"La CGSP Police constate que des procédures n’ont pas été respectées lors des arrestations administratives."

"Un syndicat policier dénonce des violences commises par des policiers lors de la manifestation organisée à Bruxelles dimanche 24 janvier dernier pour dire « Stop à la justice de classe », annonce La Capitale.
La CGSP Police a envoyé un courrier au bourgmestre de la Ville de Bruxelles, Philippe Close, en sa qualité de président du Comité de Concertation de Base (CCB)."

"« Notre organisation syndicale a été contactée par des collègues qui ont été témoins de violences policières gratuites au CARPA (les casernes d’Etterbeek, NdlR) lors des arrestations administratives de manifestants souvent très jeunes », y écrit le président bruxellois de la CGSP Police, selon nos confrères. « Ces membres du personnel ne veulent pas être associés à ce genre de comportement et un rapport à destination de l’autorité a d’ailleurs été rédigé et transmis au chef de corps.»"

"« Les procédures lors des arrestations administratives n’ont pas été respectées par le personnel de INT (Intervention, NdlR). En effet, chaque détenu aurait dû avoir une fiche attachée au poignet par un colson indiquant le lieu de l’arrestation. Cela aurait permis au personnel de SPT une bonne prise en charge ! Les normes Covid n’ont pas été prises en compte, les manifestants ont été entassés dans les cellules sans précautions. Il y avait un manque de personnel féminin pour procéder aux fouilles des détenues (seulement deux policières pour une soixantaine de détenues). Des mineurs ont été frappés brutalement dans les cellules sans réaction de la part des chefs présents. Des mineurs n’ont pas été remis immédiatement à leurs parents. Ceux-ci ont dû parfois attendre plus d’une heure »."

Lire l'article dans son intégralité ici :
https://www.lesoir.be/356290/article/2021-02-20/manifestation-contre-la-justice-de-classe-bruxelles-un-syndicat-de-police

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Un tribunal de La Haye a rendu un verdict ce mardi: le couvre-feu aux Pays-Bas doit être levé avec effet immédiat.

"Le couvre-feu en vigueur aux Pays-Bas dans le cadre des mesures de lutte contre le coronavirus doit être levé immédiatement, estime le tribunal de La Haye dans un jugement rendu mardi à la suite d'une action introduite par le groupe Stichting Viruswaarheid. Ce couvre-feu a été instauré sur base de la Loi sur les pouvoirs extraordinaires de l'autorité civile (Wet buitengewone bevoegdheden burgerlijk gezag (Wbbbg)), souligne le tribunal. Celle-ci permet, dans un contexte exceptionnel d'état d'urgence, de ne pas passer par le processus législatif classique pour faire entrer une mesure en vigueur."

"Cependant, le tribunal estime qu'il n'y avait pas situation d'urgence au sens entendu par cette loi, "comme c'est le cas par exemple lors d'une rupture de digue", écrit-il dans son jugement."

"En outre, le couvre-feu constitue pour le juge "une profonde violation de la loi sur la liberté de circulation et de la vie privée", ainsi que du "droit à la liberté de réunion et de manifester"."

"Il y a une pandémie et le virus mute, ce qui met une grosse pression sur les soins de santé.
C'est une période inquiétante qui nécessite des décisions difficiles. Mais des mesures telles qu'un couvre-feu doivent être prises dans le respect de la loi", ajoute le tribunal."

"L'affaire avait été portée devant la justice par un groupe protestant contre l'instauration du couvre-feu.
Le gouvernement néerlandais avait annoncé début février prolonger le couvre-feu national, en vigueur de 21H00 à 4H30 depuis le 23 janvier, jusqu'au 2 mars. Ce couvre-feu, le premier aux Pays-Bas depuis la Seconde Guerre mondiale, avait mené peu après son instauration aux pires émeutes qu'a connu le pays en plusieurs décennies."

"D'après l'agence de presse ANP, citant un porte-parole du tribunal, un éventuel appel ne suspendra pas la décision prise en première instance."

"Willem Engel, porte-parole du groupe Stichting Viruswaarheid, s'attend à des fêtards dans les rues mardi soir à La Haye. "Je suis ravi et soulagé que la justice existe encore aux Pays-Bas."

