En l'an de grâce 2021, première année accomplie de l'annus horribilis covidienne, Philippe Close, Bourgmestre de la ville de Bruxelles, capitale du royaume de Belgique et capitale de l'Empire Européiste plus couramment connu et désigné par l'abréviation UE, a procédé à l'arrestation administrative d'une dangereuse activiste, Muriel Hubin, infirmière de son état, menaçant l'ordre public ce samedi 20 mars. L'arrestation a eu lieu à la gare centrale et la prévenue a été privée de sa liberté et placée en cellule pendant 7 heures.

Cette décision parfaitement légale a été prise selon l’Art 31 de la Loi sur la Fonction de Police qui permet, quand les éléments permettent objectivement de croire qu’une personne se prépare à perturber l’ordre public, de procéder à l’arrestation administrative de la ou les personnes en question.
En plus des risques de perturbation de l’ordre au sens strict, le comportement de Madame HUBIN mettait également en danger la sécurité sanitaire, et donc l’ordre public au sens large.
Le critère indispensable d’opportunité était également rencontré vu les nombreux avertissements -et verbalisations- dont Madame HUBIN a fait l’objet ces dernières semaines, en vain.

Ainsi, les autorités ont-elles encore une fois fait preuve de leur grande vigilance face à ces dissidents inconscients qui mettent gravement en danger non seulement leur vie mais surtout celle des autres en organisant des manifestations pourtant clairement interdites.
Cette arrestation servira d'exemple pour les futurs récalcitrants à l'Ordre sanitaire en cette période d'épidémie de peste bubonique.

Rendons grâce à notre bon Bürgermeister «maître des bourgeois» de la bonne vieille ville de Bruxelles fondée en l'an de grâce 979, anciennement nommée "Bruocsella" , (de "bruoc" «marais» et de sella «salle, habitation»).
Ainsi, Philippe Close, seigneur et maître des bourgeois de la salle du marais, aidé de ses hommes francs et de ses gens d'armes, a t-il fait preuve de courage et de bravoure en ces temps obscurs et troublés.
Muriel Hubin, vous voilà prévenue.

© Michel Rosenzweig

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Comme certains parmi vous, j'ai assisté personnellement à ces scènes stupéfiantes au bois de la Cambre à Bruxelles ce weekend et ailleurs.

Déploiements inédits de forces de l'ordre dans un des plus vastes espaces verts de la capitale, à cheval, en combi, à pied, et aidées par un drone de surveillance et de repérage. Des scènes souvent surréalistes, ou hyper réalistes, ridicules, grotesques, mais aussi des séquences violentes verbalement et physiquement, des arrestations administratives, des personnes récalcitrantes molestées, blessées parfois, emmenées en cellule d'isolement sanitaire pendant des heures, des autopompes utilisées à d'autres endroits pour disperser la foule d'un carnaval sauvage, une arrestation arbitraire réalisée comme dans les pays de l'est au temps de l'URSS, ou encore en Amérique latine, le tableau est pathétique et l'esthétique sociopolitique dramatique.

Tout ceci est tragique et parfois même comique, il faut bien le reconnaître, ça détend.

Comment en sommes-nous arrivés là se demandent ceux que je croise ici, belges, français, américains, israéliens?

Comment ce nouvel Ordre sanitaire autoritaire policier a-t-il pu se mettre en place aussi rapidement et aussi aisément et avec si peu d'opposition, voire aucune et avec le consentement général de la population, car il faut le reconnaître, les opposants sont très minoritaires et le pouvoir en est parfaitement conscient?

La peur générée, fabriquée, entretenue et diffusée quotidiennement par toute la classe médiatique officielle aux ordres du pouvoir de ce régime biocidaire liberticide ainsi que la soumission massive à l'autorité, la fabrique du consentement, de l'ignorance et de l'opinion en sont les causes.
Comme je l'ai déjà repéré et décrit ailleurs, le logiciel sanitaire de base qui pilote ce régime et le dogme qui le soutient, la gravité de la situation, est conçu selon des paramètres biostatistiques plus proches du laboratoire que de la société humaine vivante, produisant une situation épidémique constante, parsemée d'épisodes aigus et de cours moments de rémission et de répit.

