Le Dr Sucharit Bhakdi, médecin spécialiste en infectiologie et microbiologiste, a travaillé en tant qu'enseignant-chercheur pendant de nombreuses années, notamment au «Max Plank Institute», avant de prendre sa retraite. Depuis le début de la crise sanitaire, il appelle à l’éthique de la part des médecins et dénonce les mensonges de l’EMA (Agence européenne du médicament) et de la FDA (Federal drug agency).

En mars 2020, il écrit le livre «Corona fausse alerte?», où il s'interroge sur le bien-fondé des mesures sanitaires et notamment du confinement. Il y évoque la crise, les tests PCR, le dosage d’hydroxychloroquine et son surdosage dans certaines études. Il parle aussi de la vaccination de masse et des risques liés aux effets secondaires pris par les autorités. Pour lui, les faux tests PCR ont engendré des décisions de politiques sanitaires erronées.

Un des écrits du Dr Bhakdi

«Nous sommes actuellement au milieu de la pandémie de COVID-19 (SARS-CoV-2), une catastrophe mondiale, apparemment causée par un nouveau virus mortel. Le monde entier tente d'y faire face depuis l'avertissement de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), selon laquelle la maladie provoquerait une mortalité de 3,4%. D'un autre côté, trois éminents spécialistes des maladies infectieuses, Wolfgang Wodarg, Sucharit Bhakdi et John PA Ioannidis, affirment que nous interprétons mal les statistiques et que, par ailleurs, nous sommes confrontés à une campagne de désinformation et non à un nouveau virus dangereux. L'OMS compte mal les décès, ignore la nature des personnes infectées et fait fi de tout ce que nous savons sur le coronavirus, de toutes les statistiques sur le rhume et la grippe, auxquelles nous avons accès, en plus des statistiques sur la mortalité de la population. Nous sommes aussi face à la création d'une "fausse image" d'une pandémie mortelle. Malheureusement, les politiciens du monde entier ont réagi à la campagne de l'OMS comme si elle était vraie, créant une peur massive de la population, qui en vient à croire que nous combattons une autre infection mortelle. La peur généralisée augmente considérablement les symptômes des patients de Corona chez l'individu sensible, pour des raisons psychosomatiques: si vous pensez que vous avez une infection mortelle et que tout le monde, y compris votre propre médecin et l'hôpital, réaffirme cette croyance, il est naturel que vous vous sentiez mal. Si vous vous sentez mal à l'hôpital, vous recevrez un traitement. L'hospitalisation et les médicaments peuvent provoquer des infections à l'hôpital, des effets secondaires et augmenter la mortalité en soi. De cette manière, le monde s'est affirmé dans l'illusion d'une pandémie mortelle, qui en premier lieu n'existe même pas. Le COVID-19 a un taux de mortalité d'environ 0,01%, selon les statistiques de décès de nombreux pays.»

Le Dr Bakhdi a créé l’association «Doctor4CovidEthics», constituée de plusieurs centaines de scientifiques et médecins, qui se battent contre les expérimentations sur les vaccins faites par l’Agence européenne du médicament (EMA). Ils ont alerté sur le risque de thrombose et expliquent pourquoi l’EMA ne peut pas continuer à faire prendre de tels risques aux personnes avec cette vaccination. Il explique que pour des motifs qui dépassent la science, ces risques sont inacceptables.

Debriefing en version française: [doublage: Jeanne traduction]

Voir la vidéo et lire l'article dans son intégralité ici
https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/tour-du-monde-des-medecins-en-allemagne-le-dr-bhakdi-appelle-lethique-et

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"La Cour constitutionnelle espagnole a suspendu mardi une loi prise par les autorités de la région de Galice qui obligeait ses habitants à se faire vacciner contre le Covid-19, a-t-on appris de sources judiciaires."

"Cette suspension à caractère préventif intervient après un recours déposé par le gouvernement contre une loi de cette région du nord-ouest de l'Espagne qui prévoyait des amendes pouvant aller jusqu'à 3000 euros en cas de refus injustifié de se faire vacciner contre le coronavirus."

"En Espagne, la vaccination contre le Covid-19 n'est pas obligatoire, comme dans la plupart des pays européens, mais la Galice faisait exception avec cette obligation instaurée fin février."