"Par ailleurs, des centaines de citoyens qui avaient reçu une amende pour violation du couvre-feu réclament leur annulation. Leur avocat a indiqué mardi qu’ils transmettrait leur requête au ministre de la Justice."

Lire l'article dans son intégralité ici :
https://www.lalibre.be/international/europe/la-justice-neerlandaise-demande-la-levee-immediate-du-couvre-feu-aux-pays-bas-602b958cd8ad5809d088be56

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"L'Institut Pasteur a annoncé ce lundi qu'il arrêtait le développement de son principal projet de vaccin contre le coronavirus, élaboré en partenariat avec le laboratoire Merck. Les résultats montrent qu'il n'est pas assez efficace."

"L'Institut Pasteur a mis un terme, ce lundi, au développement de son principal projet de vaccin contre la Covid-19. Les premiers essais sur ce vaccin, développé en partenariat avec le groupe Merck (MSD) ont en effet montré qu'il était moins efficace qu'espéré."

"Dans son communiqué, le groupe pharmaceutique américain confirme arrêter le développement des deux vaccins sur lesquels il travaillait, disant vouloir privilégier la recherche sur des traitements de la maladie."

"Des résultats inférieurs aux vaccins déjà sur le marché"

"Les deux vaccins, le V591, acquis avec le rachat de l'autrichien Themis Bioscience, et le V590, développé avec l'organisation à but non lucratif IAVI, ont généré lors des premiers essais des réponses immunitaires inférieures à celles observées chez des personnes ayant guéri du coronavirus, comme à celles annoncées pour d'autres vaccins, explique le laboratoire."

"Le projet en cours avec Pasteur utilisait comme base le vaccin contre la rougeole, adapté pour combattre la Covid-19. Les essais de phase 1 (le premier stade des essais sur l'humain) avaient commencé en août dernier. Pasteur a précisé qu'il poursuivait ses travaux sur d'autres projets de vaccin contre le coronavirus, mais qu'ils en étaient encore au stade préliminaire."

"D'autres projets encore peu avancés"

""Le premier, administrable par voie nasale, est développé avec la société de biotechnologie TheraVectys, issue de l'Institut Pasteur et spécialisée dans la mise au point de vaccins. Le second est un candidat vaccin à ADN", a indiqué Pasteur."

"Ces deux projets "sont aujourd'hui en phase préclinique", c'est-à-dire qu'aucun essai n'a encore été mené sur des humains. "Il faut bien avoir en tête que la recherche vaccinale est très difficile. On ne peut jamais être sûr que les données qui ont été obtenues chez l'animal vont être obtenues chez l'homme" a commenté ce lundi sur franceinfo Odile Launay, infectiologue et membre du comité vaccin COVID-19.
"Les vaccins ARN messager ont permis des résultats absolument exceptionnels donc on n'est plus dans la situation où nous avions zéro vaccin. Aujourd'hui, on a plusieurs vaccins ARN messager et on a un vaccin de référence sur lequel on doit pouvoir s'aligner avant de continuer les recherches.""

"Merck, de son côté, va concentrer ses efforts sur la recherche et la production de deux médicaments expérimentaux, le MK-7110 et le MK-4482, un antiviral administrable par voie orale qu'il appelle désormais molnupiravir. Merck dit espérer disposer au plus tard fin mars de premiers résultats d'essais cliniques sur le MK-7110."

"Un autre acteur français, le laboratoire Sanofi, avait annoncé en décembre que son vaccin avait pris
du retard et ne serait prêt que fin 2021
, en raison de résultats moins bons qu'attendu."

Lire l'article dans son intégralité ici :
https://www.francebleu.fr/infos/societe/coronavirus-l-institut-pasteur-arrete-son-principal-projet-de-vaccin-pas-assez-efficace-1611576842?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR2vcULP19-Qb0mDhlbZapo3eYIxSic5OLKyRqmCmX31DUfSMM12bD6ZZqI#Echobox=1611581182

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"Le retour à un mode de vie soutenable est indispensable.“
“Face à la crise qui perdure, nous demandons aux responsables politiques de faire le point sur les répercussions économiques et sociales des mesures de lutte contre la covid-19.
Nous demandons le respect du processus législatif dans le cadre de l’adoption de mesures aussi extrêmes de restrictions des droits des citoyens.
Nous demandons un débat démocratique ouvert aux expertises et opinions diverses.
Nous demandons à ce que des solutions alternatives au confinement généralisé soient examinées.
Nous demandons la prise en compte de tous les citoyens qui souffrent de la crise, bien au-delà de son aspect sanitaire."