Tant que ces paramètres ne changeront pas, il n'y a aucune raison que cette situation change, les seuils épidémiques étant définis selon des critères improbables à atteindre, à moins de procéder comme en Chine.
L'horizon sanitaire à atteindre qui est ainsi défini relève en réalité de l'utopie hygiéniste du risque zéro, le concept est d'ailleurs en train de faire son chemin, il se nomme zéro covid.

J'entends d'ici déjà les voix vaccinales entonnant leurs refrains et leurs couplets enthousiastes, je leur souhaite bonne chance, non par opposition à la vaccination par principe, ce que je ne suis pas, mais étant plutôt convaincu que cette immunité collective artificielle massive encouragée et même forcée n'est pas nécessairement la solution, mais plutôt la “solution finale” à laquelle les autorités veulent nous faire adhérer pour sortir de ce tunnel et retrouver une vie "normale" qui selon moi ne reviendra plus jamais, car le mal est fait, nous avons bien basculé dans une nouvelle norme sociale qui est régie et conditionnée par la valeur sanitaire et ses prolongements d'identités numériques traçables, repérables, géolocalisables, classables, excluants.

Si j'ose employer ce terme de "solution finale", c'est bien évidemment à dessein, mais nullement par comparaison avec celle conçue en 1942 pour exterminer les juifs d'Europe, car bien entendu ni les vaccinés ni les non vaccinés ne sont menacés d'extermination et ceux qui soutiennent cette idée ne savent pas de quoi ils parlent, je ne fais pas partie de ce club, qu'ils en soient avertis ici.
En revanche, l'utilisation de ces deux signifiants me semble utile pour alerter les adhérents au narratif officiel qui approuvent ces mesures contraignantes et ce régime inacceptable au nom de la santé.
Car en effet, comment ne pas être interpellé, choqué, révolté, ulcéré parfois, en assistant à ce spectacle affligeant des patrouilles sanitaires ? Comment ne pas penser spontanément que ces fonctionnaires de polices exécutent des ordres, certains par conviction, d'autres par devoir exactement comme leurs prédécesseurs le faisaient entre 1940 et 1945 en Belgique et en France pour arrêter des juifs au seul motif qu’ils étaient juifs et des résistants au seul motif qu’ils étaient résistants? Comment ne pas avoir ces images en tête en assistant à ce déchaînement policier au nom de la santé? Difficile d’y résister quand on a une certaine sensibilité.
Quelle est donc cette folie policière qui s’amplifie, quelle est sa raison, quelle est son but, à quoi “jouent” ceux qui sont à la manœuvre, sont-ils seulement conscients de ce qu’ils sont en train de faire? Nul doute qu’une partie de ces policiers sont convaincus du bienfondé de leur actes et assument leurs gestes sans objection de conscience, sans remords, sans gêne et sans aucun regret.

Mais où sont alors les autres? Ceux qui ont du mal avec leur conscience de policier, ceux qui ne sont pas d’accord avec cette mission sanitaire et qui ont du mal à trouver leur sommeil et des difficultés à exécuter les ordres? Mystère. Existent-ils? Probablement. Combien sont-ils? Oseront-ils se faire connaître?
Et combien de temps cette mascarade masquée va-t-elle durer?
Je n’ai aucune réponse réellement satisfaisante à ces questions sur lesquelles je continue à travailler, mais je constate et je prends acte de l’aggravation et de l’accélération de ce régime sanitaire autoritaire qui semble vouloir s’imposer de plus en plus par la force et la contrainte policière et judiciaire quoi qu’il en coûte, au mépris des libertés et des droits les plus élémentaires et les plus fondamentaux en assassinant l’état de droit au nom d’un Ordre sanitaire médical et scientifique moyenâgeux et d’un idéal de pureté aux relents émétique et puants.

