médiasphère.
Ah ces rassuristes, ces immoraux égoïstes... 

Ainsi Guillaume révèle qui il est vraiment : un petit fou du roi, un petit soldat au service du pouvoir. Un gars sympa qui, depuis des années met en boîte tout le monde, y compris Macron et les macronistes... Mais bien gentiment, histoire d'effleurer un petit peu les gens de pouvoir, sans trop les blesser, en s'excusant de suite d'un petit clin d'œil complice.

Mais ce même pouvoir, quand il devient odieux, disproportionné, injuste, antidémocratique, liberticide et inique, le brave Guillaume il ne voit pas où est le problème : il ferme sa gueule, il obéit, il renforce les forts et il culpabilise les faibles, avec le petit sourire en coin des gens qui savent. 

Pas comme ce peuple de France qu'il croise dans les rues des quartiers aristos ou populos et qu'il aime brocarder... Parce qu’eux, ils ne savent pas.

Devant tant de flagorneries et de mauvaise foi, cher Guillaume, j'ai juste envie d'aller rire ailleurs... 

Mais où... ? Où sont passés les humoristes ? Ah oui, c'est vrai : cachés derrière leur masque, pas facile de faire rire... 

Et puis mieux vaut ne pas risquer sa carrière et attendre que ça passe...

Ou pire encore, en faire du business, hein monsieur Geluck ?

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Categories: Grand fou 

 