"Le nombre de personnes décédées ou souffrant de la covid-19 est dramatique. Nous craignons tous la contagiosité de ce virus. Nous trouvons important de protéger les personnes les plus faibles physiquement contre cette maladie et d’éviter la surcharge de nos hôpitaux. Cependant, les dérives autoritaires que nous observons dans de nombreux pays d’Europe, en Belgique en particulier, sous couvert de gestion de la crise sanitaire nous inquiètent également."

"Nos droits font l’objet de graves restrictions : limitation des contacts, confinement, fermeture de l’horeca, des métiers de proximité, des institutions culturelles, interdiction de se rendre au travail, couvre-feu, enseignement à distance…"

"L’évaluation de ces mesures quant à leur impact à moyen et long terme aux niveaux socio-économique, financier, psychologique et de l’éducation ne semble pas être menée. "

"Qui comptabilise ces chiffres à côté de ceux énoncés tous les jours sur les contaminations à la covid-19 ?
Qu’en est-il de mesures différenciées, d’un renforcement accéléré du secteur médical, de la mise en place d’un véritable plan de testing/tracing, du financement de la recherche de médicaments… ? A quand une communication insistant sur les comportements à adopter en cas de contact à risque, sur la prévention de l’affaiblissement de notre système immunitaire ?"

"Le confinement généralisé jusqu’à vaccination d’un pourcentage jugé satisfaisant de la population paraît être la seule solution envisagée.
Or, selon l’OMS, le confinement est une solution de dernier recours, accordant aux Etats le temps de (i) renforcer leurs capacités de détection, de testing, d’isolement et de prise en charge des personnes positives et de leurs contacts et de (ii) mobiliser et responsabiliser la population."

"Cela fait près d’un an que la covid-19 est arrivée en Belgique et que la vie active et sociale est à l’arrêt. Le moment est venu de débattre démocratiquement des conséquences socio-économiques des mesures gouvernementales dans les lieux prévus à cet usage."

"Par ailleurs, l’urgence d’éviter une croissance exponentielle des contaminations et une saturation du système hospitalier n’est plus la motivation du maintien de mesures initialement exceptionnelles. Aujourd’hui, le «semi-confinement» nous est imposé comme une situation par défaut. Il est maintenu par précaution jusqu’à atteindre des seuils fixés sans justification claire, par des responsables politiques au ton tour à tour paternaliste ou menaçant. Les interdictions intenables dans la durée, la communication anxiogène et culpabilisante du gouvernement centrée sur les statistiques de Sciensano sans mise en perspective sérieuse, appuyées sur un battage médiatique sensationnaliste, mènent à la perte d’adhésion et de confiance vis-à-vis tant des mesures en place que des pouvoirs qui les imposent. Pire, elles mènent à de profonds clivages au sein de la population, dans les familles, les cercles d’amis, les relations professionnelles, et mettent en danger la cohésion sociale de notre société. "

"Nous demandons aux responsables politiques :
– de respecter le processus législatif et d’organiser un débat public et démocratique sur la stratégie à adopter pour gérer la crise sanitaire.
– de s’assurer que la composition du ou des comité(s) chargé(s) de les conseiller dans l’adoption de mesures concrètes de gestion de la pandémie repose sur la diversité d’expertises et d’opinions, en envisageant des solutions alternatives au confinement généralisé.
– de réfléchir à un mode de vie serein pour la société avec un niveau de contraintes acceptable sur le long terme, qui prenne en compte tant la limitation nécessaire de la diffusion de la Covid 19, que le respect des libertés et la nécessité d’une vie sociale et économique afin de maintenir la cohésion de notre société.
– de communiquer de manière transparente et factuelle sur l’évolution de la situation, non seulement sanitaire, mais aussi économique, sociale et psychologique. Les positions des experts consultés doivent également être accessibles au public."

