"À la suite de l’audition de sa présidente par le Sénat, la CNIL publie sa position sur l’extension du recours obligatoire au passe sanitaire prévue par le projet de loi relatif à la gestion de la crise liée à la COVID-19. Si elle ne remet pas en cause le principe de l’extension, la CNIL attire l’attention sur plusieurs points pour le débat parlementaire"


Le contexte et le rôle de la CNIL"

"La CNIL s’est déjà prononcée à deux reprises sur le passe sanitaire, par ses avis des 12 mai 2021 et 7 juin 2021. Le passe sanitaire était alors limité aux évènements de loisirs rassemblant plus de 1000 personnes et aux déplacements à l’étranger, ainsi qu’aux déplacements entre la métropole, la Corse ou l’outre-mer."
"Depuis le 21 juillet 2021, le passe sanitaire est obligatoire pour les lieux de loisirs et de culture rassemblant plus de 50 personnes : les salles de spectacle, parcs d’attractions, salles de concert, festivals, salles de sport, cinémas..."
"Il a pour objectif de limiter la circulation de la COVID-19 en conditionnant l’accès à un certain nombre de lieux, évènements ou services, à la présentation d’un certificat de vaccination, d’un test de dépistage négatif à la COVID-19, ou d’un certificat de rétablissement à la suite d’une contamination antérieure à la COVID-19. Ce passe se présente sous la forme d’un QR code disponible depuis l’application TousAntiCovid ou en version papier."

"Le projet de loi relatif à la gestion de la crise sanitaire, examiné en urgence par le Parlement cette semaine, prévoit notamment une prolongation du dispositif jusqu’au 31 décembre 2021 et une très forte extension du passe sanitaire : sa présentation serait exigée pour l’accès aux bars, restaurants, transports public de longue distance et grands centres commerciaux."
"D’autres mesures sont prévues dans le projet de loi, comme l’élargissement du régime du placement en isolement des personnes contaminées, la création d’une obligation vaccinale pour les personnes travaillant dans les secteurs sanitaire et médico‑social, ou encore la modification du régime juridique des fichiers créés pour lutter contre l’épidémie."
"Les délais de préparation du projet de loi n’ont pas permis au Gouvernement de saisir la CNIL, ce qui n’était pas légalement obligatoire. Cependant, le rapporteur du texte au Sénat a souhaité auditionner la présidente de la CNIL le 21 juillet 2021."
"Par transparence, la CNIL rend publique cette déclaration dont les points principaux sont les suivants."

"Une question qui dépasse l’enjeu sanitaire" 

"L’importante extension du recours obligatoire au passe sanitaire soulève des questions inédites et complexes d’articulation entre protection de la santé publique et exercice de libertés fondamentales. Ce choix comporte une dimension éthique. Le dispositif va aboutir à ce que les Français doivent présenter plusieurs fois par jour un « passe » pour des activités de la vie courante, ce qui s’accompagnera probablement d’une forme de contrôle d’identité."
"La mise en place d’un contrôle sanitaire à l’entrée de certains lieux ou moyens de transport questionne la frontière entre ce qui relève de la responsabilité individuelle et ce qui relève du contrôle social. En principe, il ne doit pas y avoir de contrôle de l’état de santé à l’entrée de lieux de vie collective."
"Lors de son audition, la présidente de la CNIL a donc rappelé la nécessité de prêter une attention particulière à l’effet de cliquet d’une telle mesure. Le législateur doit tenir compte du risque d’accoutumance et de banalisation de tels dispositifs attentatoires à la vie privée et de glissement, à l’avenir, et potentiellement pour d’autres considérations, vers une société où de tels contrôles seraient la norme et non l’exception."

"Un périmètre et des mesures à expertiser"