Aujourd'hui, respirer librement en plein air avec des amis, s'asseoir sur un banc, sont devenus des infractions qui peuvent non seulement vous coûter 250€ et des poursuites devant les tribunaux, mais qui peuvent aussi se terminer en cellule d'isolement pendant des heures au risque de subir des violences physiques.
Les délinquants aujourd'hui sont ceux qui osent se promener et respirer à l'air libre sans masque en compagnie de copains, d'amis et de parents. Est-ce que ce monde est sérieux...?
La criminalisation de la respiration et de la socialisation va t-elle bientôt être inscrite dans la loi?
Mais attention, ceci n'est pas une dictature sanitaire, bien entendu.

© Michel Rosenzweig

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Résumons.

L’année 2020, an 1 de l’ère Covid, a été une année incroyablement et extraordinairement créative.

En 2020, on a inventé la conversation sans sujet (autre que covid), la machine à café du bureau sans collègues - sans café donc -, la réunion sans présence, le contrat de vente sans poignée de main,
le printemps sans sortir de chez soi, les courses sans faire les courses, le carnaval sans Gilles de Binche.
On a inventé l’apéro sans amis (mais avec «images d’amis» sur Zoom), le dîner sans convives, l’anniversaire sans invités, le restaurant sans cuisinier, le spectacle sans spectateurs, le match de foot sans supporters, la librairie sans flânerie, le concert de Nouvel An sans public.

On a inventé les élèves sans professeur (mais avec «image de professeur» sur Zoom), les cours universitaires sans université (mais avec «image d’université» sur Zoom), la vie universitaire sans folklore, la consultation médicale sans aller chez le médecin, les mariages et les enterrements sans famille, la visite aux vieux parents sans se toucher, et, pour les petits, l’apprentissage de la lecture sans voir les lèvres de l’institutrice.

Ce n’est pas tout. En 2020, notre créativité a réellement atteint des sommets.

En 2020, il y a eu les vacances au ski sans remontées mécaniques, les sorties shopping sans copines (mais avec masque obligatoire, ouf), la «saison» de l’opéra sans opéra (mais avec plateforme, ouf),
la neige dans les Fagnes sans accès aux chemins de promenade, l’air marin de la Côte belge sans nez
ni bouche pour le respirer.

En 2020, nous avons aussi inventé d’inédites et désopilantes institutions démocratiques, comme le débat parlementaire sans débat, les questions en conférence de presse sans questions contradictoires,
les décisions ministérielles sans appel, la démocratie sans pouvoir législatif (mais avec arrêtés ministériels) (beaucoup d’arrêtés ministériels) (beaucoup beaucoup).
On y a ajouté la liberté vaccinale sans choix possible (mais avec chantage au civisme), l’information sans éclairage, sans impartialité, sans objectivité (mais avec «sensibilisation») et on a créé «jemevaccine.be» sans «jenemevaccinepas.be».

Oui, vraiment, en 2020, notre créativité a été d’une puissance phénoménale. Qu’on en juge par des inventions comme: la liberté d’opinion sans espace pour l’opinion, la liberté d’expression sans manifestation autorisée (mais avec répression) (beaucoup beaucoup de répression), la liberté d’aller et venir sans pouvoir sortir de chez soi, la libre circulation sans pouvoir sortir du pays, le droit à la santé sans être sûr de pouvoir se faire opérer.

Et comme on se sentait puissamment en veine d’inspiration, on a aussi inventé la culture sans vie culturelle, la vie professionnelle sans rencontres et sans déplacements, le civisme sans collectif,
le vivre-ensemble sans vivre ensemble, l’humanité sans aller vers l’autre (dans le strict respect
des mesures sanitaires), la vie sans la vivre.

En 2020, on peut dire qu’on a transformé le monde d’une façon incroyablement constructive. Grâce à notre talent, le monde est devenu un monde meilleur, avec ses nouvelles règles sans cohérence,
ses nouveaux gestes sans beauté, son passé sans mémoire, son présent sans joie, son avenir sans projet. Un monde sans sens. Quelle victoire!

Dommage qu’on ne soit pas arrivés à inventer un monde sans virus.

Mais on va sûrement y arriver.

En 2021.

Ou peut-être en 2022.

A moins qu’il ne faille attendre 2030?

Ou 2050?

Il n’y a pas le choix?

Il y a le choix.