“Soutenez-vous ces demandes? Signez la pétition.“

Lire l'article dans son intégralité ici :
https://coviddemocratie.be/2021/01/16/la-covid-vaincra-t-elle-la-democratie-2/

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"En janvier 2019, une conférence intitulée "Comment unir nos forces pour se préparer à une pandémie de grippe?"

"Lors de celle-ci, en tant que Commissaire belge de la grippe, le virologue belge Marc Van Ranst. Particulièrement mis au devant de la scène médiatique depuis le début de cette crise sanitaire, ce dernier était invité à s'exprimer sur la gestion des épidémies et en particulier sur la communication et l'engagement du public."

"Lors de son intervention, nous apprenons ainsi que pour Marc Van Ranst, qui prend l'exemple de la grippe mexicaine qui a frappé le pays en 2009, il faut être "omniprésent" dans les médias: "Dès les premiers jours, vous devez commencer à communiquer avec la presse, avec la population. Vous devez avoir un accord avec eux. Vous leur dites tout. S'ils vous appellent, vous répondez", explique-t-il, "Si vous faites cela, ils ne vont pas chercher d'autres voix alternatives", ajoute le virologue."

"Plus loin dans la vidéo, il rapporte même qu'il serait possible de créer des liens avec les médias et ainsi influencer l'opinion public: "Vous pouvez leur demander des faveurs en retour. Passer par eux pour transmettre un infomercial gratuitement par exemple."

"Instrumentaliser la peur"

"Le virologue informe ainsi qu'il usait parfois de phrases chocs: "Il y aura 7 morts par jour lors du pic de l'épidémie", par exemple. Or c'est le cas chaque année, même lorsqu'il n'y a pas d'épidémie"

Lire l'article dans son intégralité ici :
https://www.dhnet.be/actu/belgique/une-ancienne-video-de-marc-van-ranst-refait-surface-ou-il-explique-comment-influencer-la-population-si-vous-faites-cela-ils-ne-chercheront-pas-des-voix-alternatives-60253a957b50a62acfcc8e62?fbclid=IwAR3sH0KLu0KKxK0YzIG0u9rJHnhMa_nbU5Hp4eMmfwBQc2ovhqyXTO9gYN8

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"Mic mac autour des chiffres de la Covid-19 dans les Alpes-Maritimes... Alors que tous les regards sont braqués sur le nombre de lits disponibles pour accueillir des malades souffrant de formes graves de Covid, on découvre d’importantes divergences dans les chiffres."

"Nous avons fait cette découverte après avoir reçu des courriers de médecins hospitaliers s’étonnant des discordances entre les informations diffusées par Nice-Matin au sujet des hospitalisations pour Covid (issues de Santé publique France) et les observations de terrain."

"Chaque jour, des personnels du CHU de Nice, établissement support des Alpes-Maritimes, interrogent ainsi tous les établissements accueillant des malades de la Covid-19, et recensent le nombre de lits occupés pour ce motif.“

“Des informations précieuses, relayées à tous les professionnels hospitaliers ainsi qu’à l’ARS, et qui participent en premier lieu aux choix politiques: couvre-feu, confinement…"

"Et là, nous avons constaté des différences majeures concernant les lits occupés mais aussi l’évolution de la courbe des hospitalisations pendant plusieurs semaines cruciales.
À titre d’exemple, le 3 janvier dernier, Santé publique France comptabilisait 564 personnes hospitalisées avec un diagnostic Covid-19 dans le département des Alpes-Maritimes (dont 69 en réanimation), quand dans la réalité "seulement" 233 patients au total (dont 55 en service de réanimation) étaient ce jour-là hospitalisés dans l’un ou l’autre des établissements (privés ou publics). Comment comprendre cette différence d’un facteur 2.5 entre ces deux sources?"

""Au bout de 14 jours, ces patients devraient être sortis des bases, nous indique un spécialiste en santé publique. Dans la réalité, il est fréquent qu’ils ne le soient pas tant qu’ils restent présents dans les unités de SSR. De façon plus générale, les malades de la Covid-19 qui quittent l’hôpital après un séjour en réanimation ou dans un autre service ne sont pas toujours sortis des bases. Comme Santé publique France fait des extractions de ces données, elles sont mathématiquement supérieures à la réalité."