"Pour accepter une telle extension, le Parlement doit estimer qu’elle est indispensable à la gestion de la crise et que la restriction apportée aux libertés est proportionnée. L’appréciation de cette proportionnalité dépend grandement du caractère gratuit ou payant des tests de dépistage."
"Le rebond de l’épidémie peut justifier des mesures exceptionnelles, pour éviter un nouveau confinement, mais l’extension du passe sanitaire doit être paramétrée au plus près. La présidente de la CNIL a appelé le Parlement à distinguer davantage les lieux et activités concernés par le passe sanitaire, en tenant compte des autres mesures mises en place pour réduire les risques de contamination dans chacun de ces lieux : port du masque, distanciation, capacité d’accueil, jauge éventuelle, etc. Ces risques ne sont pas les mêmes entre, par exemple, les salles et les terrasses de restaurants."
"Si l’objectif du passe sanitaire est d’éviter que notre système de santé soit à nouveau débordé par un afflux de personnes développant des formes graves de la COVID-19 faute de s’être fait vacciner, la CNIL a interrogé le Parlement sur la nécessité d’inclure les plus jeunes dans le dispositif, dès lors qu’ils ne développent généralement pas de forme grave de la maladie."
"La présidente de la CNIL a également interrogé le Parlement sur l’utilité relative du passe sanitaire par rapport aux autres mesures mises en place depuis le début de l’épidémie. Gestes barrières, obligation de port du masque, télétravail sanitaire, système d’enquêtes sanitaires d’une puissance inédite, application TousAntiCovid, cahiers de rappel, campagne vaccinale et passe sanitaire : la loi devrait prévoir le principe d’une évaluation rigoureuse et scientifique de ces différents fichiers et dispositifs, notamment des dispositifs numériques, afin de supprimer des instruments s’avérant ou devenus inutiles. Faut-il, par exemple, conserver un dispositif de cahier de rappel (numérique ou papier) dans les restaurants si on limite l’accès aux seules personnes vaccinées, immunisées ou testées négatives à la COVID-19 ?"
"Enfin, l’impératif de nécessité implique que le dispositif soit limité dans le temps, ce qui est bien prévu dans le projet de loi."

"Des garanties supplémentaires à prévoir"

"Des garanties substantielles sont déjà prévues dans le projet de loi telles que l’exclusion des lieux liés aux manifestations habituelles de certaines libertés fondamentales (liberté de culte ou liberté politique et syndicale), la prévision de dérogations applicables aux mineurs et aux personnes pour lesquelles la vaccination est contre-indiquée, l’interdiction de conserver les données du passe à l’issue du processus de vérification ou encore le maintien de l’alternative papier au passe sanitaire numérique."
"La CNIL a demandé certaines garanties supplémentaires. Elle souhaite que la loi précise davantage les modalités de contrôle du passe sanitaire, et notamment le contrôle de l'identité du porteur du passe. Il convient d’éviter la généralisation de contrôles d’identité poussés dans tous les lieux où le passe sanitaire est institué."

"Par ailleurs, les conditions de traitement des données médicales des salariés par leurs employeurs devraient également faire l’objet de précisions, afin d’éviter la constitution de fichier contenant toutes les attestations vaccinales des employés : l’employeur ne devrait garder trace que du statut vaccinal, et en assurant la sécurité de cette donnée sensible."


Les opinions exprimées dans cet article n’engagent que la responsabilité de l’auteur et ne représentent pas nécessairement celle de BAM!

Lire l'article dans son intégralité ici :
https://www.cnil.fr/fr/les-mises-en-garde-de-la-cnil-sur-lextension-du-passe-sanitaire

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"ENTRETIEN - De nombreux lecteurs nous ont alerté sur le désarroi de certaines familles dont un proche vient de décéder, alors qu'il était en bonne santé, mais venait de recevoir une injection qualifiée de "vaccin anti-covid", car le plus souvent le médecin de famille, comme l'hôpital, lui affirment qu'il n'est pas prouvé que l'injection soit la cause du décès ; il ne peut s'agir que d'une coïncidence malheureuse..."

"Nous avons demandé à Me Jean-Pierre JOSEPH, avocat au barreau de Grenoble, et auteur de "Vaccins, on nous aurait menti" (Testez Ed.) ce qu'il fallait faire dans une telle situation."


"FranceSoir : Les grands médias nous indiquent qu'il n'y a pas de raison d'être inquiets, car le nombre des effets indésirables, et plus particulièrement des décès consécutifs au "vaccin anti-covid" serait très faible. Que pouvez vous dire à ce sujet ?"

"JPJ : Il faudra bien un jour que les grands médias cessent de se voiler la face, ou même de mentir. Il existe une base de données européenne des rapports de réactions médicamenteuses suspectées : "Eudravigilance". Ce site suit également les rapports de blessures et de décès suite aux « vaccins » expérimentaux contre le COVID-19 ."