Balkis. (mars 2021)

Post Scriptum: à la lecture de cet article, si vous aussi, vous avez pensé à d’autres «sans» inventés au cours de l’incroyable année 2020, écrivez un article et envoyez-le à BAM!

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Balkis

Enseignante en Lettres anciennes, je cherche à transmettre à mes élèves des connaissances et une sagesse venues de loin ; j’essaie de leur ouvrir des portes, de les éclairer, de leur montrer comment élargir le champ de leur conscience. J’aimerais les voir devenir des femmes et des hommes honnêtes, résolus, tolérants, aimants, lucides.

Je pratique la mosaïque, que je vis comme l’art de rassembler ce qui est épars, pour créer l’unité.

L’assise zen habite mon quotidien et l’irrigue. Le zen, c’est l’art d’observer le rien en se laissant traverser par les siècles, en les écoutant respirer.

Je me sens intensément vivante, créatrice, et je chemine, en recherche constante de Beau, de Vrai, de Juste.

Contre toutes les formes d’obscurantisme, contre tout ce qui voile la lumière, je me sens militante et engagée.

J’aime les oiseaux, leurs chants, leur légèreté, leur liberté. J’essaie de me rappeler chaque jour qu’ils vivent dans le Souffle, un univers sans murs, sans portes, sans cloisons, qui est aussi le nôtre.

 

Aaaaaah, le Peuple a été entendu... Ça y est, on va pouvoir revoir des gens, des amis, la famille... Aaaaaah, l'horeca va pouvoir rouvrir, les voyages non essentiels vont de nouveau être tolérés, concerts, musées, etc.

Vraiment?

Je vais me faire l'avocat du diable (ou le complotiste, comme vous voulez) mais est-ce que ceci ne fait pas encore partie du jeu? Est-ce que ce "relâchement" des règles ne serait juste pas une autre forme de contrôle? Ne serait-ce pas les prémices d'un confinement encore plus dur?

Je m'improvise scénariste d'un blockbuster: Back to the lockdown III

Tout se déroule dans le futur proche, disons mai 2021. Le soleil nocturne éclaire les terrasses, on boit un mojito en regardant la TV et son conseil de sécurité. Un homme s'exprime avec dureté et nous dit que nous avons été irresponsables, que de 10 personnes autorisées, nous avons sauté trop vite le pas vers 12, 13, 14, 15... Que pour mieux profiter, nous avons trop vite ôté nos masques et que notre abstentionnisme aux centres d'injections n'a fait qu'accroître nos maux...

Un peu catastrophique? Trop complotiste? Avec des "Si" on met Paris en bouteille? «C'est pas faux», comme dirait mon homonyme. Pourtant, si on fixe un peu les choses, les "prédicateurs" du début de cette crise avaient vu juste sur beaucoup de choses et on constate aujourd'hui des personnes se "retourner" sur les faits établis comme une vérité absolue par nos gouvernants.

Je ne sais pas de quoi demain sera fait, je ne sais pas si mon ressenti est juste. Ce dont je suis conscient en revanche, c'est ma totale perte de confiance en des décideurs qui décident de ne pas décider... Je sais que je ne retrouverai pas confiance en eux, en ce système qu'on nous vend comme le seul qui peut exister, le seul qui nous apportera une vie de confort, de libertés, de richesses...

Je ne sais pas si je vois juste. Je ne sais plus me référer à un cadre aujourd'hui, comme vous. La confusion dans laquelle nous sommes plongés depuis un an fonctionne plutôt bien...ou pas.

«Exprimer sa pensée et se révolter, c'est animer son rejet de la manipulation et de l'illusion» Claudemay

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Perceval

Ma motivation première : La Liberté. Celle de choix, de penser, de critiquer, de ne pas être d'accord, de choisir son traitement, de remettre en question les dirigeants, de vivre simplement.
Je suis un père de famille recomposée, rassemblée où je tente d'instaurer le débat d'idées, la recherche d'informations contradictoires, la curiosité. Je ne suis ni journaliste ni gourou ni prêcheur, je suis simplement un citoyen qui ne veut plus se contenter d'une vérité érigée en dogme non discutable par des personnes qui ne sont plus, à mon avis, en phase avec vous, avec moi, avec NOUS.