"Lorsqu’un patient est hospitalisé pour un motif quelconque (insuffisance cardiaque, décompensation diabétique…), dans l’un ou l’autre des services des hôpitaux ou cliniques, et qu’il est testé positif pendant son séjour, il rejoint le "pool des personnes hospitalisées pour Covid" dans la base de données, même s’il ne présente aucun symptôme.“

“Lorsque des patients arrivent dans les services d’urgences avec une suspicion de Covid, ils sont aussitôt rentrés dans la base SI-VIC. Si le diagnostic n’est pas confirmé, ils doivent ensuite être retirés de la base, ce qui n’est là encore pas systématiquement fait."

"Si à l’issue de cette enquête de nombreuses questions restent posées, il reste que cette bataille des chiffres a matière à inquiéter de l’avis même des acteurs en première ligne dans cette crise: "C’est un biais terrible, alors que toute la communication est en effet basée sur les chiffres de Santé Publique France. Et la problématique est certainement nationale, nous confie l’un d’entre eux sous couvert d’anonymat (chacun partage la même crainte d’être accusé de nourrir la théorie du complot).
En pleine décroissance des hospitalisations, les journaux titraient: l’épidémie repart! Et lorsque le couvre-feu à 18 heures a été instauré, on a aussi dit: ça explose à Nice! La réalité, c’est que ça n’évoluait pas plus qu’ailleurs."

Lire l'article dans son intégralité ici :

https://www.nicematin.com/sante/pourquoi-le-nombre-de-malades-entre-les-donnees-de-sante-publique-france-et-celles-des-hopitaux-est-si-different-notre-decryptage-630970

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"Rare pays à admettre sans restriction ni test PCR les voyageurs, rare pays à avoir laissé ses bars et restaurants ouverts en pleine journée, la Suède fait toujours figure d’exception dans l’UE en matière de port du masque et de politique sanitaire."

"Cette stratégie ne fait pas l’unanimité, loin s’en faut ; elle attire au contraire les foudres de la plupart des chroniqueurs qui estiment généralement que la Suède paie le prix de sa politique et que celle-ci est un échec."

"A l’issue de la première vague, alors que la Suède n’avait pas opté pour le confinement et laissé son économie fonctionner, elle comptait un peu plus de morts imputables au Covid que la France. Fin 2020, alors qu’elle a globalement poursuivi sa politique (pas de masque obligatoire, restaurants, bars et tous types de commerces ouverts), elle en compte désormais moins (autour de 840 morts par million d’habitants en Suède contre 940 en France : Source ARS et Agence de la Santé Suédoise, chiffres au 28 décembre 2020)."

"Dans la rue à Stockholm, dans les restaurants, dans les cafés, très rares étaient les Suédois qui en portaient contrairement à ce qu’avaient sous-titré les Echos du 21 décembre.

En réalité, les Suédois n’ont pas opté pour un port du masque généralisé comme en France. Ils sont seulement recommandés aux heures de pointe dans les transports en commun (mais encore pas rendus obligatoire comme en France)."

"Dans les trains, les contrôleurs et les passagers suédois ne portent pas de masque - et n’ont vraiment pas le souhait ni l’intention d’en porter. Ils pensent au contraire que cela pourrait amplifier la transmission de la maladie par contact des mains sur le masque… Les quelques personnes masquées que nous avons pu observer étaient des touristes étrangers et très rarement des Suédois, peut être fragiles ou malades."

"Les Suédois font face : ils savent que leurs ainés ont été les principales victimes du Covid, leur roi l’a rappelé… Mais ils n’ont pas un nombre de décès insupportable (pas plus qu’en France par exemple). Ils sont prudents, ils ne fanfaronnent pas et respectent les recommandations de regroupements limités tout en gardant une vie et une activité quasiment normales."

"Comme le souligne leur épidémiologiste Anders Tegnell, ce sera à l’heure du bilan global, sanitaire, économique et social que l’on pourra vraiment se prononcer sur celui de leur politique. Et pour ce que nous avons pu constater, le peuple suédois ne semble pas du tout la rejeter…"

Lire l'article dans son intégralité ici :

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/retour-de-suede-autopsie-dune-desinformation?fbclid=IwAR3qS5OZEL24m0rFy1nOwA4NvdmgKoaMFbr47rO7ZY-qRe3Wcbqs6U29nD4

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