Ce régime sanitaire obscène et inique et ses collaborateurs de tout poil ne m'inspirent que le dégoût et le mépris.
Et une colère légitime et cathartique.
Souvent on me demande que faire? Et ma réponse est toujours la même: le rapport de force est trop inégal. Il faut être conscient de la force de l'adversaire avant d'aller au combat. Or le combat est perdu d'avance. Mon pessimisme n'est qu'un réalisme lucide face à l'écrasante majorité d'adhérents à ce régime sanitaire tyrannique, quelles qu'en soient les raisons, le résultat est là, sans appel, toute velléité de contestation est étouffée dans son oeuf et la plandémie avance selon son agenda personnel.
La récente lecture de deux articles relatifs aux traitements publiés dans deux journaux officiels de propagande, Le Monde et Libération, montre à quel point cette dictature sanitaire opère à tous les niveaux.
Nous sommes dans un régime d'une telle brutalité émotionnelle et symbolique et déployé par un tel abus de pouvoir devenu un véritable autoritarisme en marche, qu'il est aujourd'hui interdit et condamné de se faire traiter ou de se traiter soi-même selon une thérapeutique jugée non conforme aux standards de la seule communauté médico scientifico politico idéologique en vigueur et autorisée d'elle-même.
Nous sommes également arrivés à un niveau de pratique de la falsification et du mensonge médiatique qui réussit encore malheureusement à faire croire par une argumentation sophistique mensongère, que la vérité est un mensonge, que le vrai est faux et que le bien c'est le mal. Et tout ceci au nom d'un Bien définit par une caste médicale et scientifique au service d'un biopouvoir criminogène en roue libre et devenu illégitime aux yeux de ceux qui osent encore penser par eux-mêmes.
Hannah Arendt, dans «Les origines du totalitarisme» écrivait que
«Le sujet idéal de la domination totalitaire n’est ni le nazi convaincu ni le communiste convaincu, mais celui pour qui les distinctions entre fait et fiction et entre vrai et faux n’existent plus»
Nous y sommes depuis un an, et cela a probablement commencé bien avant avec ce qu'on peut appeler les prolégomènes de la pensée totalitaire du mondialisme progressiste très justement décrit comme un "globalitarisme" par le philosophe Philippe Forget.
L'épisode sanitaire que nous connaissons est une opportunité probablement inespérée pour la mise en place d'une société de contrôle et de surveillance numérisée totalisante dans laquelle les individus seront condamnés à errer dans une aire définie par des paramètres épidémiologiques de laboratoire et d'éprouvette improbables à atteindre sans la mise en place d'un régime coercitif liberticide similaire au régime hybride communiste capitaliste chinois.
Vivre avec ou sans le virus est désormais la seule question qui agite la médiasphère et le pouvoir à l'horizon des années qui se profilent à l'ère contemporaine des variants du virus déjà désigné comme "historique" ou même "classique", selon les cultures médiatiques locales en vigueur.
Nulle doute que dans un avenir proche nous aurons droit à un virus "collector" ou "vintage" à partir duquel les déclinaisons de variants seront analysées et répertoriées dans des bulletins météo virale quotidiens.
Et la vie va continuer, mais une vie sous apartheid sanitaire à deux vitesses existentielles départageant deux catégories d'individus, ceux détenant le passeport vert et les autres, citoyens dégradés de deuxième zone, probablement parqués, isolés et stigmatisés autour d'une aire potentiellement contaminante par l'absence du signe et de la marque devenue l'insigne par lequel les bons élèves citoyens auront accès aux différents services et commerces et donc à une vie parfaitement intégrée et conforme à la nouvelle norme socio sanitaire. C'est d'ailleurs déjà le cas en Israël, pays phare semblant guider la communauté internationale dans le nouvel âge sanitaire mondial. J'eus personnellement aimé et souhaité que ce pays soit réhabilité d'une autre manière dans ce concert des nations duquel il a été mis à l'écart depuis trop longtemps.
Les médecins et les scientifiques qui auront activement collaboré à ce coronacircus répugnant par la culpabilisation, l'usage de la peur de la maladie et de la mort en pérorant tous les jours sur toutes les chaînes, grassement payés et en les enchaînant même toutes en quelques heures comme on enfile les perles d'un collier, devraient remettre leur stéthoscope et leur blouse blanche à leurs maîtres Hippocrate et Galien et devraient idéalement terminer leurs jours à l'écart en isolement complet pour éviter toute contagion préjudiciable ultérieure.
Le modeste et humble philosophe et psychanalyste que je pense être leur rappelle que les mots medicus, «médecin» et medicina «médecine», qui proviennent du latin mederi «soigner, donner des soins à» sont sans équivoque sur leur sens. Autant de substantifs formés à partir de la racine «med», attestée d’un bout à l’autre du domaine indo-européen et qui, d’après le linguiste Benveniste, a le sens de «prendre avec autorité des mesures appropriées», d’où ses différentes valeurs dans les langues indo-européennes : «penser, réfléchir, méditer» avec l’idée d’une pensée qui règle, ordonne, gouverne, règne, mesure et juge, le médecin réglant et dominant la maladie.
Signalons aussi à cet égard que le mot «méditation» provient de la même racine.
Toujours bon à savoir ou à se remémorer.
Quant aux nouveaux et sinistres moines copistes de service qui ne cessent de mentir et de propager leur idéologie politico religieuse pernicieuse de complotophobes, ils ne méritent que d'être relégués aux poubelles de l'histoire du journalisme dont Albert Londres reste le digne et illustre représentant.
Mais en ont-ils seulement entendu parler?
© Michel Rosenzweig
Liens vers les articles cités:
Le Monde: https://www.lemonde.fr/.../plusieurs-medecins-alertent...
Libération: https://www.liberation.fr/.../covid-19-qui-est-derriere.../

Photo: Albert Londres

 

Ignorer. Faire preuve d'ignorance sur un sujet. Être ignorant.
Rien qu’en écrivant ces quelques mots, je sens un malaise grandir en moi, un refus d'accepter. Pourtant, je suis ignorant sur beaucoup de sujets, sur des personnes, sur des faits. Nous le sommes tous et, j'ai envie de dire, c'est merveilleux. Cela me permet de conserver ma curiosité sur tous ces sujets et les autres à venir.

