Un tribunal de La Haye a rendu un verdict ce mardi: le couvre-feu aux Pays-Bas doit être levé avec effet immédiat.

"Le couvre-feu en vigueur aux Pays-Bas dans le cadre des mesures de lutte contre le coronavirus doit être levé immédiatement, estime le tribunal de La Haye dans un jugement rendu mardi à la suite d'une action introduite par le groupe Stichting Viruswaarheid. Ce couvre-feu a été instauré sur base de la Loi sur les pouvoirs extraordinaires de l'autorité civile (Wet buitengewone bevoegdheden burgerlijk gezag (Wbbbg)), souligne le tribunal. Celle-ci permet, dans un contexte exceptionnel d'état d'urgence, de ne pas passer par le processus législatif classique pour faire entrer une mesure en vigueur."

"Cependant, le tribunal estime qu'il n'y avait pas situation d'urgence au sens entendu par cette loi, "comme c'est le cas par exemple lors d'une rupture de digue", écrit-il dans son jugement."

"En outre, le couvre-feu constitue pour le juge "une profonde violation de la loi sur la liberté de circulation et de la vie privée", ainsi que du "droit à la liberté de réunion et de manifester"."

"Il y a une pandémie et le virus mute, ce qui met une grosse pression sur les soins de santé.
C'est une période inquiétante qui nécessite des décisions difficiles. Mais des mesures telles qu'un couvre-feu doivent être prises dans le respect de la loi", ajoute le tribunal."

"L'affaire avait été portée devant la justice par un groupe protestant contre l'instauration du couvre-feu.
Le gouvernement néerlandais avait annoncé début février prolonger le couvre-feu national, en vigueur de 21H00 à 4H30 depuis le 23 janvier, jusqu'au 2 mars. Ce couvre-feu, le premier aux Pays-Bas depuis la Seconde Guerre mondiale, avait mené peu après son instauration aux pires émeutes qu'a connu le pays en plusieurs décennies."

"D'après l'agence de presse ANP, citant un porte-parole du tribunal, un éventuel appel ne suspendra pas la décision prise en première instance."

"Willem Engel, porte-parole du groupe Stichting Viruswaarheid, s'attend à des fêtards dans les rues mardi soir à La Haye. "Je suis ravi et soulagé que la justice existe encore aux Pays-Bas."

"Par ailleurs, des centaines de citoyens qui avaient reçu une amende pour violation du couvre-feu réclament leur annulation. Leur avocat a indiqué mardi qu’ils transmettrait leur requête au ministre de la Justice."

Lire l'article dans son intégralité ici :
https://www.lalibre.be/international/europe/la-justice-neerlandaise-demande-la-levee-immediate-du-couvre-feu-aux-pays-bas-602b958cd8ad5809d088be56

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"En janvier 2019, une conférence intitulée "Comment unir nos forces pour se préparer à une pandémie de grippe?"

"Lors de celle-ci, en tant que Commissaire belge de la grippe, le virologue belge Marc Van Ranst. Particulièrement mis au devant de la scène médiatique depuis le début de cette crise sanitaire, ce dernier était invité à s'exprimer sur la gestion des épidémies et en particulier sur la communication et l'engagement du public."

"Lors de son intervention, nous apprenons ainsi que pour Marc Van Ranst, qui prend l'exemple de la grippe mexicaine qui a frappé le pays en 2009, il faut être "omniprésent" dans les médias: "Dès les premiers jours, vous devez commencer à communiquer avec la presse, avec la population. Vous devez avoir un accord avec eux. Vous leur dites tout. S'ils vous appellent, vous répondez", explique-t-il, "Si vous faites cela, ils ne vont pas chercher d'autres voix alternatives", ajoute le virologue."

"Plus loin dans la vidéo, il rapporte même qu'il serait possible de créer des liens avec les médias et ainsi influencer l'opinion public: "Vous pouvez leur demander des faveurs en retour. Passer par eux pour transmettre un infomercial gratuitement par exemple."

"Instrumentaliser la peur"

"Le virologue informe ainsi qu'il usait parfois de phrases chocs: "Il y aura 7 morts par jour lors du pic de l'épidémie", par exemple. Or c'est le cas chaque année, même lorsqu'il n'y a pas d'épidémie"

Lire l'article dans son intégralité ici :
https://www.dhnet.be/actu/belgique/une-ancienne-video-de-marc-van-ranst-refait-surface-ou-il-explique-comment-influencer-la-population-si-vous-faites-cela-ils-ne-chercheront-pas-des-voix-alternatives-60253a957b50a62acfcc8e62?fbclid=IwAR3sH0KLu0KKxK0YzIG0u9rJHnhMa_nbU5Hp4eMmfwBQc2ovhqyXTO9gYN8

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"Une opinion de Martin Zizi, MD-PhD, Biophysicien, Professeur de Physiologie (KULeuven et VUB), ancien Directeur épidémiologique du Département de la Défense, ancien Directeur Scientifique et Président de Comité d’Éthique, ancien Conseiller UN pour le désarmement biologique et bio-inspecteur Unscom."