"Sur ce site, alors que les injections n'ont commencé en Europe que depuis quelques mois, l'on répertoriait déjà en juin dernier plus de 13.000 décès, et plus de 1.300.000 effets indésirables. Dans ces effets, entre 37% et 55% (en fonction du produit) sont des effets indésirables graves. C'est-à-dire au minimum près de 500.000 effets indésirables graves. (AVC, thromboses, troubles psychiatriques, fausses couches, etc...) Certes, le site officiel Européen E.M.A. ne mentionne "que" 5.000 décès, en précisant que le lien de causalité des autres décès n'est pas prouvé."
"Ce sont des coïncidences malheureuses..."
"De toutes manières, le site officiel français ANSM (Agence Nationale de sécurité du médicament) indiquait récemment pour la France, près de 700 décès, et 55.000 effets indésirables, dont 28% graves, soit 15.400 ! Et le chiffre augmente tous les jours...
"Ce qui fait peur, est que nous sommes en phase d'essai clinique jusqu'en 2023 : dans cette suite de phase 3, la surveillance de moyen-long terme de la vaccination en population générale, on devrait avoir deux fois plus de cas que durant la phase d'expérimentation, dans laquelle un flacon sur deux était un placebo."

"D'autre part, et cela est encore plus inquiétant, les organismes de pharmacovigilance, tant en Europe qu'aux États-Unis, reconnaissent n'avoir connaissance que de 10% des effets secondaires des vaccins. Les chiffres officiels doivent être multipliés par 10 si l'on veut approcher de la réalité. Cette approche est confirmée par les nombreux appels téléphoniques que nous avons reçus, au cours desquels, nous apprenions que la plupart du temps, les médecins des victimes de ces produits, leur déclaraient péremptoirement que "ça ne venait pas du vaccin"..."
"Donc aucune déclaration n'était transmise aux autorités de santé..."
"Les autorités le savent, les grands médias aussi. Mais tout le monde se tait. Voilà ce qui est honteux. Pourquoi le 1er décès du Covid a-t-il fait la une des journaux, alors que les 700 premiers décès des injections qualifiées de "vaccins" n'ont pas du tout ému nos grands journalistes."
"FS : Si un proche décède suite aux injections, comment obtenir les preuves que le décès est dû à l'injection ?"

"JPJ : Les proches doivent immédiatement demander une autopsie. L'hôpital s'y opposera vraisemblablement. Dans ce cas, il faut tout de suite contacter un avocat qui enverra une demande au Procureur de la République. Parallèlement l'avocat fera un courrier recommandé à l'hôpital et à l'organisme de pompes funèbres, pour informer de sa démarche, et faire en sorte que le corps du défunt reste à disposition."

"FS : Si le décès est dû à l'injection, qui est responsable juridiquement du décès qui doit on poursuivre ? L'injecteur, l'État, la société pharmaceutique ?"

"JPJ : Dans les contrats conclus entre les laboratoires pharmaceutiques et la Commission européenne, existe une clause de non-responsabilité des laboratoires. D'autre part, une autre clause indique que les parties reconnaissent ne rien savoir de l'efficacité du produit, et des effets indésirables pouvant survenir."

"Enfin, la plupart des médecins ont été laissés dans l'ignorance de la composition des produits, et notamment d'un élément très toxique qui est l'oxyde de graphéne. L'un des produits , d'après des analyses effectuées en Espagne, serait composé de 99% d'oxyde de graphène ! [NDLR, mise à jour 20 juillet : cette étude est contestée] Comment rester en bonne santé avec de telles doses ?"
"La responsabilité incombera à l'État qui a rendu de fait pour beaucoup de gens, cette injection obligatoire. Il faudra à mon avis, déposer une plainte pénale contre X pour empoisonnement."
"C'est le juge d'instruction qui, après enquête, déterminera les personnes à mettre en examen. Mais l'on pourra aussi faire un choix différent : demander simplement réparation du préjudice à l'État."

"Je reste persuadé qu'une plainte pénale aurait le mérite de montrer que certains, sachant les dégâts occasionnés par ces produits, ont continué de les cacher, en insistant pour que l'on se fasse injecter de véritables poisons. Car comment qualifier autrement des produits injectés à des gens en bonne santé, et dont 13.000 en Europe en sont déjà morts, et 500.000 sont ou ont été dans un état grave ?"
"FS : Supposons que l'autopsie révèle effectivement que la personne est bien décédée à cause de l'injection. Que se passera-t-il concernant par exemple, l'assurance décès, accessoire à un contrat de crédit, car il existe des clauses d'exclusion en cas de participation à des essais cliniques ?"