"Selon des sources judiciaires, le recours a été admis sur la forme, entrainant la suspension des articles contestés par l'exécutif central, qui voyait une "limitation des droits fondamentaux" dans certains points de la loi."

"Les juges ont désormais cinq mois pour étudier ce recours sur le fond et rendre une décision finale, pendant lesquels la suspension préventive sera maintenue."

"Le gouvernement du socialiste Pedro Sanchez prévoit de vacciner 70% de la population d'ici à la fin août."

"L'Espagne a vacciné près de 7,2% (3,4 millions) de ses 47 millions d'habitants avec les deux doses, et a administré plus de 9,4 millions de doses au total, d'après les chiffres du ministère de la Santé."

Lire l'article dans son intégralité ici :
https://www.rtbf.be/info/monde/detail_coronavirus-l-espagne-suspend-une-loi-regionale-qui-rendait-la-vaccination-obligatoire?id=10745184

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"Depuis plusieurs mois, le CTIAP du centre hospitalier de Cholet a consacré plusieurs articles visant à proposer une analyse du «rapport bénéfice/risque» des vaccins contre la Covid-19. Actuellement en France notamment, trois vaccins sont commercialisés et administrés: vaccin des laboratoires BioNTech – Pfizer; vaccin du laboratoire Moderna; vaccin du laboratoire Astra Zeneca."

"Concernant l'analyse du «bénéfice», plusieurs articles sont déjà disponibles sur ce même site. Pour rappel et de façon résumée, il ressort de notamment la bouche du Ministre des solidarités et de la santé (en conférence de presse en date du 18 février 2021), des écritures du Ministère (des solidarités et la santé) produites depuis fin février 2021 auprès du Conseil d’État, des documents de la haute autorité de santé (HAS) et de l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM)… que la preuve n’a pu être apportée quant à la capacité de ces vaccins de prévenir les formes «graves» de la Covid-19 ou d’empêcher la transmission virale, notamment. C’est la raison pour laquelle les personnes vaccinées continuent d’être soumises aux mêmes restrictions des libertés fondamentales qui sont imposées aux personnes non-vaccinées."

"Il y a donc lieu de réserver le présent article au «risque» de ces vaccins ; tout en s’interrogeant sur le silence des médias traditionnels (dominants) concernant les «effets indésirables» notifiés en pharmacovigilance suite à l’administration des vaccins autres que le vaccin Astra Zeneca. Pourquoi ces médias n’ont-ils pas jugé utile d’informer également la population sur les effets indésirables des vaccins BioNTech – Pfizer et Moderna?"

"N.B.: Dans ce qui suit, sont listés les effets indésirables indiqués dans ladite «synthèse des résultats et les faits marquants» du 9 avril 2021; et leurs nombres sont précisés entre parenthèses. Il y a lieu de relever qu’initialement, l’ANSM indiquait le nombre de «décès» en haut du tableau présenté dans cette synthèse. Puis, cette ligne correspondant à ces décès a été relayée tout en bas de ce tableau. Ensuite, le libellé «mortalité toute cause» notamment s’est substitué à celui de «décès»… Ce glissement dans le tableau, et au niveau sémantique, concerne en particulier le vaccin BioNTech – Pfizer. C'est ainsi que cette synthèse de l'ANSM précise:"

"Concernant le vaccin BioNTech – Pfizer"
"«Zoom sur les effets indésirables graves dits «d’intérêt particulier»»:
Cardiomyopathie provoquée par le stress (3)
Maladie coronarienne (Cardiopathie ischémique) (54)
Insuffisance cardiaque (84)
Myocardite (7)
Troubles du rythme cardiaque (323)
Erythème polymorphe (2)
Vascularite (15)
Affections hépatiques aigues (20)
Accidents vasculaires cérébraux (167)
Embolie pulmonaire (77)
Maladie hémorragique (111)
Ischémie des membres (55)
Thrombocytopénie (18)
Thrombose véineue profonde (120)
Arthrite (26)
Diabète tout confondu (19)
Anosmie ou agueusie (5)
Convulsions généralisées (50)
Méningoencéphalite (3)
Méningite aseptique (2)
Paralysie faciale (62)
Syndrome de Guillain-Barré (2)
Insuffisance rénale aiguë (15)
Syndrome de détresse respiratoire aiguë (8)
Mortalité toute cause (386)
COVID-19 (124)
Hypersensibilité et anaphylaxie de garde II et III (53)"