"Depuis le début de l’aventure COVID, il y a eu une série de faits choquants, de décisions qui n’ont pas toujours fait sens, et qui ont parfois causé plus de tort que de bien. Je crois qu’il est temps d’arrêter la folie qui consiste à proposer les mêmes "solutions" et espérer obtenir des résultats différents."

"Assez de victimes"

"Il est grand temps que nos décideurs se rendent compte que la santé mentale d’une société c’est aussi la santé. La santé, ce n’est pas de vivre sans virus, d’autant que ces virus ne sont pas uniquement spécifiques aux hommes. Ceci fut d’emblée l’erreur majeure de communication politico-médiatique. Et il y a de la casse, beaucoup de casse. Cette stratégie qui consiste à vouloir éradiquer un virus à tout prix a causé la mort d’un trop grand nombre de personnes, des victimes directes – les morts évitables – et indirectes, les morts liées à la mise à l’arrêt d’une partie de la médecine. Ce sont les cancers non traités, les maladies graves mortelles non-diagnostiquées, les personnes qui – à cause d’une peur instrumentalisée – n’ont pas osé ou n’osent plus aller à l’hôpital terrorisées à l’idée d’attraper le "virus". Dans le même ordre d’idées, moins de 50% de dépistages de cancers du sein ont pu être effectués en EU. Quelles en seront les conséquences? Et ceci sans compter l’influence du bien-être économique sur la mortalité. Déjà en juillet 2020, des données pertinentes ont été publiées mais ignorées. Une étude récente estime entre 900 000 et 1,37 million de décès en excès sur les 15 prochaines années. 10 000 morts par an aux USA suite au choc économique. Et quid de l’Afrique? Où de nombreux problèmes bien plus dangereux que SARS2, ne sont même plus traités. Est-ce cela se soucier de la santé des citoyens?"

"Non seulement, focaliser sur les chiffres du virus au détriment de tout le reste n’a pas porté ses fruits mais, en plus, limiter la circulation d’un virus qui fait du ping-pong entre espèces n’est pas une stratégie viable de santé publique… C'est un désir politique utopique et il est temps de le dire : un échec annoncé. Contre un virus qui peut muter allègrement entre 15 et 30 fois par an, est-il sensé de penser à vacciner 2, 3 voire plus de fois par an? Suivre les multiples variants du virus avec les meilleurs outils génétiques ne relève-t-il pas plus de la recherche que de la santé publique. Et va-t-on vacciner la plupart des animaux sur la planète également? Donc non, il faut sortir de cette politique du chiffre et du pire."

"On peut comprendre qu’en début de crise, il y a un peu plus d’un an, une analyse des chiffres fut le premier réflexe logique car nous ne connaissions pas encore le taux de mortalité de SARS2 (IFR – infection fatality rate). Donc nous étions limités à la mesure de la mortalité des cas qui venaient dans
les hôpitaux (le fameux CFR – case fatality rate, qui représente la mesure de la qualité des soins à danger égal). Ces mesures qui sont toujours liées aux même "cases" (les malades atteints de Covid) permettent de comparer les mises en oeuvre des politiques de santé publique entre pays. Mais si elles restent élevées, ces mesures de CFR ne nous apprennent rien – si ce n’est qu’on peut mieux faire."

"L'exemple de Mers"

"Grâce aux antibiotiques donnés d’emblée, Mers qui tuait 36% au Proche Orient n’a tué que 2% à Paris."

"Comment l’expliquer ? Prenons Mers comme comparaison. Mers est un cousin du SARS2 et se comporte de la même manière. Le CFR calculé sur base de cas de MERS vus au Proche-Orient tournait autour de 36% (1), ceci est confirmé par l’OMS. On peut donc comprendre la panique des cliniciens à Paris lorsque les pèlerins infectés rentrèrent de La Mecque. Mais la mise sous antibiotiques de tout le monde a conduit à une perte humaine de 2 cas sur 93 (6)! Ce qui pour une maladie infectieuse épidémique n’est RIEN du tout. La maladie était la même, l’approche était différente… c’est tout."