"JPJ : Il existe effectivement un problème : la compagnie d'assurance dans ce cas, risque d'opposer le fait que le défunt participait volontairement à un essai clinique."

"Dans le cas où la personne ferait partie d'une profession pour laquelle cette injection était obligatoire, la question va se poser, car la compagnie d'assurance risque de rester sur sa position en estimant qu'obligatoire ou non, un essai clinique n'est pas une thérapeutique normale. Il faudra alors appeler l'État en garantie."

"Quant à ceux qui auront obtenu le pass dit sanitaire, pour pouvoir aller au restaurant, il sera difficile de prétendre que la participation à cet essai n'était pas volontaire."


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“La Chambre a approuvé jeudi à majorité contre opposition le projet de loi relatif aux mesures de police administrative lors d'une situation d'urgence épidémique, connu sous le nom générique de "loi pandémie"“


“Ce vote clôt un travail parlementaire de plusieurs mois. Celui-ci avait débuté par une consultation inédite en mars dernier de la commission de l'Intérieur et d'experts alors que le gouvernement en était au stade de l'avant-projet. Le texte a aussi reçu un avis critique de l'Autorité de Protection des Données (APD). Arrivé en plénière, plusieurs amendements avaient été renvoyés au Conseil d'Etat, qui aura été consulté à quatre reprises.“

“Des mesures renforcées en cas de situation d’urgence“

“Concrètement, le gouvernement aura la possibilité de déclarer une situation d'urgence épidémique pour une durée de maximum 3 mois, par un arrêté délibéré en Conseil des ministres. Chaque arrêté royal déclarant ou prolongeant cette situation prendra effet immédiatement, mais devra être confirmé par la Chambre dans un délai de 15 jours. À défaut de confirmation, l'arrêté royal devient caduc.“
“Dès la situation d'urgence déclarée, le gouvernement pourra adopter, par arrêté délibéré en Conseil des ministres, les mesures de police administrative nécessaires "en vue de prévenir ou de limiter les conséquences de la situation d'urgence épidémique pour la santé publique." Lorsque les circonstances locales l'exigent, les gouverneurs et bourgmestres pourront prendre des mesures renforcées.“

“Infractions“

“Les mesures de police administratives qui pourront être prises concerneront l'accès au territoire belge, la limitation d'accès ou la fermeture d'une ou plusieurs catégories d'établissements ainsi que des lieux de réunion, la limitation ou l'interdiction des rassemblements, la limitation ou l'interdiction des déplacements, la fixation de conditions d'organisation du travail et la détermination de mesures de protection sanitaire. Le gouvernement pourra aussi définir des modalités pour des réquisitions.“
“Les infractions constatées aux mesures édictées pourront être sanctionnées d'une amende d'un à 500 euros, d'une peine de travail de 20 à 300 heures, d'une peine de probation autonome de six mois à deux ans, d'une peine de surveillance électronique d'un mois à trois mois ou d'une peine d'emprisonnement de maximum trois mois. Ces condamnations seront retirées du casier judiciaire trois ans après la décision judiciaire.“
“Chaque mois, le gouvernement devra faire rapport à la Chambre. En outre, dans un délai de trois mois après la fin de chaque situation d'urgence épidémique, le gouvernement transmettra à la Chambre un rapport d'évaluation portant sur le respect des droits fondamentaux afin de vérifier si la loi ne doit pas être abrogée, complétée, modifiée ou remplacée. Cette disposition s'appliquera déjà à l'issue de la pandémie de Covid-19.
Le volet "données personnelles" ne figure plus dans le texte final.“


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“Après des mois de débats sur l'utilité de cette molécule controversée, l'institut Pasteur vient de rendre public une étude plaidant pour l'efficacité de l'ivermectine. En Inde, une responsable de l'OMS est, elle, poursuivie pour l’avoir déconseillée.“