"«Erreurs médicamenteuses»:
Administration d’une dose incorrecte (30)
Schéma d’administration inapproprié (11) dont (1) avec effets indésirables graves associés
Problème de préparation du produit (8) dont (1) avec effets indésirables graves associés
Site/voie d’administration inapproprié (8) dont (4) avec effets indésirables graves associés
Autres circonstances (1)"

"«Faits marquants»:"
"«Effets indésirables déjà observés et sous surveillance»:
Thrombopénie / Thrombopénie immunologique / hématomes spontanés
Zona
Hypertension artérielle
Troubles du rythme cardiaque
Complications diabétiques
Echec vaccinal
Syndrome de Guillain-Barré"
"Concernant le vaccin Moderna"
"«Effets indésirables graves dits «d’intérêt particulier»»:
Convulsions / myoclonies (9)
Troubles du rythme cardiaque (12)
Mort subite (6)
Accidents vasculaires cérébraux (9)
Thromboembolie (9)
Réaction anaphylactique grade II et III (4)
Diabète (2)
Paralysie faciale (5)
Insuffisance cardiaque (1)
Hémorragie (2)
Echec vaccinal (1)
Pneumonie (1)
Myélite cervicale (1)"
"«Erreurs médicamenteuses»:
Schéma d’administration inapproprié (3)
Erreur de site d’administration (1)
Erreur d’indication (1) avec effets indésirables graves associés"
"«Faits marquants»:
Sont évoqués notamment des troubles vasculaires de type hypertension artérielle, troubles du rythme, des réactions de type réactogénicité (malaise, syndrome grippal), des cas graves d’événements thromboemboliques…"
"Concernant le vaccin AstraZeneca"
"«Zoom sur les effets indésirables graves dits «d’intérêt particulier»»:
Accidents vasculaires cérébraux (33)
Thrombocytopénies (16)
Troubles du rythme cardiaque (32)
Infarctus du myocarde (10)
Thrombus intra-cardiaque (1)
Embolie pulmonaire (EP) (33)
Thromboses veineuses cérébrales (9)
Thromboses veineuses splanchniques (3)
Thromboses veineuses profondes sans EP (50)
Myo-péricardite (2)
Méningoencéphalite (2)
Convulsions (10)
Paralysie faciale périphérique (7)
Syndrome de Guillain-Barré (1)
Réaction anaphylactique de grade II (5)
Anosmie / agueusie (6)
Décès (45)"
"«Erreurs médicamenteuses»:
Schéma d’administration inapproprié (2)"
"«Faits marquants»:"
"«Nouveaux effets indésirables placés sous surveillance»:
Saignements cutanéo-muqueux (principalement des ecchymoses et des saignements du nez)
Zona
Réactivation herpétique
Décès suite à une hépatite fulminante nécrotique, liée à une réactivation d’Herpès virus simplex type 1."
"«Effets indésirables déjà sous surveillance»:
Syndromes pseudo-grippaux
Elévations de la tension artérielle
Dyspnées et asthme associés à des cas de syndromes pseudo-grippaux
Evénements thromboemboliques
Thromboses des grosses veines atypiques par leur localisation»"

Publié par CTIAP centre hospitalier de Cholet

Pour lire l'article dans son intégralité :
https://ctiapchcholet.blogspot.com/2021/04/vaccins-contre-la-covid-19-pourquoi-ce.html

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"La plus haute instance administrative ne remet pas en cause les principes fondamentaux du texte. Ce dernier avait pourtant été contesté par de nombreux juristes auditionnés à la Chambre ces dernières semaines."

"Elle n’a pas encore été votée mais elle a déjà fait couler beaucoup d’encre et cela n’est pas près de s’arrêter. Nouvelle étape franchie pour la future loi pandémie la section législation du Conseil d’Etat a rendu son très attendu avis–un épais texte de 70 pages–sur l’avant-projet de loi de la ministre de l’Intérieur, Annelies Verlinden (CD&V). La juridiction ne fait pas écho aux nombreuses réserves émises par des juristes, des instances officielles et la société civile."