L'identité numérique, le fichage, le traçage, le contrôle et la surveillance de la population belge est dans les cartons d'un projet de loi qui risque bien de passer au parlement prochainement, sauf opposition importante, ce qui ne semble pas se profiler en ce moment.

Pendant une année, les différentes mesures contraignantes de distanciation sociale, de port obligatoire
du masque en extérieur, de limitation de mouvement, de fermeture des commerces et des lieux de loisirs,
de spectacles, de sport, d'interdiction de quitter le territoire pour des motifs jugés non essentiels, ont été décrétées par arrêtés ministériels et royaux, contournant ainsi le pouvoir législatif et le respect de
la constitution au nom de l'état d'urgence sanitaire et ce dans le silence et l'indifférence totale de tous
les corps constitués et intermédiaires

Ce régime, dénoncé régulièrement et à juste titre comme adémocratique, s’apprête à présent à
se légitimer par une Loi pandémie élaborée par des juristes qui de toute évidence se livrent
à un joyeux viol des fondements de l'état de droit, à savoir la déclaration des droits de l'homme
et du citoyen et la constitution.

Ainsi, l'urgence sanitaire décrétée depuis un an par période renouvelable risque d’accoucher d'une Loi
qui autorisera le recours à ce régime biocidaire tyrannique de manière légale et perpétuelle tant que
la situation l'exigera et selon les normes sanitaires du logiciel épidémiologique élaboré par un conseil scientifique dont la légitimité ne relève que de l'arbitraire du Prince, ce dernier n'étant que le représentant d'une minorité d'individus se reconnaissant en sa personne. Et encore. Les voies de la monarchie parlementaire belge demeurant royalement impénétrables pour les êtres doués de raison et de bon sens et qui le plus souvent ont renoncé à y comprendre quelque chose de sensé et de cohérent, préférant abdiquer en s'en remettant à la seule valeur sûre de cet état improbable, son surréalisme cathartique légendaire et mondialement connu.
Au rayon du bric à brac qui risque de s'imposer bientôt, nous avons en magasin la boîte à outils du parfait prêt à porter du totalitarisme sanitaire numérique :

- L'imposition aux citoyens belges du port d’un bracelet électronique relié à une banque de données permettant de surveiller en temps réel leurs déplacements et le respect d’une interdiction
de déplacement (ou de déplacement après une certaine heure)

- L'autorisation de photographier les plaques d’immatriculation des véhicules quittant ou rentrant sur le territoire belge, de les relier avec la banque de données existante de la Division de l’Immatriculation des Véhicules (DIV) et d’en appréhender les propriétaires.

- L'autorisation de mettre en place des technologies de reconnaissance faciale afin d’identifier les promeneurs dans les parcs et se vérifier qu’ils ne font pas l’objet d’un ordre de quarantaine.

- L'autorisation de contrôler les déplacements des citoyens au moyen de la géolocalisation de leur téléphone mobile éventuel ainsi que l'autorisation de recourir à l’identification obligatoire au moyen d’un QR code sur téléphone mobile ou d’une vérification via l’empreinte digitale apposée dans la puce de l’e-ID
pour contrôler le droit d’accéder à certains lieux ou transports ou pour contrôler le statut du citoyen (vacciné ou non par exemple).

L’Autorité de protection des données (APD) a néanmoins remis un avis extrêmement négatif concernant
cet avant-projet de loi, estimant qu’il “donne lieu à une violation des principes de légalité et de prévisibilité". Sans blague?

Quelle sera la portée contraignante de l'avis de cette "Autorité"?

Là encore, c'est le règne du mystère des arcanes politiques belges et des rapports de pouvoirs des partis et des instances qui gouvernent ce pays depuis toujours et qui en définitive scellent le sort des uns et des autres de manière très peu démocratique quand on connaît un peu la complexité institutionnelle belge et son mode de scrutin dilué dans un principe de proportionnalité démultiplié à l'extrême.

Belges, encore un effort pour être belgicain.
Il y a vraiment le feu au lac.