"Revenons au COVID-19 maintenant. Le taux de mortalité lié directement au virus a été calculé depuis mars 2020 déjà et depuis lors confirmé près de 60 fois par des épidémiologistes de renom, dans des endroits différents, sur des populations différentes et même avec des méthodes légèrement différentes.
A chaque fois le résultat oscille entre 0,2% et même 0,05 % chez les plus jeunes (3). Ceci n’est pas du rassurisme, ni du déni mais de la science pure et simple. Et même le WHO/OMS a rapporté ces chiffres à plusieurs reprises. Vous avez bien lu, c’est au moins 10 à 20 fois moins que les chiffres de la peur instrumentalisée. Est-ce que ce serait juste de dire : autrement dit, plus de 99% de la population survit au Covid 19."

"Donc cette différence entre CFR (la gestion des cas) et IFR (la mesure du risque vital) démontre que ce sont nos approches qui tuent."

"J’ai récemment publié une carte blanche dans un journal belge dans laquelle j’explicitais que le virus n’était pas mortel par lui-même, mais qu’il était très agressif et donc très dangereux si on ne le traitait pas d’emblée car on lui laissait – à cause de la focalisation maniaque sur les test PCR à faible valeur ajoutée – souvent une semaine d’avance. En ne voyant pas les gens, en ayant mis la médecine générale à l’arrêt, nous avons laissé les gens malades se dégrader inutilement et nous sommes de facto revenus en 1918 dans l’ère pré-pénicilline. L’aveuglement de certains et un bloc total dans la presse des voix modérées ont fait le reste…"

"Le but de cet article n’est pas de critiquer ce qui est le passé, ni les médecins, mais de prévenir des centaines de morts inutiles et de tracer la voie d’un futur plus cohérent et plus rassurant."

"Pourquoi il faut que la médecine générale sorte du rôle de guichet de triage et reprenne sa pleine activité"

"Un exemple clair? Supposons que je tousse avec de la fièvre et que je souffre de l’estomac ou des articulations."

"Je téléphone à mon médecin, qui me donne un ticket pour passer 2 heures dans une file pour avoir un test PCR. Que je sois malade ou non, je me mêle à des centaines de personnes, dont certaines ne sont là que parce qu’elles vont voyager. Cela a-t-il du sens? Bien sûr que non! J’attends le résultat de ce test pendant 3, 4 voire 7 jours – ce test, je le répète est inutile si je n’ai pas de symptômes car il ne signifie en rien être contagieux. Donc si je n’ai pas le SARS, cela passe et je me sens bien, fausse alerte. Mais si j’ai le SARS et fais partie des 3 à 7 % des gens qui sont sensibles au virus, je me dégrade, je développe une pneumonie bactérienne par colonisation avec une bactérie et mes bronches se bouchent. Ceci est connu, c’est vrai pour la grippe, c’est vrai pour SARS2. Donc j’atterris aux soins intensifs, j’ai peut-être besoin d’un respirateur et je risque de devenir une statistique innocente, et ma famille éplorée contribuera au cercle vicieux de la Peur."

"Or, si je suis reçu par mon généraliste, que va-t-il se passer?"

"Avec ces petits symptômes habituels, je pourrais avoir une angine rouge, une angine blanche, une laryngite, une trachéite, une pharyngite, une bronchite, voire une bronchopneumonie. Mon médecin me connaît, il sait si je suis une personne allergique ou non, si j’ai de l’asthme ou non, si j’ai une maladie sous-jacente… Une angine rouge, pas d’antibiotiques bien sûr mais des traitements anti-toux, une angine blanche nécessitera sans doute un antibiotique. Laryngites, trachéites pourront bénéficier de traitements locaux légers ou d’antibiotiques locaux si nécessaires. Si on met un stéthoscope sur des poumons et qu’on entend des râles bronchiques, ou qu’on a des obstructions majeures, le médecin pourrait me prescrire des antibiotiques d’emblée voire des broncho-dilatateurs."

"Il me semble donc évident, vu que les mêmes symptômes peuvent correspondre à de nombreux tableaux cliniques et cas différents, qu’une approche unique est un non sens médical en plus d’être une politique dangereuse du point de vue de la santé publique. Seuls les médecins de famille peuvent voir leurs patients, poser les actes nécessaires à leur cas précis."

"Il faut traiter vite et pour cela ne pas attendre la nouvelle découverte, ou le nouveau communiqué de presse"

"On a vu récemment dans la presse des rapports sur des molécules miracles – l’ivermectine, la colchicine, même la chloroquine ou la vitamine C…- il est logique d’y penser et de les essayer, et je crois qu’elles vont nous aider non seulement pour SARS, mais contre d’autres virus. Mais ces différentes thérapies ne sont pas encore approuvées pour ces usages par les organes de contrôle. Le jeu des pressions commerciales entre les partisans du tout vaccin et du tout médicament va battre son plein. Il faudra bien sûr tester et valider ces produits. Ce qui va encore coûter un temps précieux et de nombreuses vies humaines. Alors que pour d’autres médicaments (pénicilline et amantadine), les certifications existent, aucun tests additionnels ou données régulatrices nécessaires. A l’instar d’un vieux titre de film, je me dois d’hurler : "Et la pénicilline? Bordel !""