Mais qu'en serait-il si on nous fabriquait une ignorance, notre ignorance, celle d'un groupe, d'une communauté? Qu'en serait-il si, pour une raison X ou Y, il était plus simple, plus rentable, plus acceptable, de nous fabriquer une ignorance?
Je me pose souvent la question de savoir ce qui nous pousse à accepter une vérité sans avoir envie d'en douter. Entendons-nous: pour moi, la terre est bien ronde, la gravité existe, etc...
Par contre, qu'en est-il du dérèglement climatique, du bisphénol, de la disparition des abeilles en lien avec les néonicotinoïdes et de la crise sanitaire que nous vivons aujourd'hui? Qu'est-ce qui fait que les scientifiques ne sont pas d'accord entre eux et, pour certains de ces sujets, pourquoi autant de "distance" dans leurs opinions?
Une des réponses que j'ai trouvées lors de mes recherches est l'argent. "Follow the money"... Soyons honnêtes, même pour les plus sceptiques, l'argent a toujours été le nerf de la guerre. Nous savons tous aujourd'hui qu'il n'y avait pas d'armes de destruction massive en Irak lors de la deuxième guerre du Golfe mais bien des puits de pétrole. Pourtant, à l'époque, la fabrication de preuves avait permis une invasion terrestre et la prise de pouvoir sur l'Irak. Peut-on en déduire que l'on a "fabriqué notre ignorance"?
Pour en revenir à aujourd'hui, depuis plusieurs mois nous entendons dire que, par exemple, le masque nous sauve la vie. Or, au début de cette crise, lorsque les stocks étaient à zéro, nous avons toutes et tous entendu que ces mêmes masques ne servaient strictement à rien à l'extérieur ou en magasins, mais qu’ils étaient utiles si portés correctement et en situation de maladie uniquement. Il se trouve qu'aujourd'hui, il est devenu une norme acceptée par tout le monde, alors que beaucoup d'études démontrent son inefficacité en population générale. Nous avons pratiquement tous vu, entendu ou lu des scientifiques nous dire la même chose tandis que d'autres (les scientifiques de plateaux TV avec des liens d'intérêts, selon moi) nous disaient l'inverse. Et si on y regarde bien, ces derniers obtiennent plus d'adhésion. Pourquoi?
Mon ébauche de réponse tient en deux documentaires. Un plus ancien et tiré d'un livre: "La stratégie du choc" de N.Klein (https://imagotv.fr/documentaires/la-strategie-du-choc/film/1) et le deuxième, bien plus récent et vu sur ARTE : "La fabrique d'ignorance" (https://www.arte.tv/fr/videos/091148-000-A/la-fabrique-de-l-ignorance/?fbclid=IwAR3U7MXSfK0ATVQBcacgvLsPJPFmm_XuuqHFn9RgJoscXic40ABXuv89UyU).
Pour les curieux, je ne vais pas dévoiler le contenu de ces reportages. Et pour les autres, non plus: soyez curieux! C'est cette qualité qui, selon moi, fera en sorte d'être des fabriques de savoir, des champs trop longtemps laissés en jachère mais suffisamment rechargés en oligo-éléments pour être cultivables et cultivés, aux deux sens du terme.
Pour conclure, je dirais que l'ignorance est une bonne chose à partir du moment où l'on souhaite la transformer, à l'instar de ses limites physiques que l'on souhaite dépasser. Être ignorant n'est pas une tare, sauf si cela est instrumentalisé. Je ne prétends pas détenir la vérité, encore une fois, mais je pense être sur une des voies qui mènent à moins d'ignorance.
« Dans l'ignorance, on conserve ses certitudes ».
J.J.Lattuada

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Perceval

Ma motivation première : La Liberté. Celle de choix, de penser, de critiquer, de ne pas être d'accord, de choisir son traitement, de remettre en question les dirigeants, de vivre simplement.
Je suis un père de famille recomposée, rassemblée où je tente d'instaurer le débat d'idées, la recherche d'informations contradictoires, la curiosité. Je ne suis ni journaliste ni gourou ni prêcheur, je suis simplement un citoyen qui ne veut plus se contenter d'une vérité érigée en dogme non discutable par des personnes qui ne sont plus, à mon avis, en phase avec vous, avec moi, avec NOUS.

La liberté est un concept qui nous appartient à tous individuellement. Ma valeur "liberté" n'est pas la même que chacune des vôtres. En effet, je me sens libre le matin si je me lève une heure avant mon départ alors qu'un(e) autre se sentira libre s’il/elle se lève cinq minutes avant de partir.

Mais comment s'organiser, dans un couple, une famille, une équipe de travail, une société..., en termes de liberté?

La question est toujours en suspens selon moi. En effet, certains d'entre vous se sentent libres s'ils sont encadrés par des règles, plus ou moins strictes, plus ou moins flexibles alors que d'autres ne sont libres que s'ils perçoivent qu'ils ne sont attachés à rien ni personne.