"La lutte anti-Covid vient-elle de connaître un nouveau rebondissement ? Une étude rendue publique par l’Institut Pasteur lundi 12 juillet réactive en effet la piste d’une molécule déjà bien connue pour lutter contre les divers parasites intestinaux, l’ivermectine. Et ce, au moment où la multiplication des variants, faute d’un niveau de vaccination mondiale suffisant, renouvelle l’intérêt pour des traitements susceptibles de réduire la dangerosité du Covid 19 - tout particulièrement celle de l’orage citokinique, un emballement de l’immunité qui submerge les poumons des malades. D’après l’étude en question, l’ivermectine se révèle très efficace pour prévenir la réaction inflammatoire mortelle déclenchée par le coronavirus sur un modèle animal prometteur : le hamster. Si la maladie n’est pas pour lui aussi dangereuse que chez l’humain, il développe néanmoins l’anosmie, la perte de l’odorat, un symptôme de cette maladie."
"Depuis les débuts de la pandémie, cette molécule figure parmi les médicaments testés mais les divers essais menés à travers le monde n’ont pas encore permis de valider de façon satisfaisante son efficacité."
"« Menés le plus souvent dans des pays émergents, ces essais cliniques ne réunissaient pas les conditions demandées pour la mise à l’épreuve de médicaments chez nous. Cela a conduit à des critiques tant au sein de l’Organisation Mondiale pour la Santé qu’au sein de la direction générale de la santé », explique Jean-Pierre Changeux, le grand neuroscientifique figurant parmi les signataires de cette nouvelle étude. Jusqu'à présent, l'O.M.S. ne l'a pas retenue parmi les traitements qu'elle préconise, pas plus que les agences du médicament américaines ou européennes. Cela n'empêche pas cet antiparasitaire très bon marché d'être déjà utilisé dans plusieurs pays du Moyen-Orient ainsi qu'en Inde, où des médecins assurent constater ses effets bénéfiques pour réduire la gravité de la maladie."
"Cette histoire vous rappelle quelque chose ? «  La polémique autour de l'hydroxychloroquine a beaucoup nui à l'évaluation objective de l'ivermectine », regrette Jean-Pierre Changeux. Une molécule qui fait débat depuis des mois Comme le médicament antipaludéen, ce traitement déchaîne en effet les passions sur les réseaux sociaux et les querelles scientifiques. Il a même récemment conduit à la mise en cause d'une responsable de l'O.M.S. en Inde, Soumia Swaminathan. Cette pédiatre reconnue pour ses travaux sur la tuberculose est une des scientifiques en chef de l'institution internationale. L'Indian Bar Association, un regroupement d'avocats indiens, a annoncé voici quelques jours entamer des poursuites à son encontre. L'association l'accuse d'avoir volontairement écarté des preuves en faveur de ce traitement et tweeté pour en déconseiller l'usage, l'accusant d'avoir voulu favoriser les vaccins et les intérêts des laboratoires qui les produisent."
"Selon l'avocate en charge de dossier, ce tweet aurait conduit un des Etats indiens à l'écarter de son protocole de traitement et aurait ainsi causé la mort de nombreux malades que l'Ivermectine aurait pu supposément sauver."
"De son côté, Jean-Pierre Changeux ne comprend pas que cette molécule ne soit pas incluse dans les différents programmes d'évaluation. « Voilà plus d'un an que des chercheurs demandent que l'ivermectine soit incluse dans des essais thérapeutiques, sans y parvenir. Voici quelques jours, les Britanniques eux, en ont lancé deux, notamment avec une excellente équipe d'Oxford déjà à l'origine du seul traitement un peu efficace à ce jour, la dexaméthazone, je regrette que cela n'ait pas lieu en France. » Si ces essais ont été lancés au Royaume-Uni, dit-il c'est à la demande de médecins et de chercheurs en France, affirme le neuroscientifique. Il s'étonne que même Merck, le laboratoire qui fabrique ce médicament n'ait pas non plus souhaité en lancer. "