"Un texte aux enjeux considérables"

"Avant de décrypter ces recommandations, généralement suivies, il n’est pas inutile de rappeler le contexte très particulier du texte et ses enjeux colossaux. La loi pandémie qui s’intitule en vrai «loi relative aux mesures de police administrative lors d’une situation d’urgence épidémique» vise à créer un cadre légal plus solide et plus transparent pour la gestion de la crise du covid et de toute situation d’urgence épidémique qui pourrait se présenter à l’avenir… Ce n’est pas rien, la tâche est ardue. D’autant que de nombreuses critiques ont été émises ces derniers mois–rien que dans nos pages, 25 constitutionnalistes, 20.000 avocats ou encore de nombreux représentants de la société civile se sont exprimés avec virulence–à l’égard du gouvernement fédéral et de la formulation de ses réponses pour lutter contre l’épidémie."

"En simplifiant, on reproche la mainmise complète de l’exécutif sur la prise de décision et, par ricochet, la mise à l’écart du Parlement, seule assemblée pourtant élue directement. Egalement le fait que des mesures qui restreignent les droits fondamentaux des citoyens (liberté de circulation, de réunion, de commerce…) sont prises par arrêté ministériel–on en dénombre près de 40 depuis le début de l’épidémie–sans s’appuyer sur des bases légales suffisantes. Ce qu’a d’ailleurs confirmé un jugement du tribunal de première instance de Bruxelles le 12 avril dernier. Une décision de justice qui a, fatalement, un peu plus précipité le procédé en cours: la juge a donné 30 jours à l’Etat–qui a interjeté appel: la décision sera rendue avant le 30 avril–pour se conformer au jugement."

"Détail essentiel à mentionner: ce n’est jamais le bien-fondé des mesures qui est attaqué mais bien la manière dont ces règles à suivre sont édictées."

"Les compétences «larges» du fédéral confirmées"

"En réponse aux attaques, le gouvernement avait donc promis une loi pour éviter le flou à l’avenir. Et s’est engagé début février à soumettre une copie très précoce du texte (l’avant-projet) aux députés. «Une première», selon nos dirigeants. Dans ce cadre, 25 experts ont été entendus en commission de l’Intérieur, 20 avis écrits remis et des échanges organisés avec la ministre durant le mois de mars. Le tout rassemblé dans un compte rendu de 624 pages. Précisons-le: les analyses des parties sollicitées par les parlementaires n’épargnent pas cette première version du texte. C’est que la copie d’Annelies Verlinden s’inspire fortement de ce qui a été mis en œuvre depuis un an."

"Manquait encore avant de s’atteler à la rédaction d’un projet de loi, cette fois, l’avis obligatoire (mais non contraignant) de la section législation du Conseil d’Etat. Il est tombé jeudi en matinée. Ceci n’est pas un détail: il a été rendu en assemblée générale (les chambres francophone et néerlandophone rassemblées), un fait rare qui souligne l’importance accordée au texte."

"«Un premier enseignement de l’avis», souligne Emmanuel Slautsky, professeur de droit public à l’ULB, «tient à la lecture plutôt large qu’il fait des compétences fédérales en matière sanitaire par rapport à celles des entités fédérées, ce qui se justifie par le fait qu’il faut permettre à l’autorité fédérale d’élaborer une réponse adéquate, efficace, en cas d’urgence épidémique. Cette lecture confirme en quelque sorte, la manière dont on a fonctionné ces derniers mois»."

"Autrement dit: le fédéral peut par exemple très bien décider de fermer les écoles, uniquement si la situation sanitaire l’impose cela va sans dire, et ce même si l’enseignement est une compétence communautaire. L’avis tranche également une inquiétude soulevée lors des auditions à la chambre: une fois que la situation d’urgence épidémique est déclarée, c’est la loi pandémie qui sera appliquée, plutôt que les trois lois utilisées jusqu’à présent pour justifier les arrêtés ministériels."

"L’épineux volet vie privée validé"

"Troisième point d’importance: de nombreux experts considéraient que les pouvoirs de la ministre de l’Intérieur devraient être davantage balisés par le texte et que chaque arrêté ministériel devrait être confirmé par le Parlement. Le Conseil d’Etat ne va pas aussi loin. «Il estime que les éléments essentiels, soit la liste des mesures à prendre (couvre-feu, port du masque…, NDLR), tout comme le cadre dans lequel elles peuvent entrer en vigueur, sont déjà suffisamment précisés dans le texte de la loi pandémie», poursuit Emmanuel Slautsky. «Cependant, l’avis mentionne aussi que rien n’empêche de prévoir dans la loi que les mesures prises par la ministre doivent être confirmées par le Parlement en aval de leur adoption. Ce n’est pas un hasard et, selon moi, une telle confirmation devrait être prévue par les députés pour assurer un débat parlementaire systématique sur les mesures prises et faire en sorte qu’une prise de position publique des différents groupes politiques intervienne à leur propos. Il faudrait cependant, dans ce cas, veiller à améliorer les possibilités de recours juridictionnels contre les mesures qui seraient ainsi confirmées.»"