Aujourd'hui, et je fais partie de ce groupe de personnes, je ne me sens plus libre dès que je sors de chez moi... Ce qui est assez contradictoire, non?

Attention, mon intention n'est pas de débattre de la situation "santé". Pas d'amalgame. Je parle uniquement d'un point de vue "philosophique", une façon de penser, de vivre qui m'est propre et qui fera écho chez vous ou pas.

Comme je l'ai déjà écrit dans une ancienne publication, il fut un temps où la liberté d'expression était telle que j'aurais pu sortir de chez moi pour hurler que tel politique ne valait rien et ce, sans risquer ni peine ni amende. Or, il me semble que maintenant, si je dis que ce même politicien se fout de moi en me dictant une règle qu'il ne suit pas, je serai taxé au mieux de complotiste, au pire de dissident politique souhaitant l'anarchie. Je serai peut-être même banni des réseaux sociaux durant une courte période (si je m'en tiens à un essai), voire à plusieurs semaines si j'ose récidiver.

Je vais loin ? Aujourd'hui, on supprime des comptes à tour de bras sur des présomptions de complotisme, sur des discours qui n'ont rien de tendancieux ou encore pour des livres qui reprennent des faits vérifiables mais qui vont à l'encontre de la pensée... Trop souvent unique à mon goût.

J'entends aussi des voix qui s'élèvent pour me faire remarquer que si nous étions libres totalement, les meurtriers, pour ne citer qu'eux, seraient dans un parc d'attractions. Je ne suis pas en train de prôner la liberté totale : je prône une liberté égalitaire, avec les mêmes règles pour toutes et tous et une bonne connaissance de ces règles avec une simple incitation à les suivre : j'ai participé à leur création. Pour les parents, faites une expérience très intéressante : demandez à vos enfants d'édicter les règles de fonctionnement de la maison et regardez avec quelle facilité vos chérubins les suivront sans même broncher.

Voilà une liberté que j'aimerais utiliser : participer à la rédaction des règles de notre société. Imaginez une seconde ce que cela serait avec des règles qui nous ressemblent, qui nous protègent tous de la même façon, qui nous sanctionnent aussi bien positivement que négativement. Personnellement je me sens frustré lorsque, durant un an, je paie telle facture avant la date et que si une fois, j'ai le malheur de dépasser la date limite, je me retrouve avec un SMS de rappel, suivi d'un mail et d'un courrier. Pourquoi ne pas recevoir un SMS qui vous remercie d'avoir payé en temps et en heure votre facture ? Chaque jour, je prends ma voiture et je respecte les limitations de vitesse MAIS si une seule fois, je les dépasse car je suis en retard ou distrait, je suis sanctionné d'une amende... Et tous ces jours où j'ai roulé en respectant les règles ??? Je peux vous trouver pléthore d'exemples où toutes les sanctions sont négatives. Je suis pratiquement certain que si je fais un sondage auprès de vous, 99% pensent qu'une sanction doit être négative. Pourtant, pour les diplômés, le diplôme que vous avez reçu est la sanction de votre réussite...

Bref, la liberté... Mais quelle liberté? Celle de penser, d'écrire, de vivre, d'être en bonne santé, de rire, de sortir, ... Ma préférée est et restera celle de réfléchir par soi-même, de se construire un mode de pensée personnel en se nourrissant des autres et en apportant aux autres. Avoir la liberté de lire, d'apprendre, de consulter les livres, les documentaires, les personnes que je souhaite afin de modeler continuellement ma propre façon de réfléchir, ma propre liberté de penser et de pensées.

“Penser dérange car cela nous libère, et qu'il n'y a pas plus encombrant que la liberté“
V. Cespedes

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Je suis un père de famille recomposée, rassemblée où je tente d'instaurer le débat d'idées, la recherche d'informations contradictoires, la curiosité. Je ne suis ni journaliste ni gourou ni prêcheur, je suis simplement un citoyen qui ne veut plus se contenter d'une vérité érigée en dogme non discutable par des personnes qui ne sont plus, à mon avis, en phase avec vous, avec moi, avec NOUS.

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