"Le Dr. Fauci lui-même (USA) – qui reste silencieux sur les antibiotiques depuis le début de cette crise – préconisait les antibiotiques d’emblée pour les cas symptomatiques lors des pandémies (4). Les germes n’ont pas changé que l’on sache! C’est pourquoi il est urgent de traiter les gens et non les chiffres. Cela ramènera ces fameux chiffres CFR au niveau ou ils devraient être – ceux de l’IFR, c’est à dire autour de 0,2 %. Cela permettra d’éviter ces tests PCR qui ne signifient pas contagiosité. Cela permettra d’éviter de dépenser des sommes folles dans la logistique et les vaccins – 2 stratégies vouées à l’échec et qui ajoutent chaque jour au nombre des victimes. La société pourra reprendre un cours plus compatible avec nos pratiques médicales, avec nos valeurs démocratiques, et les divisions insensées qui sont instrumentalisées comme outils de gestion pourront enfin cesser."

"Je suis loin d’être le seul à dire tout cela… Serons-nous entendus? Le temps qui passe se compte en décès et non plus en secondes, j’aimerais un peu plus d’humilité de la part des décideurs et de leurs conseillers. La science ne fonctionne que par le devoir du doute."

"S’il vous plaît… pour ma mère de 87 ans, et pour les vôtres, Messieurs les décideurs, arrêtons d’être radicaux. De manière prévisible, le tout vaccin n’est pas une solution ni même une stratégie qui fait sens. De nombreux scientifiques l’ont déjà dit ou écrit. La biologie des virus n’est hélas pas soumise aux aléas des décisions politiques. Les virus ne mentent pas…"

"Notre plus grand échec a été celui du consensus, avec 80-100 victimes par jour, il est temps d’essayer la médecine. Ce serait peut-être une bonne action de santé publique! Il est grand temps d’arrêter de diviser la société en bons et mauvais citoyens."

"(1) Le taux de mortalité des patients MERS hospitalizes était de 36%. Ceci était le CFR . Human Coronavirus: Host-Pathogen Interaction. Fung S. et al. Annu. Rev. Microbiol. 2019. 73:529–57 https://doi.org/10.1146/annurev-micro-020518- 115759"

"(2) Seulement 2 des 93 patients vus en France pour MERS décédèrent. Tous avaient été mis d’emblée sous antibiotiques. Donc 2% vs. 36%. Ceci est connu, publié et devrait interpeller tout les décideurs. Clinical management of respiratory syndrome in patients hospitalized for suspected Middle East respiratory syndrome coronavirus infection in the Paris area from 2013 to 2016. Bleibtreu et al. BMC Infect Dis. 2018; 18: 331. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6048819/"

"(3) John P.A. Ioannidis, “Infection fatality rate of COVID-19 inferred from seroprevalence data”, Bulletin of the World Health Organization, 14 October 2020: see also https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.05.13.20101253v3"

"(4) Fauci et al. J Infect Dis, 2008 October 1, 198 (7), p. 962-970."

Lire l'article dans son intégralité ici :
https://www.lalibre.be/debats/opinions/covid-19-pourquoi-traiter-les-gens-rapidement-avec-la-premiere-ligne-medicale-est-la-seule-sortie-coherente-a-cette-crise-601bf757d8ad5844d1d4d3aa?fbclid=IwAR3Y855xW8VtrqpMyQCQNPdiB-PaDH3ibYbGhGi55CeAf_Z9gsDk1AAQ0J8

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"Après les critiques accusant le gouvernement de prendre les mesures Corona sans contrôle des élus, le Premier écrit au Parlement pour annoncer la tenue, dans l’hémicycle, d’un grand débat à brève échéance. Dermagne (dans la majorité), Fonck (opposition) veulent « associer la société civile ».

Mercredi dans Le Soir, les trois ordres des avocats du pays accusaient le gouvernement fédéral de prendre trop de liberté avec l’Etat de droit, et d’imposer des mesures restrictives en termes de libertés publiques sans débat parlementaire. « Dans un Etat de droit démocratique, ces restrictions temporaires doivent être décidées par le Parlement (…) Et donc pas uniquement dans les couloirs du ministère de l’Intérieur, aussi sages et savants soient leurs concepteurs, et aussi bonnes soient leurs intentions », écrivent les trois présidents des ordres des avocats, faisant suite aux alertes déjà lancées par des représentants du monde académique et de la société civile ces derniers mois.