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Categories: Michel Rosenzweig 

Camarades,

Je m’adresse à vous comme je m’adresserais à Dieu ou à tout autre symbole auquel nous voudrions croire.
La liberté qui nous a été impunément retirée ces derniers temps se doit de revenir, elle se doit de nous bercer à nouveau, mais pour cela la coalition d’un seul peuple doit se faire de toute urgence.

Voyez-vous le bout du tunnel?

Certains me diront que oui; d’autres qui, comme moi, ont ciblé les incohérences du gouvernement quant à un éventuel déconfinement vous diront que non. La réponse est simple: non, nous ne retrouverons pas un monde libre, en tout cas pas tel que nous le concevions autrefois. Et qui en est le responsable? Le peuple. Oui, c’est à cause de nous, de notre apathie, de notre silence et de notre peur que nous laisserons aux prochaines générations un monde froid, aseptisé, surveillé et surprotégé.

Passeport vaccinal, loi pandémie, tests rapides…, ça résonne, n’est-ce pas?

Je suis terriblement peiné de voir que tant de citoyens veulent se laisser aller à une vaccination de masse dans l’utopie qu’ils retrouveront une liberté qui ne leur sera jamais totalement rendue s’ils se laissent aller à cet acte purement politique. Bien sûr, certains accepteront de retourner aux restaurants ou dans des événements culturels munis d’un masque et se soumettant à des tests rapides… Mais je vous en prie, ne me dites pas que vous y trouverez un quelconque plaisir? Je vous en prie, réfléchissez.

Ensemble, nous pouvons retrouver nos rêves, nos choix et notre libre arbitre.

J’enjoins quiconque voyant ce que je vois, jeunes et moins jeunes, à se désolidariser totalement du gouvernement et de ses mesures ignobles et hypocrites. J’enjoins la police, qu’on pousse à bout dans le seul but de nous faire plier, à se désolidariser de cet infâme théâtre de clowns qui, après avoir voulu mettre notre esprit en cage, veut maintenant s’accaparer le contrôle de notre intégrité physique, en nous crachant au visage l’argument de la solidarité!

N’oubliez jamais une chose, mes amis:

C’est nous, «le peuple», qui leur donnons du pouvoir: sans notre servitude, ils ne sont que des agneaux entourés par des loups.

«La liberté meurt, vive la liberté!»
Mathieu Clobert

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Mathieu Clobert

Amoureux des mots et de la libre pensée, je suis un libertaire endurci. Je ne cherche pas à semer le trouble ni la division, mais plutôt à ouvrir les yeux du peuple quant aux dérives du gouvernement qui se comporte de plus en plus comme un roi auto-proclamé. Je suis peiné de voir que certains citoyens tombent dans une certaine apathie et résilience et oublient ce que signifie le mot « liberté », cette même liberté qu’on nous enlève jour après jour au nom d’une soi-disant protection du citoyen. J’aimerais rappeler à tous que vivre est un risque et que sans ce risque, notre « vie » se transforme tout bonnement en une succession d’années fragiles et insipides nous conduisant inéluctablement vers notre tombe.

Ceci ne vous a -t-il jamais intrigué? Nos compagnies d’énergie privées nous suggèrent sans arrêt de faire des économies sur nos consommations, ce qui est étrange pour des firmes basées sur la croissance et le profit. En tant que bons citoyens, nous remplaçons donc nos ampoules énergivores par de nouvelles versions led couteuses et mensongères sur leur pérennité. Nous changeons nos chaudières et améliorons l’isolation de nos habitats. Et puis… nous apprenons que le stockage des big datas, la 5G et l’AI seront terriblement gourmands en consommation énergétique et que nos économies serviront à alimenter les grandes structures.