"Enfin, l’avis est, à nouveau, assez doux sur le volet «vie privée» du texte. Pour rappel, toute ingérence dans le traitement de vos données personnelles impose une loi. L’avant-projet prévoit qu’un arrêté royal délègue provisoirement cette compétence au Roi: le Parlement doit ensuite confirmer ou infirmer les décisions prises dans les 15 jours. Ce que le Conseil d’Etat ne conteste pas."

"La directrice du centre de connaissance de l’Autorité de protection des données (APD), Alexandra Jaspar, avait pourtant considéré, à l’instar d’autres juristes spécialisés, que dans ce cadre «l’urgence était rarement justifiée et qu’il n’y avait pas de raison par conséquent de priver le Parlement de faire son travail», insistant sur le fait que «les délégations de compétences au profit de l’exécutif étaient bien trop larges»."

"Par Amandine Cloot
Journaliste au service Economie"

Lire l'article dans son intégralité ici :
https://plus.lesoir.be/366645/article/2021-04-15/le-conseil-detat-ne-demolit-pas-lavant-projet-de-loi-pandemie

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Covid-19 : les tests par prélèvements nasopharyngés ne sont pas sans risque, alerte l'Académie nationale de médecine

“L'institution évoque notamment "des brèches de l’étage antérieur de la base du crâne associées à un risque de méningite".“
“Ils sont jusqu'à présent le principal outil de dépistage du Covid-19. Les prélèvements nasopharyngés, pratiqués pour les tests PCR ou les tests antigéniques, ne sont pas sans risque, souligne jeudi 8 avril l'Académie nationale de médecine dans un communiqué.“
“Depuis le début de l'épidémie, leur nombre s'est envolé, avec quelque 70 millions réalisés entre le 1er mars 2020 et le 4 avril 2021 (57,7 millions de PCR et 12,4 antigéniques) selon une estimation, jeudi, de la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Drees). Sur la seule semaine du 29 mars au 4 avril 2021, 3 835 000 résultats de tests PCR et antigéniques ont été validés.“
“L'Académie rappelle certaines complications, douleur ou saignement, qui "peuvent être considérées comme bénignes". Mais elle note que "de graves complications commencent à être décrites dans la littérature médicale depuis quelques semaines", évoquant notamment "des brèches de l'étage antérieur de la base du crâne associées à un risque de méningite".“
“Les prélèvements salivaires recommandés pour les enfants“

“L'Académie de médecine estime que, parfois, les prélèvements sont effectués "dans des conditions inadaptées". Elle appelle donc à "respecter les bonnes pratiques". Avant tout prélèvement, il convient de "s'enquérir d’éventuels antécédents accidentels ou chirurgicaux de la sphère ORL" qui ont pu modifier "l’anatomie des cavités nasales et sinusales". Elle précise que la tête du patient ne doit pas être "en hyper extension lors du prélèvement".“

“L'institution recommande ainsi que les prélèvements nasopharyngés soient pratiqués par "des professionnels de santé formés pour la réalisation de ce geste". Pour les enfants, elle préconise les prélèvements salivaires.“

“Elle met également en garde sur l'utilisation des autotests, qui doivent arriver en pharmacie à partir du 12 avril. Ceux-ci ne nécessitent pas un prélèvement aussi profond que les autres, mais l'Académie recommande d'alerter les utilisateurs sur le fait que "l'auto-prélèvement peut exposer à de faux négatifs lorsque l'écouvillonnage est trop timide et superficiel, mais peut aussi devenir dangereux lorsque l'écouvillonnage est trop profond et dirigé dans la mauvaise direction".“

Lire l'article dans son intégralité ici :
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/covid-19-les-tests-par-prelevements-nasopharynges-ne-sont-pas-sans-risque-alerte-l-academie-nationale-de-medecine_4364603.html

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