Message reçu ? Alexander De Croo sort de sa réserve, en tout cas. Dans une lettre adressée lundi à la conférence des présidents de la Chambre (qui réunit les chefs de groupe), le Premier annonce la tenue d’un grand débat parlementaire « dans les plus brefs délais ». Le projet de loi pandémie sera pivot. Elaboré en ce moment par la ministre de l’Intérieur, Annelies Verlinden, il doit baliser les interventions des autorités publiques dans la crise actuelle comme en vue de possibles futures pandémies. Le Premier s’engage à transmettre le texte aux députés avant de l’envoyer pour avis au Conseil d’Etat et à l’Autorité de la protection des données : « Cela devrait permettre de prendre en compte les sensibilités et les suggestions de la Chambre dès le stade de l’avant-projet », précise Alexander De Croo. « Une fois les avis reçus, ils seront également envoyés à la Chambre et une nouvelle discussion pourra avoir lieu. Ensuite, le projet final sera soumis à la Chambre. » Le gouvernement fédéral, indique le Premier, s’engage à ne pas invoquer l’urgence, pour permettre un débat approfondi.

Ce n’est pas tout. Alexander De Croo souligne qu’il ne renonce pas, en raison de l’urgence, à prendre des mesures Corona via arrêté ministériel (du reste, dans sa lettre, il réfute les critiques à ce propos, réaffirmant que les arrêtés, nombreux depuis le début de la pandémie, ont bel et bien une base juridique, incontestable), mais promet de communiquer les textes en question aux députés avant leur publication, afin qu’ils soient d’emblée l’objet d’échanges entre les élus et les ministres-responsables. « Il ne suffit pas, dans un Etat de droit démocratique, que les arrêtés soient juridiquement corrects, le contrôle parlementaire joue également un rôle, les ministres sont déjà à la disposition du Parlement, mais nous voulons aller encore plus loin », nous expliquait-on mercredi au « Seize ».

Le Premier veut donc, dit-il, redonner toute sa place au Parlement : « Par ce courrier, le gouvernement tient à réaffirmer sa volonté de faire preuve d’une ouverture maximale à l’égard de la Chambre ». Des représentants de la société civile seront-ils associés à ces discussions ? C’est l’option de Pierre-Yves Dermagne, vice-Premier socialiste : « Il fallait agir, nous dit-il, on ne pouvait plus continuer à travailler comme ça, on a besoin d’avoir un grand débat sur la gestion de la crise et de nous projeter dans l’avenir avec des dispositifs démocratiques adaptés. D’où le Parlement. Et, pour ma part, je crois qu’il faut associer la société civile aux discussions, d’une façon qui reste à déterminer, car enfin, c’est bien elle qui s’est manifestée, pensez notamment aux interventions dans la presse des académiques, des avocats, entre autres ».

L’opposition demande à voir
Dans l’opposition, on est preneurs d’un débat au Parlement, mais on demande à voir. Catherine Fonck, cheffe de groupe CDH, en pointe dans les interpellations à la Chambre depuis le déclenchement de l’épidémie, veut elle aussi que l’on associe la société civile au débat. De son côté, François De Smet, pour Défi, certes demandeur d’un débat (il s’était levé jeudi dernier à la Chambre face aux restrictions aux libertés dans un contexte politique où l’exécutif avance un peu à la hussarde), a des doutes : « Le Premier annonce un débat… lors de l’examen d’une loi pandémie… Un jour. Et il annonce l’envoi des arrêtés ministériels aux députés avant publication. C’est gentil, mais nous ne voulons pas juste recevoir une info a posteriori : nous voulons délibérer »."

Lire l'article dans son intégralité ici :
https://plus.lesoir.be/354292/article/2021-02-10/coronavirus-face-aux-critiques-le-premier-annonce-un-debat-au-parlement
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"C’est une affaire qui secoue la classe politique allemande. Une enquête du journal allemand Die Welt révèle comment le Ministre de l’intérieur a utilisé dans sa communication sur le Covid des messages et des chiffres alarmistes, afin de faire peur et fabriquer un soutien aux mesures de confinement."

"Que se passe-t-il Outre-Rhin ? Le journal allemand Die Welt, l’un des trois principaux journaux du pays, a révélé dans son édition de dimanche dernier comment le ministre allemand de l’Intérieur a travaillé, dès le mois de mars 2020, sur des scénarios visant à augmenter artificiellement la peur du virus parmi la population. Berlin a voulu créer de cette manière un soutien aux mesures drastiques. Ce « mensonge d’état », à la une de la presse allemande depuis plusieurs jours et repris dans la presse européenne, est pour l’instant très peu relayé en France, hormis par France Soir."