Nous avons aussi fait beaucoup d’efforts avec nos différents véhicules personnels pour réduire notre empreinte carbone. Et puis…. nous découvrons que les paquebots réduisent à néant nos petits efforts,
que le kérosène n’est pas taxé comme il devrait l’être et qu’une promotion majeure est faite pour les gros véhicules SUV qui envahissent littéralement les villes.
On nous demande également de trier nos déchets, ce que nous faisons docilement pour un mieux vivre ensemble sur un territoire propre. Et puis… la presse nous informe que pour les sociétés privées gestionnaires de nos emballages plastiques, il était plus rentable de transporter ces marchandises en cargo vers des iles de l’archipel indonésien.
On nous dit également que l’argent liquide n’existera bientôt plus: pour des raisons sanitaires, de facilité, et de contrôle des mafias. Mais réfléchissez: cet argent qui est dans votre poche, il n’est pas spéculable par les banques puisqu’il traine en dehors de leurs coffres. Ce qui pour elles est un manque à gagner important. La bourse est tellement rentable avec cette économie virtuelle des transactions robotisées,
qui ne sont toujours pas taxées comme elles devraient l’être pour la collectivité. Les grands perdants avec l’argent numérique, il ne faut pas l’oublier, ce sont les commerçants qui paient bien cher la location d’un système Bancontact.
Souvenez-vous des scandales alimentaires de la vache folle, du poulet à la dioxine…. Ne parlons même pas des médicaments démontrés toxiques ou hors de prix…. Et enfin, avez-vous remarqué ce mouvement citoyen de jeunes souvent bardés de diplômes universitaires qui ont décidé de rester maitres (économiquement parlant) de leur destin ? Ils pouvaient, pour la plupart, revendiquer des emplois au sein des multinationales et des grandes entreprises. Cette dissidence a engendré un déficit d’ingénieurs pour certaines grosses structures. Depuis moins de dix ans ont fleuri de partout des commerces artisanaux alimentaires et autres qui défendent un bien être simple, une réduction de la consommation superficielle et une vie sociale riche. Ils sont tous en danger aujourd’hui. La cause, en fait, est ce virus peu létal qui sert manifestement d’excuse pour mettre à genoux la plupart des initiatives individuelles.
Ce n’est plus un secret aujourd’hui et cela ne fait plus partie comme en mars 2020 de la théorie du complot puisque c’est officialisé à Davos par le livre de Schwab «The Great Reset». Bien édulcoré, ce document explique qu’il faut sauver Dame Nature et que le covid est une opportunité pour accélérer la transition vers une gouvernance mondiale, des règles sanitaires permanentes, la suppression de très nombreux petits commerces de restauration et d’hôtellerie puisqu’ils ne pourront pas respecter les nouvelles règles. Comment les gouvernants peuvent-ils encore espérer notre confiance, avec cette interminable saga de mensonges? Les masques en tissu livrés gratuitement seraient toxiques. Le pedigree des hommes d’affaires ayant gagné cet appel d’offre est digne d’un film de série B.
La surenchère des pourcentages de réussite des vaccins semble sortir d’une partie de poker. Et pour notre bien, nous serons bientôt connectés à un pass sanitaire incompatible avec les règles déontologiques du secret médical, puisque la moindre dissidence sera immédiatement identifiée.
Et ceci pour, faut-il le rappeler, une maladie virale pas pire que bien d’autres.
Il nous reste comme espoir ce fantastique élan des jeunes qui avaient pris comme chemin une forme de décroissance ou de vie à l’échelle de la famille, des amis, du quartier, sans hiérarchie ni compétition.
Ce n’était déjà plus un embryon mais un enfant. Nous devons encore le protéger pour qu’il grandisse. Certains veulent le tuer. Mais ce sera aux peuples de décider, malgré la terreur bien orchestrée pour orienter les choix.

Yves Fonck

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Yves Fonck

Après avoir terminé des candidatures d’ingénieur civil à LLN, j'ai décidé de me consacrer exclusivement à ma passion, la photographie. J'ai eu la chance d'être remarqué par des agences en communication qui très rapidement m'ont accordé leur confiance. Entre les jobs lucratifs, j'ai réalisé des reportages à l’étranger et plus particulièrement en Haïti à partir de 1988. Avec une quarantaine de voyages dans ce pays, j'ai pu être le témoin de la lutte d’un peuple pour sa liberté démocratique. Par la suite, avec une poignée d’amis, nous avons créé au Burkina Faso une fondation gérant des micro-crédits et un collège de 1000 enfants. Je suis actuellement professeur de photographie à l’ESA St Luc Bruxelles.

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