"Un moyen de débloquer le récepteur nicotinique ? Voici plus d'un an, que Jean-Pierre Changeux et Zahir Amoura, chef de service à la Pitié Salpêtrière, avaient émis l'hypothèse, que le Covid pourrait pénétrer notre organisme via le récepteur nicotinique. Il s'agit d'une protéine contenue dans nos neurones qui y fixe différents neurotransmetteurs cruciaux pour notre organisme, protéine que Jean-Pierre Changeux a lui-même contribué à découvrir. Cette hypothèse permettrait notamment d'expliquer l'énigme des fumeurs, moins nombreux que la moyenne à présenter une forme grave de Covid. Ses travaux ont également démontré que l'Ivermectine a un effet d'activation de ce récepteur chez les mammifères. D'où l'idée de sa possible utilisation contre le Covid et de l'étude menée au sein de l'équipe du vétérinaire Hervé Boury à l'Institut Pasteur, dont l'auteur principal est Guilherme Dias de Melo. Quelles applications thérapeutiques seraient alors envisageables sur l'homme ?  
« Chez le hamster, l'ivermectine n'agit pas sur la prolifération du virus mais principalement sur ses effets, cliniques et immunologiques, précise Jean-Pierre Changeux. Ceux-ci pourraient passer par réflexe vagal, déclencheur du fameux orage citokinique, qui, on le sait, passe par le récepteur nicotinique. »"
"« Chez la souris, l'invalidation de ce récepteur déclenche ce réflexe inflammatoire. Notre hypothèse est que le coronavirus bloquerait directement ou indirectement ce récepteur et que l'Ivermectine pourrait le réactiver. » Autre souci, certains experts estiment que la dose nécessaire d'ivermectine pour obtenir un résultat serait très supérieure à celle habituellement utilisée contre les parasites et pourrait entraîner des effets secondaires inquiétants."
"Ce que JeanPierre Changeux dément : « Face aux variants, il est très intéressant d'avoir une piste chimique aussi prometteuse avec une molécule déjà bien connue et qui n'a pas donné lieu à des effets indésirables significatifs. Nous avons utilisé avec le hamster des doses d'IVM couramment utilisées en clinique humaine avec des millions de patients... et très peu d'effets secondaires. C'est un point essentiel de notre travail. » Le mystère des bienfaits de l'ivermectine n'est donc pas tout à fait éclairci."


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https://www.nouvelobs.com/societe/20210713.OBS46503/l-ivermectine-un-traitement-prometteur-contre-le-covid.html
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Par Fvasconcellos 22:23, 10 October 2007 (UTC) — Travail personnel, Domaine public, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=2896448

“Face à la progression du variant Delta, les virologues se font entendre de plus belle. Mais ils ne se limitent plus à la crise du coronavirus... Certains d’entre eux useraient-ils de leur notoriété pour faire avancer un agenda tout autre ?“

“Un texte de Laurent Hermoye, docteur en sciences médicales, directeur d'Imagilys, enseignant à l'Ichec.“

“"C’est le début d’une croissance exponentielle" avertissait le virologue Emmanuel André ce 10 juillet sur Twitter. Quelques heures plus tard, l’expert publiait un tweet sans aucun rapport avec la pandémie. Il y relativisait les potentielles tentatives d’ingérence des Frères Musulmans dans la politique belge, mis en évidence par les services de renseignement. Et soulignait au passage : "j’espère que le gouvernement n’a pas utilisé les renseignements dans un but de décrédibilisation ciblée et opportuniste. Car de telles pratiques sont celles qui caractérisent les pires régimes (qu’ils soient d’extrême droite, d’extrême gauche ou intégristes religieux)". Un commentaire discutable de la part de l’ancien porte-parole du gouvernement dans la lutte contre le Covid.“

“Pouvoir de la peur“

“Cheval de Troie“


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https://www.lalibre.be/debats/opinions/2021/07/17/quand-les-virologues-virent-politiques-WTLB4R2LRFHW7ARXNJC2ZHGH6M/

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"Québec lancera un «concours vaccinal» avec des prix à gagner et des dates de tirage afin de convaincre la population à se faire vacciner, selon ce qu’a appris l’Agence QMI."


"Selon nos informations, cette «loto-vaccin» s’adresserait à tous les Québécois qui ont été vaccinés contre la COVID-19, peu importe leur âge."
"Ainsi, le gouvernement Legault souhaite montrer aux Québécois qu’ils sont «gagnants à se faire vacciner», a indiqué une source."

"Plus de détails seront dévoilés vendredi lors d’une conférence de presse du ministre de la Santé et des Services sociaux, Christian Dubé, en compagnie de son homologue à l’Économie et responsable de Loto-Québec, Eric Girard, et du responsable de la campagne de vaccination au Québec, Daniel Paré, au siège social de Loto-Québec."

"«Toutes les stratégies sont bonnes pour promouvoir la vaccination au Québec», fait-on valoir au gouvernement."