"Les 200 échanges d'e-mails analysés par Die Welt, obtenus après plusieurs mois de litige avec l’Institut Robert Koch, l’agence gouvernementale RKI de contrôle et de lutte contre les maladies chargée en particulier de coordonner la lutte contre le virus. Les techniques envisagées témoignent de l’inventivité des chercheurs. Jouer avec les taux de mortalité, utiliser des images de personnes mourant d’étouffement... Objectif politique de ces messages ? Engendrer la peur et la docilité au sein de la population. "Le fort sentiment d’impuissance doit être contenu. Cela peut se faire en propageant l’impression d’une forte intervention de l’État", explique l’un des e-mails. Il fallait donc présenter les chiffres "les moins favorables"."

"L’enquête de Die Welt fait scandale en Allemagne, tandis qu’en Belgique, au même moment, un film documentaire crée la polémique. « Ceci n’est pas un complot » du journaliste Bernard Crutzen, en ligne depuis début février 2021, se propose de décrypter comment les médias racontent le Covid. Ce documentaire, instructif à bien des égards, contient une séquence ahurissante : celle d’un exposé donné en janvier 2019 sur la gestion des pandémies par l’expert virologue belge Marc van Ranst au sein du Royal Institute of International Affairs, appelé aussi Chatham House, l’un des think-tank britanniques les plus influents."

"Que dit le Dr van Ranst dans cette video de 2019 saisie sur le vif ? Ses recettes pour manipuler les médias : « Pour attirer l’attention des médias, vous concluez un accord avec eux, explique-t-il. Vous leur direz tout ,et s'ils vous appellent, vous décrocherez votre téléphone. En faisant ça, vous pouvez profiter des premiers jours pour atteindre une couverture maximale, ils ne vont pas chercher des voix alternatives. Si vous faites ça, cela sera beaucoup plus facile. »"

"Ces stratégies d’influence au service du pouvoir, je les connais bien. Depuis le nuage de Tchernobyl en 1986 et le déni au plus haut niveau de l’état de la réalité des contaminations radioactives en France, je n’ai eu de cesse de combattre les mensonges d’état. Cette fois, ce que nous montrent les enquêtes faites en Allemagne et en Belgique, il ne s’agit plus d’être rassurant ou de nier le risque. Il faut semer la peur."

"C’est en sortant des mensonges d’état, naïvement colportés et répétés à longueur de journées, par les médias et les chaines d’information en continu que nous pourrons nous désintoxiquer de cette peur unanime mais abusive. Retrouver nos esprits, sortir de la peur paralysante et de la stratégie de l’émotion s’avèrent maintenant des impératifs démocratiques si l’on veut être capable de prendre des décisions rationnelles et raisonnables. Les décisions les plus justes."

Lire l'article dans son intégralité ici :
https://blogs.mediapart.fr/michele-rivasi/blog/120221/covid-19-les-medias-victimes-dune-desinformation-detat

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"Le burn-out ou syndrome d’épuisement professionnel ne se présente plus vraiment aujourd’hui tant il est répandu dans les entreprises. Mais voilà qu’apparaît un nouveau phénomène directement lié au Covid-19 : l’épuisement pandémique autrement dit l’épuisement lié aux déséquilibres que la pandémie a provoqués
dans notre quotidien
, à la perte de nos liens sociaux et nos interrogations sur le futur."

"Le phénomène explose dans toutes les catégories d’âge mais surtout auprès des adolescents et des jeunes adultes."

"Tous les témoignages émanant de psychiatres, pédopsychiatres ou de psychologues vont dans le même sens, qu’ils travaillent en hôpital, en institutions dédiées au stress ou en consultation privée : ils sont désormais débordés par les appels de personnes en détresse psychologique, une détresse souvent liée
à la pandémie de Covid-19."

"Les moments de ressourcement ont disparu"

"Le confinement coupe les individus des lieux de ressourcement habituels comme les lieux culturels, les sorties familiales ou amicales, les tablées aux restaurants, les pratiques sportives en salles, etc. Les seules sorties autorisées ou presque sont celles qui nous conduisent sur…notre lieu de travail quand ce n’est pas possible autrement. "La population est par ailleurs 'matraquée' par les informations liées au Covid-19", ajoute le psychologue et spécialiste du burn-out Gérald Maes. "Elle n’arrive plus à faire le tri, sature… Bref elle est
en surcharge".  A cela s’ajoute des visioconférences en cascade, la suppression des pauses où l’on se retrouvait avec des collègues autour d’un café, etc."

"Le coronavirus a déséquilibré nos vies"

"Sébastien Theunissen est lui chef du service psychiatrie au groupe Jolimont auquel appartient l’hôpital de Jolimont à La Louvière. Il est confronté quotidiennement à la détresse psychologique de ses patients et aux symptômes psychiatriques en lien avec le coronavirus : "La détresse psychologique peut être provoquée par des déséquilibres biologiques, psychologiques ou sociologiques. Dans ce cas-ci, on parle de 'sociogenèse' autrement dit d’une origine sociologique. La pandémie a créé des déséquilibres dans la société qui influencent notre santé mentale.""

"Les urgences en pédopsychiatrie prises d’assaut"

"Le plus inquiétant sans doute dans ce tableau déjà bien sombre, c’est la santé mentale des adolescents et des jeunes adultes. "Les urgences en pédopsychiatrie sont fort sollicitées depuis le mois d’octobre, à tel point que nous avons mutualisé ces gardes avec celles de l’hôpital universitaire des Enfants Reine Fabiola à Laeken. Les institutions d’hébergement arrivent à saturation. Les cas ont triplé.", déclare la cheffe du service de pédopsychiatrie à l’hôpital Erasme, Marie Delhaye."

"Anorexie et tentatives de suicide en hausse chez les jeunes"

"A Erasme par exemple, la pandémie est allée de pair avec une hausse des troubles alimentaires. "Une flopée de jeunes filles sont devenues anorexiques" selon la pédopsychiatre Marie Delhaye.
Autre tendance lourde : les ados et les jeunes adultes se mettent beaucoup plus en danger en pratiquant des scarifications ou en tentant de se suicider. Les jeunes ne peuvent plus compter sur les divers groupes qui les soutenaient pendant leur scolarité et cette absence de lien social est destructrice. Qui a pu croire que les jeunes étaient toujours derrière leurs écrans et que ça leur suffisait ?"

Lire l'article dans son intégralité ici :
https://www.rtbf.be/info/dossier/epidemie-de-coronavirus/detail_coronavirus-l-epuisement-pandemique-explose-en-belgique-surtout-chez-les-jeunes?id=10695492&fbclid=IwAR33vNw5Pk0EUin4AJiIZf4PZ7bLjrg8FN5iDbqLPRZkZqwXykA7TB6gWNI

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""L’OMS a effectué un virage à 180 degrés pour désavouer fermement la politique du tout répressif sanitaire, devenue la règle dans de nombreux pays. Il en résulte une rupture avec les recommandations de plus en plus critiquées du conseil scientifique.""

"Depuis le début de l’apparition du SARS-COV2, une multitude d’études ont été menées à travers la planète pour essayer de comprendre le mécanisme de transmission du virus et pouvoir en déduire des stratégies sanitaires les plus à même pour ralentir, stopper ou gérer au mieux la propagation de la maladie."

"Les résultats de ces études arrivent peu à peu, ce qui a amené l’OMS à infléchir ses recommandations pour tenir compte de ces informations. À l’entrée de l’hiver, l’organisme sanitaire international a en effet clairement effectué un virage à 180 degrés pour désavouer fermement la politique du tout répressif sanitaire qui est devenue la règle dans de nombreux pays."

"Depuis le début de la crise sanitaire, c’est le conseil scientifique instauré par le ministère de la Santé qui trace la ligne de conduite pour les citoyens, les responsables d’établissements publics et le gouvernement."

"Cette stratégie, nous la connaissons maintenant tous, tant elle a été martelée un peu partout.
Elle est basée sur quatre axes :

  • Le comportement individuel : gestes barrières, port du masque etc.
  • Les limitations de regroupement collectifs : fermetures des bars, restaurants, salles de sport
    et salles de spectacles et annulations des rassemblements.
  • Les mesures de restriction des déplacements et des activités : confinement et couvre-feu.
  • La prise en charge hospitalière des cas graves."

"À l’analyse des dernières informations diffusées par l’OMS et par les diverses équipes de recherches
à travers le monde, il apparait de plus en plus clairement que cette orientation, fortement héritée du principe de précaution et de la peur qui a traversé le pays, est très éloignée pour ne pas dire diamétralement opposée à celle préconisée par l’organisme de santé mondial."

"Ce que montrent les études, et qui semblerait être une spécificité du SARS-COV2, est que la contagiosité
de la maladie varie énormément d’un cas à l’autre. Cependant, vu le nombre maintenant très important d’études, on peut clairement identifier deux modes distincts."

"Le premier mode, que l’on pourrait qualifier de domestique, est de loin le plus présent dans les études.
Il se produit principalement dans deux environnements : le milieu familial et les établissements de santé."