"L’idée d’une «loto-vaccin» pour convaincre les Québécois de relever une manche flottait dans l’air depuis quelques semaines déjà."

"«On n’exclut rien, à ce moment-ci, incluant des loteries ou des récompenses de toutes sortes», avait déclaré le premier ministre, François Legault, tout juste après avoir reçu lui-même sa seconde dose du vaccin de Pfizer, au Stade olympique de Montréal, à la fin juin."

"D’autres provinces utilisent déjà un système de loterie pour inciter leurs citoyens à se faire vacciner."

"En Alberta, trois prix de 1 million $ seront offerts. Un premier a déjà été décerné il y a deux semaines et les deux autres seront distribués prochainement. Le gouvernement de Jason Kenney fera également tirer des lots-cadeaux des compagnies aériennes WestJet et Air Canada, ainsi que des prix provenant de la Ligue nationale de hockey (LNH) et de la Ligue canadienne de football (LCF)."

"Le Manitoba offre aussi des prix après la première, puis la seconde injection. Les bourses sont d’un total de 2 millions $ et les prix seront versés en argent ou en bourses d’études."

Plus vite pour les ados

"Par ailleurs, les jeunes de 12 à 17 ans peuvent devancer dès maintenant leur rendez-vous pour leur deuxième dose de vaccin contre la COVID-19 sur le site Clic Santé, jusqu’à quatre semaines après leur première injection."
"Il était possible jusqu’ici d’obtenir plus rapidement la deuxième dose des ados au sans rendez-vous, mais Québec attendait toujours un signal de la Santé publique pour leur permettre de devancer leur rendez-vous par le biais de Clic Santé."
"«La Santé publique a donné son accord. Cette possibilité offre une plus grande flexibilité», s’est réjoui Christian Dubé sur Twitter, jeudi."
"À noter, la Santé publique recommande toujours à tous les Québécois, peu importe leur âge, d’attendre huit semaines et plus entre leurs deux doses de vaccin."

“Depuis la semaine dernière, Québec autorise toutefois le devancement des deuxièmes doses jusqu’à un minimum de quatre semaines d’intervalle afin d’accélérer la vaccination de la population devant la montée de certains variants plus contagieux.”


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https://www.tvanouvelles.ca/2021/07/15/vers-un-concours-vaccinal-au-quebec
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“Le médicament antiviral connu sous le nom de Plitidepsine, produit par la société espagnole PharmaMar et testé dans des laboratoires en France et aux États-Unis, a montré une réduction de 99% des charges virales du SARS-CoV-2.“


“Les expériences « in vitro » et « in vivo » qui ont été menées sur des animaux avec ce médicament – utilisé jusqu’à présent comme un puissant médicament anticancéreux – « ont montré des effets antiviraux et un profil de toxicité (faible) prometteurs », a fait savoir la société espagnole, après la publication des résultats du médicament dans la revue Science.“
“La Plitidepsine ne cible pas directement le nouveau coronavirus. Elle se concentre plutôt sur la protéine humaine nécessaire au virus pour contrôler le matériel biologique d’une cellule qui lui permet de se répliquer à plusieurs reprises, ont expliqué les experts cités par les médias espagnols.“
“Une équipe de chercheurs de l’hôpital Mount Sinai à New York, responsable des expériences avec le nouveau médicament, a souligné qu’elle était presque 100 fois plus efficace contre les infections par le SARS-CoV-2 que le Remdesivir.“
“Pour recueillir ces résultats prometteurs, l’équipe de scientifiques dirigée par le virologiste espagnol Adolfo García-Sastre a comparé l’efficacité de la Plitidepsine avec celle du Remdesivir chez les souris porteuses du virus.“
“PharmaMar, la société pharmaceutique sise à Madrid, produit ce nouveau médicament de synthèse sous le nom commercial d’Aplidin, pour traiter le myélome multiple du cancer du sang.“
“Selon les experts, la dexaméthasone est le seul médicament à réduire de manière significative les décès liés au Covid-19, principalement en raison de ses puissants effets anti-inflammatoires.“


Lire l'article dans son intégralité ici :
https://www.euractiv.fr/section/sante-modes-de-vie/news/la-plitidepsine-medicament-espagnol-efficace-a-99-contre-le-sars-cov-2/

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Par Ed (Edgar181) — Travail personnel, Domaine public,
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