"Dans ce cas-là, il semble clairement établi que le virus n’est pas très contagieux, mais que ce sont
le confinement et la promiscuité qui sont les raisons principales de la diffusion de la maladie."

"Les études montrent également qu’en dehors de ce mode principal de propagation (faible contamination, majoritairement personnes proches et en contact prolongé), on a pu constater un certain nombre de phénomènes très rares de soudaine et très forte contamination."

"Dans ces cas, les transmissions sont très rapides et simultanées et ne proviennent pas d’un phénomène
de chaîne, mais d’une contamination à partir d’une source unique, ce que des études ADN ont permis de confirmer."

"De plus, ces contaminations très larges, que l’on a pu appeler des phénomènes de super-contamination (super spreading event ou SSE) se produisent sur des espaces très importants en termes de superficie et sans contact proche et continu avec la source d’infection, ce qui est totalement opposé au scénario domestique."

"Or les observations de SSE dans des milieux cloisonnés (prisons, trains, hôtels, paquebot, restaurants…) démentent complétement cette causalité du rassemblement : des distanciations physiques de plusieurs dizaines, voire centaines de mètres n’ayant pas empêché ces contaminations de se produire."

"Il semblerait bien qu’il soit quasiment impossible de contrer une diffusion d’aérosol à l’origine de ces dispersions, de plus celle-ci devient rapidement diffuse au fur et à mesure que ceux-ci se dispersent dans l’environnement."

"Pour résumer ces deux modes :

  • Dans la grande majorité des cas, la maladie est peu contagieuse et la contamination se produit en grande majorité dans le milieu familial, surtout lorsqu’il y a confinement.
  • Il peut cependant arriver que des contaminations larges se produisent (SSE) sur de grandes superficies."

"Ce double modèle explique enfin les diverses dynamiques que l’on peut observer et qui rendent à premier lieu le comportement du virus assez incompréhensible."

"On a ainsi très clairement observé un pic de contamination des 20-30 ans avant la vague de l’automne
qui a ensuite touché majoritairement les personnes plus âgées."

"Cela s’expliquerait par le fait que les 20-30 ans seraient par leur mode de vie davantage exposés aux contaminations fortuites. Les contaminations domestiques auraient ensuite pris le dessus : la fin des vacances, puis les mesures de restrictions des libertés successives ont resserré la promiscuité et ce seraient ces contacts prolongés intra-familiaux et dans les établissement de santé qui expliqueraient la flambée des cas observée en octobre."

"Ce serait donc le confinement, tant d’ailleurs celui imposé par la politique sanitaire que celui qui survient plus naturellement avec les mauvaises conditions météo et la reprise des activités routinières qui seraient responsables de la vague de l’automne."

"Le premier constat qui s’impose devant cette meilleure compréhension de la dynamique épidémique est qu’il est totalement inutile de culpabiliser les gens comme le font depuis maintenant un an les autorités, les médias et malheureusement aussi une bonne partie de la population :

  • Soit vous êtes contaminé ou contaminateur fortuit et vous allez contaminer un nombre énorme de personnes à votre insu ou vous serez juste au mauvais endroit au mauvais moment, et ce malgré toutes les précautions que vous et les autres pourrez prendre.
  • Soit, vous êtes comme plus de 95 % des personnes infectées et infectieuses : vous êtes peu contagieux et des mesures prophylactiques simples seront suffisantes.

"Le second constat est plus lourd de conséquences. Il signifie que le prix du confinement n’est pas seulement social et économique, il est également très lourd d’un point de vue sanitaire."

"C’est pourquoi l’OMS a émis plusieurs recommandations répétées afin en premier lieu d’exhorter les autorités à obtenir le consentement des populations et de se détourner des mesures autoritaires qui sont au mieux inutiles, au pire fortement contre-productives."

La stratégie recommandée par l’OMS est d’ailleurs très proche de celle suivie par les pays orientaux ayant eu l’expérience de l’épidémie de SARS de 2003. Elle consiste en résumé dans la mise en place des actions suivantes :

  • Dépistage et identification des proches par contact tracing afin de rompre les chaines de contamination.
  • Mise en quarantaine (et non en confinement) de toutes les personnes infectées, afin de les soigner et d’éviter l’aggravation de la maladie, tout en diminuant le risque de diffusion ambiante."

Lire l'article dans son intégralité ici :
https://www.contrepoints.org/2021/02/10/390689-loms-en-rupture-avec-le-tout-repressif-sanitaire?fbclid=IwAR07qbiViWyf0JAwWjsbghLXOfuYeNloLUdOOW-vWwohLjdkSb8-ub0bUp4

Source photo :
https://www.pexels.com/search/AirPods%202/

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